Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Vincent Lacoste incarne un jeune comédien paumé dans « Mes jours de gloire ». Toutes ses qualités d'acteurs sont mises à contribution.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
BIBA
par M.K.
[...] drôlissime premier long-métrage d’Antoine de Bary [...].
Elle
par Françoise Delbecq
Drôle et émouvant !
Le Figaro
par Nathalie Simon
Pour son premier film, Antoine de Bary dessine le portrait d’un perdant nonchalant, l’excellent Vincent Lacoste.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Léger, gonflé, plein de fantaisie, cette comédie brosse le portrait d'un loser attachant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
"Mes jours de gloire", dans sa savante balance entre la mélancolie et le potache, fait graviter autour de Vincent Lacoste une idée très belle car applicable au film et à son acteur : l’important, dans une vie de cache-cache, c’est avant tout d’être découvert.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier de Bruyn
Incarné avec charme et délicatesse par l’excellent Vincent Lacoste, un film audacieux qui s’impose comme l’une des belles surprises du moment du côté du cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Denitza Bantcheva
Ce premier long métrage combine efficacement le loufoque, le comique et le dramatique.
Voici
par Lola Sciamma
Vincent Lacoste nous régale encore une fois à traîner sa nonchalance dans cette comédie existentielle qui a le grand mérite de parler de la dépression des jeunes adultes, tout en questionnant la masculinité, avec un humour déculpabilisant.
Bande à part
par Olivier Bombarda
"Mes jours de gloire" d'Antoine de Bary met à l'honneur Vincent Lacoste dans les errances d'un jeune adulte parfaitement taillées à sa mesure. Un film qui dresse, en creux, le portrait amoureux de son comédien.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Si grandir c’est vieillir, si vieillir c’est un jour mourir, alors il est heureux que Vincent Lacoste ne lâche pas l’enfance et continue au cinéma son voyage imaginaire qui se joue du temps.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Si grandir c’est vieillir, si vieillir c’est un jour mourir, alors il est heureux que Vincent Lacoste ne lâche pas l’enfance et continue au cinéma son voyage imaginaire qui se joue du temps.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
"Mes jours de gloire" ne fouine pas tellement du côté de l’étude méta au profit d’un programme plus insouciant : la chronique d’une errance, d’une espèce d’insubordination d’enfant gâté, mélange d’absentéisme, de séduction, de malice, et que le film serait peut-être la meilleure façon de vivre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
Sans jamais cesser d’être charmant, le film surprend donc rarement.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
Vu sous ce faux angle autobiographique, Mes jours de gloire dénote une mélancolie tenace traversée d’éclairs comiques, lacostiens en diable : le héros qui prétexte un incendie aux pompiers pour pouvoir rentrer chez lui gratos (il a oublié ses clefs) ou qui se met à être tactile avec ses potes pour prouver à sa mère psy qu’il n’est pas un gay refoulé...
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
On s’amuse pourtant, grâce à un scénario écrit sur mesure pour Vincent Lacoste dont le jeune réalisateur, Antoine de Baly, est un ami proche.
Télé 2 semaines
par C.P.
Sous des faux airs de comédie et avec une légèreté de ton salutaire, le réalisateur aborde le thème de la dépression.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une comédie sincère et tendre qui relate le destin maladroit et d’un jeune parisien, comédien de surcroît. Les quelques maladresses du récit s’estompent au profit d’un portrait intègre et attachant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Le film arrive bien en retard, en se recroquevillant sur un fond « à la Apatow » éventé depuis plus de dix ans (amitié masculine et chronique d’un dépucelage tardif presque vécu comme une maladie honteuse).
Critikat.com
par Thomas Grignon
Antoine de Bary dresse le portrait assez amusant, à défaut d’être réellement convaincant, d’un jeune homme en crise vis-à-vis de sa masculinité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
La comédie dépressive est d’autant plus difficile à réussir que son caractère flottant, à contretemps, requiert sens du rythme et précision dans l’écriture. Soit tout ce qui manque à ce premier film qui, à trop se reposer sur le flegme d’ado attardé de Vincent Lacoste et sur les problèmes d’érection de son personnage, bande mou.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Porté par Vincent Lacoste dans un registre qu’il a déjà interprété, ce premier film sur les difficultés d’un adolescent attardé ne parvient pas à surprendre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le message est mince, mais le film d’Antoine de Bary nous amuse. Jusqu’à ce qu’on comprenne que tout ça est très sérieux. Et là, on ne marche plus.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Encore une chronique sur l’immaturité et le sentiment d’insécurité d’une jeunesse angoissée à l’idée de se frotter à la dure réalité, qui joue la carte de l’insouciance décalée et des rebondissements absurdes sans vraiment amuser.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
A la dernière demi-heure du film, cet empêchement fait basculer Mes jours de gloire dans quelque chose de plus profond que l’on n’avait pas senti venir. Promptement évacué, ce retournement tend à donner le sentiment que l’on est passé à côté du personnage.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Vincent Lacoste faisant du Vincent Lacoste dans la vacuité de l'existence, ce n'est pas suffisant.
Paris Match
par Yannick Vely
On a même l'impression que le récit met trop de temps à trouver son sujet, même si la fausse maladresse de Vincent Lacoste fait souvent mouche.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Louis Guichard
Une des trouvailles de l’auteur-réalisateur consiste à traduire cette inaptitude par une impuissance sexuelle tragi-comique. Hélas, parmi d’autres défauts (de rythme et de ton), la bonne idée se retourne contre le film, quand l’érection du jeune homme devient le critère ultime de son regain de forme, sans trop d’attention à sa partenaire d’alors, selon un schéma antédiluvien…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un tout petit navet très oubliable.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
20 Minutes
Vincent Lacoste incarne un jeune comédien paumé dans « Mes jours de gloire ». Toutes ses qualités d'acteurs sont mises à contribution.
