Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Fort de la précision de la mise en scène, ce drame roide et intimiste explore avec étrangeté le plus grand des mystère : l'esprit humain.
Culturopoing.com
par Emmanuel le Gagne
Un très beau film, à l'émotion rare mais contenue, pour peu que l'on apprécie ce cinéma de l'Est cérébral et pudique, rappelant parfois certaines œuvres majeures de Krzysztof Kieslowski.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Dans des tons gris-bleu, la cinéaste polonaise met en scène une résilience dérangeante et nous ballotte avec talent entre mystère, malaise et empathie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Séverine Danflous
A travers ce beau et mélancolique Fugue, Agnieszka Smozynska explore les thèmes de la culpabilité, de la folie et du choix de l’évasion dans une pologne aux valeurs conservatrices.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Se saisissant de ce sujet douloureux avec beaucoup de finesse, la réalisatrice trouve le ton juste, dessine des personnages et des situations aussi crédibles que complexes tout en instaurant une atmosphère digne d’un film à suspense.
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
En mélangeant les genres, "Fugue" s’envisage tout à la fois comme un récit d’émancipation féminine et une réflexion profonde sur le concept d’identité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
Autour d’une femme amnésique en quête d’identité, la Polonaise Agnieszka Smoczynska exploite avec finesse la crise du modèle familialiste.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Stéphane Goudet
Révélation de la Semaine de la critique lors du festival de Cannes 2018, "Fugue" et sa figure de femme impudique et froide, de mère impassible, coupable et distanciée, finissent par bouleverser [...].
Télérama
par Frédéric Strauss
Cette femme qui remet tout en question par son étrangeté reste une héroïne radicalement forte et poignante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film qui traite de façon presque clinique la perte de mémoire et ses effets identitaires, sans jamais négliger la forme qui est d’une grande beauté. Saisissant et profond.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Hélène Robert
"Fugue" est une histoire d’amnésie qui se prête naturellement au mélange des genres, entre récit clinique et thriller onirique. Un exercice d’équilibriste au spectacle froid.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Première
par Christophe Narbonne
Au-delà de son aspect thriller psy réussi, Fuguevaut pour son portrait de femme libérée des carcans sociaux et familiaux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
cette justesse de propos, qu’on sent poindre dans la dernière scène, n’éclot jamais, mal servie par une forme drapée dans trop de froideur, sans rupture de ton, rigoureusement contrôlée, à rebours de l’équivocité affolante générée par les situations.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Fugue interroge habilement la part de liberté que contiennent les choix de la vie sociale. L’amnésie y devient le catalyseur paradoxal d’une prise de conscience, celle du caractère arbitraire et aliénant de l’idée de famille.
CinemaTeaser
Fort de la précision de la mise en scène, ce drame roide et intimiste explore avec étrangeté le plus grand des mystère : l'esprit humain.
Culturopoing.com
Un très beau film, à l'émotion rare mais contenue, pour peu que l'on apprécie ce cinéma de l'Est cérébral et pudique, rappelant parfois certaines œuvres majeures de Krzysztof Kieslowski.
L'Obs
Dans des tons gris-bleu, la cinéaste polonaise met en scène une résilience dérangeante et nous ballotte avec talent entre mystère, malaise et empathie.
La Septième Obsession
A travers ce beau et mélancolique Fugue, Agnieszka Smozynska explore les thèmes de la culpabilité, de la folie et du choix de l’évasion dans une pologne aux valeurs conservatrices.
Le Journal du Dimanche
Se saisissant de ce sujet douloureux avec beaucoup de finesse, la réalisatrice trouve le ton juste, dessine des personnages et des situations aussi crédibles que complexes tout en instaurant une atmosphère digne d’un film à suspense.
Les Fiches du Cinéma
En mélangeant les genres, "Fugue" s’envisage tout à la fois comme un récit d’émancipation féminine et une réflexion profonde sur le concept d’identité.
Libération
Autour d’une femme amnésique en quête d’identité, la Polonaise Agnieszka Smoczynska exploite avec finesse la crise du modèle familialiste.
Positif
Révélation de la Semaine de la critique lors du festival de Cannes 2018, "Fugue" et sa figure de femme impudique et froide, de mère impassible, coupable et distanciée, finissent par bouleverser [...].
Télérama
Cette femme qui remet tout en question par son étrangeté reste une héroïne radicalement forte et poignante.
aVoir-aLire.com
Un film qui traite de façon presque clinique la perte de mémoire et ses effets identitaires, sans jamais négliger la forme qui est d’une grande beauté. Saisissant et profond.
Bande à part
"Fugue" est une histoire d’amnésie qui se prête naturellement au mélange des genres, entre récit clinique et thriller onirique. Un exercice d’équilibriste au spectacle froid.
Première
Au-delà de son aspect thriller psy réussi, Fuguevaut pour son portrait de femme libérée des carcans sociaux et familiaux.
Cahiers du Cinéma
cette justesse de propos, qu’on sent poindre dans la dernière scène, n’éclot jamais, mal servie par une forme drapée dans trop de froideur, sans rupture de ton, rigoureusement contrôlée, à rebours de l’équivocité affolante générée par les situations.
Le Monde
Fugue interroge habilement la part de liberté que contiennent les choix de la vie sociale. L’amnésie y devient le catalyseur paradoxal d’une prise de conscience, celle du caractère arbitraire et aliénant de l’idée de famille.