Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Libération
par Luc Chessel
Si la fièvre guette, si l’histoire est maudite, si l’absence de toute perspective continue de gagner sur la forêt, sur les langues et sur les corps, il reste des passages secrets qui seront des échappatoires, et que le cinéma, tour à tour puissant et fragile, peut encore chercher à indiquer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Culturopoing.com
par Thibault Vicq
La mise en scène de Maya Da-Rin insiste sur le côté intérieur des choses, ce qui se passe en creux. Le rythme de l’image prend le pouls de l’apesanteur, du manque d’assise lorsque l’on se trouve dans un état physique intermédiaire. [...] Elle compose des cadres d’une beauté époustouflante, à partir d’un clair-obscur des textures.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Clarisse Fabre
Le portrait envoûtant d'un Amérindien déraciné à Manaus, au Brésil.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une ouverture initiatique fascinante sur la culture amérindienne.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Un premier film brésilien étourdissant qui joint l’expérience sensorielle à la dénonciation politique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Nicolas Bauche
En se gardant de tout militantisme, Maya Da-Rin dresse le portrait de la dernière génération d’Amérindiens encore arrimés à l’Amazonie comme à une mère nourricière. Son cinéma, sensible, immortalise en fiction ces derniers instants de vie sur fond de relation père-fille.
Transfuge
par Romane Carrière
Avec La Fièvre, la réalisatrice Maya Da-Rin signe un premier long-métrage politique, énigmatique et flamboyant.
Cahiers du Cinéma
par Claire Allouche
L’une des forces certaines du premier long métrage de fiction de Maya Da-Rin tient au glissement progressif entre l’état de veille de son personnage, exigé par l’aliénation du travail quotidien, et une forme de voyance vis à- vis des entités de la forêt, révélée par la fièvre qui le frappe soudainement et que ses proches attribuent à un mauvais esprit.
Critikat.com
par Clémence Arrivé
Maya Da-Rin entreprend de raconter le retour aux sources d’un homme grâce à un grand travail d'atmosphère, envoûtant à bien des égards, mais qui peine toutefois à donner du relief au récit.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
La réalisatrice, issue du documentaire, a imaginé cette fiction en rencontrant des Amérindiens ayant quitté leurs villages pour rejoindre la ville et elle les a pris pour acteurs. D’où l’authenticité des rapports entre Justino et ses proches, plus convaincants que l’ambition onirique du film (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Jacques Morice
L’acteur principal, Regis Myrupu, qui est né dans une famille de chamans, fascine par son regard, ses gestes précis, sa lenteur véloce de panthère.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
Si la fièvre guette, si l’histoire est maudite, si l’absence de toute perspective continue de gagner sur la forêt, sur les langues et sur les corps, il reste des passages secrets qui seront des échappatoires, et que le cinéma, tour à tour puissant et fragile, peut encore chercher à indiquer.
Culturopoing.com
La mise en scène de Maya Da-Rin insiste sur le côté intérieur des choses, ce qui se passe en creux. Le rythme de l’image prend le pouls de l’apesanteur, du manque d’assise lorsque l’on se trouve dans un état physique intermédiaire. [...] Elle compose des cadres d’une beauté époustouflante, à partir d’un clair-obscur des textures.
Le Monde
Le portrait envoûtant d'un Amérindien déraciné à Manaus, au Brésil.
Les Fiches du Cinéma
Une ouverture initiatique fascinante sur la culture amérindienne.
Les Inrockuptibles
Un premier film brésilien étourdissant qui joint l’expérience sensorielle à la dénonciation politique.
Positif
En se gardant de tout militantisme, Maya Da-Rin dresse le portrait de la dernière génération d’Amérindiens encore arrimés à l’Amazonie comme à une mère nourricière. Son cinéma, sensible, immortalise en fiction ces derniers instants de vie sur fond de relation père-fille.
Transfuge
Avec La Fièvre, la réalisatrice Maya Da-Rin signe un premier long-métrage politique, énigmatique et flamboyant.
Cahiers du Cinéma
L’une des forces certaines du premier long métrage de fiction de Maya Da-Rin tient au glissement progressif entre l’état de veille de son personnage, exigé par l’aliénation du travail quotidien, et une forme de voyance vis à- vis des entités de la forêt, révélée par la fièvre qui le frappe soudainement et que ses proches attribuent à un mauvais esprit.
Critikat.com
Maya Da-Rin entreprend de raconter le retour aux sources d’un homme grâce à un grand travail d'atmosphère, envoûtant à bien des égards, mais qui peine toutefois à donner du relief au récit.
L'Obs
La réalisatrice, issue du documentaire, a imaginé cette fiction en rencontrant des Amérindiens ayant quitté leurs villages pour rejoindre la ville et elle les a pris pour acteurs. D’où l’authenticité des rapports entre Justino et ses proches, plus convaincants que l’ambition onirique du film (...).
Télérama
L’acteur principal, Regis Myrupu, qui est né dans une famille de chamans, fascine par son regard, ses gestes précis, sa lenteur véloce de panthère.