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Neverland Asphyxie
25 abonnés
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1,5
Publiée le 31 juillet 2023
Spirale n'a rien d'un Saw même si assumé comme un ''spin off''. C'est une pale copie grossière de celui ci, un simple film policier vaguement gore et surtout du vu et revu sans personnalité. seul point positif : la dénonciation des violences policières aux USA. On attend Saw 10 en septembre pour rattraper cette daube...
Mouais.... Juste moyen. Les qq pièges ne sont pas très novateurs. Le scénario est basique. spoiler: L'identité du tueur est devinée bien avant la fin pour qui regarde ça avec un minimum de jugeotte (Tueur = le seul qu'on ne voit pas se faire tuer) . Le final quant à lui n'a rien d'extraordinaire, Saw nous avait habitué (pas toujours il est vrai) à des twists et des fins un peu plus travaillés. Chris Rock en fait un peu trop, et Samuel L. Jackson a sans doute pris ce rôle que pour payer les factures. Pas nul, mais pas de quoi se taper les fesses par terre non plus.
... Réalisé par Bousman... Bah... Il a accouché de ce film Niais au possible, construction du film qui fait... Qu'on devine qui est le tueur... Parce que oui... Là on s'éloigne aussi de la trame principale de la saga, parce que là c'est purement des meurtres de vengeance Bref, à part remettre le thème musicale de Saw et un clin d'œil à un "jeu" emblématique, il n'y a rien à en tirer... Dommage
Neuvième volet de la série horrifique “Saw”, “Spirale : l’héritage de Saw” est un spin-off de la franchise, réalisé par Darren Lynn Bousman déjà aux commandes de “Saw 2, 3 et 4”. Un lieutenant et son nouveau partenaire enquêtent sur une série de meurtres macabres dont le mode opératoire rappelle celui de “Jigsaw”. Pris au piège sans le savoir, le policier se retrouve au centre d’un stratagème terrifiant dont le tueur tire les ficelles. Bien moins surprenant que les premiers volets, “Spirale” rate l’occasion d’offrir un nouvel élan à la franchise. Le nouveau tueur au puzzle est loin de faire le poids de John Kramer et ses énigmes ne sont pas convaincantes. De plus, le réalisateur semble vouloir suggérer ses pièges à torture plutôt que de nous en montrer véritablement les rouages. Il nous reste alors les quelques hommages rappelant la musique de l’univers ou la pièce menottée où tout avait commencé. Ce film d’horreur se laisse regarder sans pour autant être à la hauteur de ses aînés. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
" Spirale : L'Héritage de Saw" 9 éme opus de la franchise horrifique est une suite qui se regarde . En effet même si l'histoire ne réserve plus aucune surprise et que nous sommes loin du niveau du premier opus, le scénario est toujours aussi diabolique avec des meurtres toujours aussi gore et violent et l'histoire surprend par sa dimension politique en dénonçant les violences policières aux Etats Unis
Au bout d'un moment il faut savoir s'arrêter. Les fausses pistes sont trop évidentes, le dénouement assez prévisible, l'esprit saw aux abonnés absents.
Des pièges peu créatifs combinés au jeu d’acteur de Chris Rock assez horripilant tant il en fait trop, ainsi qu’à des acteurs secondaires sans background, font qu’on se désintéresse très rapidement du sort de tous les protagonistes ! Alors quand en plus on a des incohérences ou des invraisemblances de folie (cf. : la scène dans le sous-sol du commissariat) et une fin ratée car on voit très bien qui tire les ficelles depuis le début, on se dit qu’on a affaire là à un bien mauvais épisode de la saga qui d’ailleurs n’a que très peu de rapport avec elle à part une mention dans son titre !
