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Votre avis sur Petites danseuses ?
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Film pénible à voir pour de multiples raisons. Tout d’abord les jeunes actrices : sachant qu’elles sont filmées elles ne font pour la plupart que minauder devant la caméra et deviennent très vite insupportables à écouter avec des dialogues de leur âge c’est-à-dire niais (le summum étant atteint quand elles imitent les membres d’un jury d’un concours de danse de façon ridicule et enfantine). Deuxièmement la professeur de danse profondément antipathique dans le comportement vis-à-vis de ses élèves. Troisièmement la façon de filmer qui est catastrophique : les jeunes actrices sont en totale roue libre (avec une fausse scène de dispute entre 2 sœurs totalement ratée et insignifiante) et qui ressemble plus à un film de famille qu’à du cinéma. Et enfin le thème de la danse qui est si maladroitement abordé que c’est à vous en dégouter. Bref si vous êtes un amateur de danse et de cinéma comme moi, film malheureusement à fuir absolument.
En tant qu'ancienne élève de conservatoire en danse classique et maman d'une petite fille férue de danse, je trouve que ce film fait vraiment de la "mauvaise pub" à l'enseignement de la danse. Certes, la professeure y est passionnée, investie, et elle obtient de beaux résultats aux concours. Mais à quel prix ? On y voit une petite fille de 6 ans, regard triste, dans ce cours depuis ses 2 ans 1/2, suivre un entraînement intensif à raison de 5 cours de danse par semaine (?? une aberration...), une autre petite fille de 11 ans qui a des problèmes récurrents aux hanches à cause de la danse (on imagine l'entraînement subi pour en arriver là aussi jeune !!) préparer un concours d'entrée pour une école à horaires aménagés (on imagine déjà qu'elle ne pourra pas faire carrière et devra se réorienter...) et présenter une variation de concours avec de la fièvre et après une nuit blanche (une chance qu'elle ne soit pas tombée dans les pommes sur scène) ! Et tout cela avec la complicité des parents, qui semblent ignorer à quel point ces pratiques sont délétères et inefficaces à long terme... Une danseuse étoile avec qui ma fille a échangé récemment après un spectacle lui a conseillé de... ne surtout pas débuter trop jeune (en particulier les pointes) ! Elle-même n'avait commencé qu'à 8 ans... Bref, c'est plutôt un film que je conseillerais pour faire de la prévention des mauvaises pratiques !
🎬 RENGER 📼
Anne-Claire Dolivet nous immisce en plein cœur d’un cours de danse à Paris et nous plonge dans la vie trépidante de ces petites filles, âgées entre 6 & 11 ans. Elles ont toutes un point en commun, celui d’avoir pour passion la danse et de suivre intensément des cours qu’elles alternent avec des concours aux quatre coins de la France. Demandant une rigueur et une souplesse de chaque instant, ces dernières ont dû réaménager leur planning pour leur permettre d’aller au bout de leurs rêves, allant à l’école le matin et consacrant leurs après-midis et parfois leurs soirées à la danse.
La réalisatrice lève le voile sur ce travail intensif & soutenu qu’elles s’imposent dès leur si jeune âge, devant conjuguer entre rêves de petites filles et exigences d’athlètes. Pour son premier long-métrage, coécrit avec Mathias Théry (à qui l’on doit La Sociologue et l'Ourson - 2016 & La Cravate - 2020), elle a su capter à merveille l’intimité de ces jeunes filles, entre doutes, résiliences, craintes, angoisses, joies & peines. Certaines paraissent si matures alors qu’elles n’ont que 10ans. Jeanne, Olympe, Ida et Marie sont de tous les plans, du cours de danse avec Muriel leur professeur charismatique en passant par des moments plus calmes lorsqu’elles sont chez elles, en famille ou entre copines, on sent l’entraide et l’amitié qui les unies les unes aux autres.
Petites Danseuses (2021) ne peut pas être résumé à un simple documentaire sur la danse, puisqu’il y est aussi et surtout question d’abnégation et d’apprentissage. Le film alterne les rires et les larmes, entre pudeur et volonté de réalisme. Le film dresse aussi le portrait d’un personnage haut en couleur, celui de Muriel, ce professeur aussi déterminé qu’exigeant. On sent la passion qui l’anime et sa dévotion. De magnifiques portraits touchants dans le quotidien de ces petites filles qui rêvent de devenir danseuses étoiles, le tout, magnifié par la musique de Malik Djoudi.
► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
La réalisatrice lève le voile sur ce travail intensif & soutenu qu’elles s’imposent dès leur si jeune âge, devant conjuguer entre rêves de petites filles et exigences d’athlètes. Pour son premier long-métrage, coécrit avec Mathias Théry (à qui l’on doit La Sociologue et l'Ourson - 2016 & La Cravate - 2020), elle a su capter à merveille l’intimité de ces jeunes filles, entre doutes, résiliences, craintes, angoisses, joies & peines. Certaines paraissent si matures alors qu’elles n’ont que 10ans. Jeanne, Olympe, Ida et Marie sont de tous les plans, du cours de danse avec Muriel leur professeur charismatique en passant par des moments plus calmes lorsqu’elles sont chez elles, en famille ou entre copines, on sent l’entraide et l’amitié qui les unies les unes aux autres.
