Note moyenne
3,3
12 titres de presse
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L'Humanité
Même si la morale de l'histoire semble trop simple et utopique, on sympathise avec ces héros ordinaires et ceux qu'ils trouvent sur leur chemin, ces villageois qui les accueillent et le paient cher.
Les Fiches du Cinéma
Le deuxième film du cinéaste rwandais Joël Karekezi est un manifeste puissant contre la guerre. Si les dialogues sont souvent attendus, le scénario et la mise en scène sont l’œuvre d’un réalisateur intelligent. Une bien belle découverte.
Libération
Un cinéma qui sait filmer la forêt - par-delà son message pacifiste limpide - a des choses à nous faire entendre.
Positif
Belle surprise que ce premier film belge.
Télérama
En guerrier abattu, rattrapé par sa propre humanité, l’acteur belge Marc Zinga est bouleversant.
L'Obs
La mise en scène, rugueuse, organique et sensorielle, pallie le déséquilibre d’un scénario qui hésite entre devoir de mémoire et allégorie mentale. Mais ce coup d’essai vaut largement le détour.
Le Figaro
Rescapé du génocide, Joël Karekezi dénonce la guerre avec un réalisme trop appliqué.
Le Journal du Dimanche
Malgré des longueurs, ce drame restitue le chaos rwandais à travers les yeux de l’acteur Stéphane Bak, très convaincant.
Le Monde
La Miséricorde de la jungle accomplit mieux sa mission de divertissement que ses ambitions historiques.
Le Parisien
Voilà un film qui ébranlera sans doute les plus sensibles, ne nous épargnant pas des scènes crues de combats et de massacres. (...) Dommage que les personnages et les dialogues manquent de complexité. Une belle découverte.
Cahiers du Cinéma
Les détours hors jungle d’un scénario visiblement trituré (…) ramènent malheureusement cette belle promesse africaine aux schémas bien trop scolaires d’une rutilante coproduction internationale sous contrôle.
Première
La force du film est de nous faire vivre l’absurdité de la guerre par le regard de ces militaires qui, pour survivre, se retrouvent contraints à porter l’uniforme ennemi. Et la poésie des scènes au village miraculeusement épargné où ils trouvent refuge réussit à faire quelque peu oublier le manque de moyens qui pénalise ce récit.