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Jonathan P
67 abonnés
395 critiques
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2,5
Publiée le 15 janvier 2021
Petite déception en particulier le scénario prévisible, durant une bonne partie et assez ennuyeux. La sensation de n'y voir aucune interaction entre les personnages. Cela reste plat, mise à part les quinze dernières minutes. Boulevardducinema.com
Un film ennuyant qui commence à me faire déteste Vincent Lacoste. Il m’agace avec ses choix de rôles similaires d'ado en manque d'estime de soi et de loser attardé! Il faudrait peut être qu'il se réveille!!! Car cette image qu'il est entrain de cultiver, devient lassante et clairement pauvre en ses compétences d'acteurs! Quand au film, on s’ennuie fortement. On y croit pas vraiment et vu que le film est tourné a 95% sur vincent lacoste, il en devient réellement sans intéret. Se film est tourné sur son incapacité a avoir des relations sexuels avec des femmes et son incapacité a avoir de relations saines tout cour...la fin est clairement machiste et sexiste, seul son plaisir compte, le réalisateur a du souci a se faire! C'est tellement plus actuel! Un raté et surtout il révélè un acteur Vincent lacoste qui n'en ai finalement peut etre pas un, en perte de jeu! Un réalisateur qui n'est pas dans son temps! J'ai toujours pas compris le but du film, est ce qu'il y a un message a la lolo ou la c'est clairement affiché!?? Sans intéret!
Le personnage de Vincent Lacoste semble prometteur en glandeur désabusé et immature mais le néant du scénario douche rapidement les attentes. L'ennui arrive vite et le temps est long.
Ce n'est pas un grand film mais un moment de cinéma réjouissant. Vincent Lacoste fait du Vincent Lacoste (encore) mais on savoure les déboires de ce personnages mal dans sa vie. Agréable.
Un de ces nombreux films sur le recherche de soi et le refus de grandir. Vincent Lacoste joue très bien ce rôle même si l'histoire est loin d'être entrainante et ne procure que peu de moments sympas. A noter la présence et l'excellente Emmanuelle Devos et de Christophe Lambert
A vu "Mes jours de gloire" d'Antoine de Bary avec Vincent Lacoste. J'ai grandi en même temps que Sophie Marceau et Sandrine Bonnaire et je muris devant la jeunesse de Vincent Lacoste. Je trouve très touchant de voir un acteur que l'on a connu adolescent se développer, s'épanouir, se métamorphoser, se bonifier au fur et à mesure des années. Je suis de prêt la carrière de Vincent Lacoste car cet acteur assez unique dans le paysage du cinéma français me touche beaucoup. A moitié adulte, à moitié encore et toujours adolescent, masculin mais très féminin dans son jeu, drôle et profond, taiseux mais la langue bien pendue... Vincent Lacoste sait passer de films mineurs (comme celui-ci) à des films exigeants ou excellents (Chambre 212, Plaire aimer et courir vite, Amanda, Le skylab...) Dans ce film Vincent Lacoste interprète un jeune homme à côté de la plaque, qui après avoir connu une heure de gloire très brève dans un film alors qu'il était enfant, n'a plus de gout à rien et à qui rien ne réussit. Il fait des allers-retours entre sa chambre de bonne et chez ses parents en plein divorce, il n'a envie de rien, glande à longueur de journée (les fameux jours de gloire du titre)... il lui faudra un certain temps pour comprendre qu'il est en pleine dépression. Le film repose complètement sur les épaules de l'acteur qui a déjà à plusieurs reprises interprété ce type de rôle. Tous les personnages dépressifs et de loser qu'a interprété Vincent Lacoste ont un lien entre eux, c'est un peu toujours le même personnage qui traverse les âges de l'acteur, une sorte d'Antoine Doinel du XXième siècle. Le thème de la dépression chez le jeune adulte est intéressant mais le metteur en scène ne sait pas par quel angle traiter vraiment le sujet... donc à la finale on n'est pas très sûr de ce qu'à voulu nous raconter le metteur en scène. Cela commence comme une comédie légère et se finit par une comédie dramatique amère... avec une fin un peu loupée. C'est un film sympatoche qui n'apporte pas grand chose, avec quelques scènes drôles, d'autres touchantes (mes préférées) et beaucoup de scènes inutiles (toutes les scènes de répétitions d'un tournage sur le Général de Gaule). Vincent Lacoste n'est jamais meilleur que lorsqu'il est vraiment dirigé, mais c'est une gageure de sortir sans déshonneur (loin de là) d'un film qui manque d'ambition cinématographique et scénaristique. Un film de copains qui se regarde sans déplaisir pour qui aime Vincent Lacoste comme moi. Mais impatient qu'il rencontre Son Maurice Pialat.
un film chiant sur un personnage chiant interprété par un acteur chiant. on se demande comment le sujet peut-être source de plusieurs mois de travail et de préparation d'écriture de scénario, de synopsis, de mise en scène puis de réalisation....
Sous ses airs de comédie à la française, ce petit film est assez dramatique dans le sens où il dépeint la vie d’un jeune un peu paumé qui a du mal à rentrer dans l’âge adulte et à s’assumer financièrement. Ce quotidien, c’est malheureusement celui de pas mal de jeunes actuellement et c’est pour cela que malgré son côté léger, il dénonce tout de même une triste réalité ! Vincent Lacoste est super bon en glandeur dépressif de 27 ans et la morale de l’histoire, même si elle paraît simpliste est peut-être finalement la bonne solution à tous nos problèmes ! Petit bémol : Christophe Lambert, à l’instar du personnage qu’il incarne, ne ressemble plus à rien et surtout, il ne sert à rien !
