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En refusant de faire l'impasse sur les conséquences d'une tragédie tout en évitant un ton belliqueux, [Mats Grorud] s'acquitte d'un film propice au débat et à la réflexion.
Relevant le défi d'un film en stop-motion, bourré d'humour, sur le sort des expatriés, cette fable politique et poétique, relevée d'un soupçon de cocasserie surréaliste, fait mouche. Une saga familiale sur le déracinement qui éclairera parents et enfants sur la blessure à vif d'un peuple oublié.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les souvenirs, les drames, les désespoirs, mais aussi la chaleur humaine, l’humour, la cocasserie, tissent le fil d’un récit que l’animation de figurines originales charge d’une poésie simple.
Si le film de Mats Grorud n’a pas la puissance formelle de "Valse avec Bachir" ou de "Persepolis", il écrit joliment et à hauteur d’homme l’histoire des vaincus, de ceux qui n’intéressent plus.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Habile dans son utilisation des techniques d’animation traditionnelles, Wardi narre un récit fort et tendre, au prisme du regard d’une jeune héroïne en quête de son passé.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Malgré ses menus défauts, (...) "Wardi" reste une belle proposition de cinéma, à travers cette suite de témoignages recueillis par une jeune héroïne qui garde l'espoir d'un avenir meilleur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L’animation permet certes de créer une distance avec ces histoires tragiques, mais ce filtre n’est parfois pas suffisant pour sublimer la dureté de certaines scènes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Ce premier film, mêlant 2D et animation en volume, sonde avec délicatesse la mémoire d’exilés tous orphelins d’une terre où certains n’ont jamais mis les pieds.
Le réalisateur, norvégien, dont la mère était infirmière dans des camps libanais, a enseigné dans le camp beyrouhtin de Burj ElBarajneh. Il livre un « conte », poétique et fort bien documenté, à la portée d’enfants de 10 ou 11 ans.
Parfaitement maîtrisé, cet alliage inventif permet à ce premier long métrage du réalisateur norvégien Mats Grorud, de poser avec une rare force son sujet sous-jacent, à savoir le rapport entre l’écoulement du temps, la mémoire et l’espoir.
Joli mélange d’animation de marionnettes (pour le récit au présent) et d’animation traditionnelle (pour les flashbacks), Wardi est une bonne introduction, tendre et cruelle à la fois, à l’adresse de la jeunesse pour comprendre l’état de notre monde.
La critique complète est disponible sur le site Première
Paris Match
Un voyage indispensable pour voir le monde autrement.
20 Minutes
« Wardi » mélange les techniques d’animation pour donne un résultat bouleversant.
Cahiers du Cinéma
Un film étonnant, aussi précieux dans sa forme que par son sujet.
L'Express
En refusant de faire l'impasse sur les conséquences d'une tragédie tout en évitant un ton belliqueux, [Mats Grorud] s'acquitte d'un film propice au débat et à la réflexion.
L'Humanité
Un film poétique mêle les techniques d’animation et travaille l’histoire dans un camp de réfugiés palestiniens.
L'Obs
Relevant le défi d'un film en stop-motion, bourré d'humour, sur le sort des expatriés, cette fable politique et poétique, relevée d'un soupçon de cocasserie surréaliste, fait mouche. Une saga familiale sur le déracinement qui éclairera parents et enfants sur la blessure à vif d'un peuple oublié.
Le Dauphiné Libéré
Les souvenirs, les drames, les désespoirs, mais aussi la chaleur humaine, l’humour, la cocasserie, tissent le fil d’un récit que l’animation de figurines originales charge d’une poésie simple.
Les Fiches du Cinéma
À la croisée des techniques de l'animation, ce film d'animation séduit par son récit mémoriel et sa prégnance lyrique.
Libération
Si le film de Mats Grorud n’a pas la puissance formelle de "Valse avec Bachir" ou de "Persepolis", il écrit joliment et à hauteur d’homme l’histoire des vaincus, de ceux qui n’intéressent plus.
Positif
Qu'il s'agisse du temps perdu ou du présent, le réalisme et l'art poétique coïncident dans le portrait brossé de la joie et de la peine.
Télérama
Avec des dessins pour les flash-back et des marionnettes pour le présent, la vie des réfugiés palestiniens au Liban suscite une profonde empathie.
aVoir-aLire.com
Habile dans son utilisation des techniques d’animation traditionnelles, Wardi narre un récit fort et tendre, au prisme du regard d’une jeune héroïne en quête de son passé.
Culturopoing.com
Malgré ses menus défauts, (...) "Wardi" reste une belle proposition de cinéma, à travers cette suite de témoignages recueillis par une jeune héroïne qui garde l'espoir d'un avenir meilleur.
La Croix
L’animation permet certes de créer une distance avec ces histoires tragiques, mais ce filtre n’est parfois pas suffisant pour sublimer la dureté de certaines scènes.
Le Figaro
Juste, sensible et non dénué d'humour.
Le Journal du Dimanche
Ce premier film, mêlant 2D et animation en volume, sonde avec délicatesse la mémoire d’exilés tous orphelins d’une terre où certains n’ont jamais mis les pieds.
Le Monde
Le réalisateur, norvégien, dont la mère était infirmière dans des camps libanais, a enseigné dans le camp beyrouhtin de Burj ElBarajneh. Il livre un « conte », poétique et fort bien documenté, à la portée d’enfants de 10 ou 11 ans.
Les Inrockuptibles
Parfaitement maîtrisé, cet alliage inventif permet à ce premier long métrage du réalisateur norvégien Mats Grorud, de poser avec une rare force son sujet sous-jacent, à savoir le rapport entre l’écoulement du temps, la mémoire et l’espoir.
Première
Joli mélange d’animation de marionnettes (pour le récit au présent) et d’animation traditionnelle (pour les flashbacks), Wardi est une bonne introduction, tendre et cruelle à la fois, à l’adresse de la jeunesse pour comprendre l’état de notre monde.