Petites Danseuses (2021) ne peut pas être résumé à un simple documentaire sur la danse, puisqu’il y est aussi et surtout question d’abnégation et d’apprentissage. Le film alterne les rires et les larmes, entre pudeur et volonté de réalisme. Le film dresse aussi le portrait d’un personnage haut en couleur, celui de Muriel, ce professeur aussi déterminé qu’exigeant. On sent la passion qui l’anime et sa dévotion. De magnifiques portraits touchants dans le quotidien de ces petites filles qui rêvent de devenir danseuses étoiles, le tout, magnifié par la musique de Malik Djoudi.
► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
Yves G.
La caméra empathique d'Anne-Claire Dolivet filme pendant une année une troupe de fillettes qui suivent les cours d'un atelier de danse dans le dix-huitième arrondissement parisien. Elle s'attache à quatre d'entre elles, Jeanne, la plus jeune, six ans à peine, Olympe, la plus espiègle, Ida, la plus douée et Marie, la plus hésitante.
Le sujet de ce documentaire peut inspirer quelques préventions. On pourrait craindre qu'il ait été paresseusement choisi pour attirer le public captif de toutes ces petites filles qui rêvent de devenir étoiles de l'Opéra et de leurs mères qui projettent sur elles leurs rêves inaboutis.
Et sa première moitié corrobore ces craintes. Sans grande originalité, on assiste à quelques leçons où l'on voit évoluer ces enfants minuscules qui essaient de se plier à l'implacable discipline de la barre sous la férule d'une professeure exigeante mais juste ; on suit ces jeunes filles, chez elles, où on imagine volontiers que la réalisatrice a eu l'autorisation de tourner en obtenant l'accord de parents d'abord réticents à dévoiler leur intimité.
Mais lentement, le documentaire prend de l'intérêt. Derrière des images gentillettes de fillettes en tutu qui s'essaient aux entrechats, on découvre une étonnante palette de sentiments : leur passion pour la danse, leur rêve à la fois inaccessible et admirablement ambitieux d'en faire leur métier, leur concentration, la peur qui les prend aux tripes - et qu'elle nous communique - à l'approche des concours, leur douleur physique quand elles se blessent, leur joie ineffable quand elles décrochent enfin une médaille.
Je me suis surpris à m'émouvoir alors que rien a priori, dans cette palette de sentiments-là n'aurait dû me toucher : je n'ai pas fait des pointes enfant et n'ai pas de petite fille hélas à accompagner à son cours de danse. Et j'imagine alors l'émotion que doit ressentir la petite spectatrice de six ans assise au bout de ma rangée et sa maman qui la couve.
Le sujet de ce documentaire peut inspirer quelques préventions. On pourrait craindre qu'il ait été paresseusement choisi pour attirer le public captif de toutes ces petites filles qui rêvent de devenir étoiles de l'Opéra et de leurs mères qui projettent sur elles leurs rêves inaboutis.
Et sa première moitié corrobore ces craintes. Sans grande originalité, on assiste à quelques leçons où l'on voit évoluer ces enfants minuscules qui essaient de se plier à l'implacable discipline de la barre sous la férule d'une professeure exigeante mais juste ; on suit ces jeunes filles, chez elles, où on imagine volontiers que la réalisatrice a eu l'autorisation de tourner en obtenant l'accord de parents d'abord réticents à dévoiler leur intimité.
Mais lentement, le documentaire prend de l'intérêt. Derrière des images gentillettes de fillettes en tutu qui s'essaient aux entrechats, on découvre une étonnante palette de sentiments : leur passion pour la danse, leur rêve à la fois inaccessible et admirablement ambitieux d'en faire leur métier, leur concentration, la peur qui les prend aux tripes - et qu'elle nous communique - à l'approche des concours, leur douleur physique quand elles se blessent, leur joie ineffable quand elles décrochent enfin une médaille.
Je me suis surpris à m'émouvoir alors que rien a priori, dans cette palette de sentiments-là n'aurait dû me toucher : je n'ai pas fait des pointes enfant et n'ai pas de petite fille hélas à accompagner à son cours de danse. Et j'imagine alors l'émotion que doit ressentir la petite spectatrice de six ans assise au bout de ma rangée et sa maman qui la couve.
Quel beau documentaire, tout en délicatesse, qui m'a happé du début à la fin! Regarder ces enfants si matures et en même temps si espiègles, grandir dans cet univers de passion-obsession qu'est la danse classique, m'a vraiment fasciné. Un vrai baume au coeur pour démarrer cette rentrée!