Vu en VOD. J'ai été déçue car je m'attendais à une petite comédie de moeurs. Et rien ne s'est réellement passé. Le film commence bien puis tourne très vite en rond. On s'ennuie hélas ! Un intérêt en revanche : Christophe Lambert qui avec le temps gagne en qualité de jeu.
Cette jolie comédie aux dialogues bien sentis suit les tribulations d'un pré-trentenaire pour qui "rien n'a d'importance", mais qui va aller de déconvenue en déconvenue. Misant avant tout sur le charme candide et lunaire de Vincent Lacoste, elle nous offre également le plaisir de voir Emmanuelle Devos et (Oh! surprise) Christophe Lambert, exceptionnelles et émouvantes Guest-stars. De galères en galères, notre anti-héros flegmatique (on ne se lasse pas du jeu de Vincent Lacoste) devient parfois même sous nos yeux émerveillés un Chaplin 2.0.
En pensant peindre le portrait d’une génération aussi perdue dans la vie qu’insouciante et volontiers fainéante, le réalisateur ne réussit qu’à scruter le visage et le corps de son modèle jusqu’à l’épuisement sans jamais atteindre l’universalisable, sans jamais dépasser l’anecdote individuelle faite film. Aussi Mes Jours de gloire n’a-t-il de cesse de confronter le jeune adulte à une collection d’icônes qu’il échoue à réactualiser : du général de Gaulle au cliché du grand adolescent cool invité aux soirées déguisées, en passant par l’identité paternelle – pensons à l’enfant de son ami qu’il fait tomber par terre – et celle du beau ténébreux mais torturé soucieux de mettre fin à sa douleur, les modèles de références deviennent des modèles inapplicables, des anti-modèles qui accentuent davantage encore l’idée d’échec. Se tenait là une fable sur le droit à l’erreur, sur l’errance d’une génération insérée dans une course aux honneurs et aux profits, enfermé dans une société utilitariste vouant à la réussite un culte véritable ; malheureusement, Antoine de Bary ne parvient pas à tenir son long métrage jusqu’à son terme, la faute à un scénario fragile et inabouti dont la bascule dramatique du dernier tiers surprend autant qu’elle peine à convaincre. En résulte une impression de collage de sketchs parfois hilarants – grâce à la nonchalance travaillée de Vincent Lacoste – mais vite répétitifs et qui ne se subordonnent à aucune progression psychologique cohérente. En outre, les personnages secondaires sont sous-exploités voire absents, à l’instar de Christophe Lambert qui suffisait à lui seul à incarner le crépuscule contemporain des idoles, la chemise à tomates constituant un symbole de cette soif d’une jeunesse passée et révolue, de cette peur de l’adulte, de cet âge qui transforme les amants en divorcés et la chambre à coucher en bureau de travail.
Coécrite et mise en scène par Antoine de Bary, cette comédie n'est ni drôle ni émouvante. Son scénario plein de promesses ne propose que des pétards mouillés tant les dialogues sont inconsistants. Ce film nous réserve bien des désagréments, comme des coupures de scènes de façon répétitives et impromptues, ou des séquences sur le film ou Adrien joue De Gaule qui ne sont absolument pas crédibles. Le talent d'Emmanuelle Devos, pourtant très efficace, ne peut sauver ce film de l'ennui. Pas plus que Vincent Lacoste, qui ne peut nous intéresser dans un rôle sans verve d'adolescent trentenaire qui n'a rien à dire. Quant à Christophe Lamber,t présent à l'affiche, est totalement absent de l'histoire.
Prenant les 3 quarts du film... Le dernier quart moins... les toutes dernières images après le début du générique de fin rattrape l'ensemble... 3 étoiles et demie.
Vous avez un rôle d'ado attardé, avec suppléments tête-à-claques et tignasse à la Louis Garrel, à distribuer ? Vincent Lacoste est un "must" - depuis une dizaine d'années, l'ancien vrai ado des "Beaux gosses" a enchaîné en effet les profils de ce type, pour le grand écran (une trentaine...). Et un de plus, avec ce pâlichon "Mes Jours de gloire", un premier "long", par Antoine de Bary. VL est ici un "has been" précoce, "Adrien", qui, ancien enfant-star, ne tourne plus guère, à 26 ans, depuis ses 20 ans. Il est affublé d'une mère psy caricaturale (Emmanuelle Devos - qu'on a l'habitude de voir plus inspirée dans le jeu), et d'un père alcoolique et bon à rien (Christophe Lambert - au naturel). On se dit qu'il doit tenir sa nette tendance au parasitisme (le jeune loser tous azimuts, en délicatesse avec le fisc et sa banque, revient squatter chez ses parentsspoiler: - la mère à l'étage noble, le père relégué dans la chambre de bonne...) de ce côté-là.... Un casting réussi contre toute attente (pour un film sur les jeunes années de Charles de Gaulle - avec 20 cm en moins sous la toise, comme c'est crédible...) peut-il relancer sa carrière, et donc sa vie ?.... Ou/et sa "romance" avec une lycéenne déluréespoiler: (rencontrée dans un commissariat) , "Léa" ?... En rappelant que quand on a touché le fond, l'avantage, c'est qu'on ne peut que remonter - ou pas... Un laborieux film de (ré)apprentissage, sans fraîcheur spoiler: - on a même droit à une TS dans la Seine.... (mais au contraire volontiers vulgaire et lourdingue) - fort dispensable !
Le film passe par tous les registres cinématographiques. J'ai passé ainsi que ma femme un très bon moment. Du cinéma divertissant et profond à la fois. Lacoste au mieux de sa forme.