BIBA
[...] drôlissime premier long-métrage d’Antoine de Bary [...].
Elle
Drôle et émouvant !
Le Figaro
Pour son premier film, Antoine de Bary dessine le portrait d’un perdant nonchalant, l’excellent Vincent Lacoste.
Le Parisien
Léger, gonflé, plein de fantaisie, cette comédie brosse le portrait d'un loser attachant.
Les Fiches du Cinéma
"Mes jours de gloire", dans sa savante balance entre la mélancolie et le potache, fait graviter autour de Vincent Lacoste une idée très belle car applicable au film et à son acteur : l’important, dans une vie de cache-cache, c’est avant tout d’être découvert.
Marianne
Incarné avec charme et délicatesse par l’excellent Vincent Lacoste, un film audacieux qui s’impose comme l’une des belles surprises du moment du côté du cinéma français.
Positif
Ce premier long métrage combine efficacement le loufoque, le comique et le dramatique.
Voici
Vincent Lacoste nous régale encore une fois à traîner sa nonchalance dans cette comédie existentielle qui a le grand mérite de parler de la dépression des jeunes adultes, tout en questionnant la masculinité, avec un humour déculpabilisant.
Bande à part
"Mes jours de gloire" d'Antoine de Bary met à l'honneur Vincent Lacoste dans les errances d'un jeune adulte parfaitement taillées à sa mesure. Un film qui dresse, en creux, le portrait amoureux de son comédien.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Si grandir c’est vieillir, si vieillir c’est un jour mourir, alors il est heureux que Vincent Lacoste ne lâche pas l’enfance et continue au cinéma son voyage imaginaire qui se joue du temps.
Le Dauphiné Libéré
Si grandir c’est vieillir, si vieillir c’est un jour mourir, alors il est heureux que Vincent Lacoste ne lâche pas l’enfance et continue au cinéma son voyage imaginaire qui se joue du temps.
Les Inrockuptibles
"Mes jours de gloire" ne fouine pas tellement du côté de l’étude méta au profit d’un programme plus insouciant : la chronique d’une errance, d’une espèce d’insubordination d’enfant gâté, mélange d’absentéisme, de séduction, de malice, et que le film serait peut-être la meilleure façon de vivre.
Libération
Sans jamais cesser d’être charmant, le film surprend donc rarement.
Première
Vu sous ce faux angle autobiographique, Mes jours de gloire dénote une mélancolie tenace traversée d’éclairs comiques, lacostiens en diable : le héros qui prétexte un incendie aux pompiers pour pouvoir rentrer chez lui gratos (il a oublié ses clefs) ou qui se met à être tactile avec ses potes pour prouver à sa mère psy qu’il n’est pas un gay refoulé...
Sud Ouest
On s’amuse pourtant, grâce à un scénario écrit sur mesure pour Vincent Lacoste dont le jeune réalisateur, Antoine de Baly, est un ami proche.
Télé 2 semaines
Sous des faux airs de comédie et avec une légèreté de ton salutaire, le réalisateur aborde le thème de la dépression.
aVoir-aLire.com
Une comédie sincère et tendre qui relate le destin maladroit et d’un jeune parisien, comédien de surcroît. Les quelques maladresses du récit s’estompent au profit d’un portrait intègre et attachant.
Cahiers du Cinéma
Le film arrive bien en retard, en se recroquevillant sur un fond « à la Apatow » éventé depuis plus de dix ans (amitié masculine et chronique d’un dépucelage tardif presque vécu comme une maladie honteuse).
Critikat.com
Antoine de Bary dresse le portrait assez amusant, à défaut d’être réellement convaincant, d’un jeune homme en crise vis-à-vis de sa masculinité.
L'Obs
La comédie dépressive est d’autant plus difficile à réussir que son caractère flottant, à contretemps, requiert sens du rythme et précision dans l’écriture. Soit tout ce qui manque à ce premier film qui, à trop se reposer sur le flegme d’ado attardé de Vincent Lacoste et sur les problèmes d’érection de son personnage, bande mou.
La Croix
Porté par Vincent Lacoste dans un registre qu’il a déjà interprété, ce premier film sur les difficultés d’un adolescent attardé ne parvient pas à surprendre.
La Voix du Nord
Le message est mince, mais le film d’Antoine de Bary nous amuse. Jusqu’à ce qu’on comprenne que tout ça est très sérieux. Et là, on ne marche plus.
Le Journal du Dimanche
Encore une chronique sur l’immaturité et le sentiment d’insécurité d’une jeunesse angoissée à l’idée de se frotter à la dure réalité, qui joue la carte de l’insouciance décalée et des rebondissements absurdes sans vraiment amuser.
Le Monde
A la dernière demi-heure du film, cet empêchement fait basculer Mes jours de gloire dans quelque chose de plus profond que l’on n’avait pas senti venir. Promptement évacué, ce retournement tend à donner le sentiment que l’on est passé à côté du personnage.
Ouest France
Vincent Lacoste faisant du Vincent Lacoste dans la vacuité de l'existence, ce n'est pas suffisant.
Paris Match
On a même l'impression que le récit met trop de temps à trouver son sujet, même si la fausse maladresse de Vincent Lacoste fait souvent mouche.
Télérama
Une des trouvailles de l’auteur-réalisateur consiste à traduire cette inaptitude par une impuissance sexuelle tragi-comique. Hélas, parmi d’autres défauts (de rythme et de ton), la bonne idée se retourne contre le film, quand l’érection du jeune homme devient le critère ultime de son regain de forme, sans trop d’attention à sa partenaire d’alors, selon un schéma antédiluvien…
L'Humanité
Un tout petit navet très oubliable.