Un documentaire de qualité sur l'apprentissage de la danse classique.
J'ai aimé entendre aussi les rires des filles, car elles sont avant tout des enfants, même si elles travaillent comme des adultes.
J'ai aimé que les parents soient présents dans la formation de leur enfant.
Le concours final arrive comme une conclusion.
Les dernières minutes m'ont paru de trop, sans véritable recul. Des enfants à rejoindre dans quelques années, sans doute.
J'ai aimé entendre aussi les rires des filles, car elles sont avant tout des enfants, même si elles travaillent comme des adultes.
J'ai aimé que les parents soient présents dans la formation de leur enfant.
Le concours final arrive comme une conclusion.
Les dernières minutes m'ont paru de trop, sans véritable recul. Des enfants à rejoindre dans quelques années, sans doute.
très beau film documentaire sur des danseuses en devenir, entre l' innocence de l' enfance et la passion dévorante, garder le sourire et surtout ne pas montrer l'effort et le travail ...le documentaire est une plongée dans un univers où la rigueur et l'épanouissement s'entremêlent avec douceur et finesse à voir !
Touchante immersion au coeur d'un cours de danse classique.
Les élèves, la professeure et les parents composent une série de portraits touchants et fragiles.
Un film sur la passion de la danse, l'enfance et la filiation.
Mais qu'est-ce que la Passion quand on 3/6/10 ou 12 ans?
Longue vie aux Petites danseuses.
Les élèves, la professeure et les parents composent une série de portraits touchants et fragiles.
Un film sur la passion de la danse, l'enfance et la filiation.
Mais qu'est-ce que la Passion quand on 3/6/10 ou 12 ans?
Longue vie aux Petites danseuses.
Un film plein de sensibilité qui a su nous tenir en haleine. Les émotions en dent de scie d'Olympe qui perturbent sa progression mais ne l'arrêtent pas, la blessure qui fait vaciller Ida mais qui ne l'empêche pas de décrocher l'or, les questionnements de Jeanne et de Marie sur leur avenir alors qu'elles sont si jeunes... Et au milieu de tout cela, la danse, la grâce et l'amitié. Très beau documentaire à voir en famille ou entre passionnés de danse.
J'ai passé un excellent moment avec Petites Danseuses. Un très bon documentaire qui montre bien comme il est difficile de consacrer sa vie à la danse classique (ou à une autre discipline). J'ai retrouvé le parcours de ma propre fille et la volonté qu'elle a eu pour continuer malgré les douleurs. C'est un très bon exemple pour les jeunes actuels et qui prouve qu'avec de la volonté on arrive, c'est aussi un excellent exemple pour leur avenir car cela oblige d'être exigeant avec soi même dans tous les domaines. Merci à Anne-Claire Dolivet .
Un film pour tous les amoureux de la danse ou ceux qui s'interrogent sur les questions d'éducation. Jusqu'à quel point pousser nos enfants, soutenir leur passion? la réponse n'est pas simple. Un film juste, pudique, qui laisse de la liberté à chacun. Et pour les amoureux de danse comme moi, c'est toujours un plaisir de passer 1h30 dans cet univers!
Un film particulièrement émouvant sur ce parcours tendu entre rêves de gloire et douleur, compétition et amitiés, insouciance enfantine et maturité (trop ?) tôt venue que suivent quatre jeunes apprenties danseuses.
Renter dans une intimité telle, nous permets de voir ce monde classique émotif, rigoureux avec énormément de tendresse !
Petites Danseuses", un film documentaire de la Grande Dolivet Anne-Claire, qui comme l'indique le titre, parle de petits êtres en chignon bien serré, qui se rêvent danseuses étoiles. La manière dont la réalisatrice suit ces gamines est d'une grande tendresse et ou parfois de manière très nerveuse. Ces moment de caméra décrivent comment elle se sentent pendant leur moment de doutes, de concours, de stress, de joie. Ce qui est touchant, voir dure, c'est la rapport de la mère à l'enfant. on y voit des moments complexes où on se dit que la mère va retirer son enfant, cela va de soi et pourtant.... Anne Claire les suit tellement de manière intimiste qu'on comprend que rien n'est si simple... Et la prof, la TRANSMiSSION est traitée à travers cette grande femme charismatique. Perso au début, j'avais envie de la baffer et petit à petit .... Une envie folle comme toutes ces petites de la prendre dans mes bras et m'y noyer. Encore une fois, dans l'écriture du scénario Anne Claire a su faire preuve de subtilité pour montrer toutes les nuances de la transmission de cette passion qui demande une Discipline hors norme. On pleure et rit tellement pendant une heure trente du film.. à voir pour recevoir un moment de tendresse pure.
Ce n est pas un film sur la danse mais sur les émotions : le plaisir et la souffrance de danser pour accéder à ses rêves ! C est délicat beau onirique ! On y ri et pleure car oui ce film réveille nos souvenirs d enfance et nous interroge sur notre rôle de parent ….
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