Un épisode de la saga qui nous laissera encore sur le c**, car effectivement de nouveaux rebondissements sont à prévoir et la fin nous laisse en haleine et donne plus qu’envie d’en savoir sur la suite qui arrivera prochainement. Je le déconseille aux moins de 16 ans. 4/5
Cette fois, plus de "reboot", flash-back dans tous les sens ou incohérences de scénario, on est bien là dans une réelle suite, de réelles années après le "Chapitre final" avec en prime, une réelle nouvelle équipe dont la nouvelle affaire sordide s'inspire clairement de Kramer. Premier volet à ne pas (enfin) spoiler: nous remontrer John en phase mourante ou à "former" son futur disciple (c'est d'ailleurs la première incohérence, ou est finalement passer Scott Patterson ?), un nouveau cast mener par, et c'est une première pour la saga, par Chris Rock (bien plus issu du comique et des talk-show) et Marisol Nichols en "énième" flic mais là aussi une première, première femme flic "principale" de la saga, là ou Athena Karkanis ("Saw 4 & 6) était seulement agent. Un duo dynamique d'entrée de jeu avec une familiarité assez fun dépoussiérant les habituels codes verbaux de la saga, charactère moins "officieux", un élan plus "rock" sans trop aller dans les formalités. Niveau récit donc, la succession est bien gérée, un jeu percutant avec les traits comique assez direct de Rock, dans un registre gore, c'est assez spéciale. Une dynamique entraînante dans ce récit ou le policier reviens nettement à la charge comme le premier volet, avec des scènes de tortures moins clivantes disons franchement, même si le montage, visuels et son sont top, on reviens là aux tous débuts, plutôt dommage en réalité, mais le thriller reste implacable. Niveau messages télévisés, on baisse cruellement en qualité, la technique se passe des bonnes tensions et passe aux vidéos presque numériques assez minables et à l'audio non travailler, adieux donc la vieille poupée en costume 3 pièces (encore une première). "Spirale" offre donc son GROS LOT de nouveauté afin de vouloir de "débarrassée" de ses éléments phares, mais pas certains que ces nombreux détails fassent l'unanimité. Le ratage technique du "3D" est officiellement loin mais le retour à l' "expresse gore" et le départ de la poupée star entament presque un déclin annoncer. Le final reste par contre percutant, assez facile là ou le thème emblématique signait le clap véridique, laissant place à de simples regards vaquant. La force de la saga ne s'est pas totalement envolée mais quelques éléments baisses en régime. Le comique à réussi son entrée, va savoir s'il sera de retour prochainement et pour le reste, allons également savoir ?
Bousman après s'être attelé à plusieurs épisode de la saga saw, reprend les commandes de ce "renouveau" de la franchise. On retrouve certains des ingrédients qui ont fait le succès du premier : une intrigue plus centrée sur l'enquête que sur les pièges, des effets de réalisation et de gore assez classique à la série et bien sur la musique emblématique. Malheureusement le film est lent, la lumière vraiment pas belle et on en ressort pas déçu mais pas vraiment convaincu non plus.
"Spirale" Un flic et son nouveau collègue enquête sur un meurtre portant le signe de Jigsaw pourtant décédé... Alors on pensait en avoir fini avec cette saga et bien non revoilà les séances de "détente" avec ce que cela comporte avec des idées tordus pour torturer les victimes elles sont moins "imaginatives" mais toujours aussi dégueulasse à mater. Enfin moins disons faut être pas bien dans sa tête tout de même, l'enquête avance bien sans trop d'incohérence même si on devine facilement la suite des événements même si ils tentent de brouiller les pistes par moment et le fait que le flic qui enquête doit souvent ce d'emmerder et des flashback sont encore là pour brouiller. Rock et Jackson (il est partout lui piou) font le taf même si le premier nommé abuse par moment après ça va c'est pas mal à regarder , on prend ce qu'il y a à prendre. Si j'avoue le passage avec le méchant est un peu foireux par moment et vous comprendrez pourquoi assez vite mais aller c'est pas mal. NOTE : 6/10
Le lieutenant Ezekiel «Zeke» Banks et son nouveau partenaire enquêtent sur une série de meurtres macabres dont le mode opératoire rappelle étrangement celui d’un tueur en série qui sévissait jadis dans la ville.
C'est Darren Lynn Bousman qui réalise ce neuvième volet de la saga horrifique Saw. L'Américain avait déjà fait le second, troisième et quatrième opus. Le scénario a été écrit par Pete Goldfinger et Josh Stolberg de Jigsaw, tout cela sur une idée de départ de Chris Rock.
De base, j'aime Saw et son concept, mais force est de constater que la saga a perdue en qualité avec le temps. Alors que Jigsaw était vraiment mauvais, ce neuvième opus relève le niveau même s'il reste moyen.
Je me demande où va s'arrêter l'exploitation de cette saga qui n'a plus de sens. On nous sort des excuses pas possibles pour expliquer pour la faire perdurer. Ce sentiment de forçage est donc assez agaçant et n'aide pas à la visualisation. Le plus problématique est que l'état d'esprit n'a plus rien à voir avec le premier. En 2004, on était sur un tueur intelligent qui laissait réellement leur chance aux victimes. Il y avait comme une morale et surtout les pièges étaient ingénieux. Maintenant c'est juste du sadisme.
Alors je ne suis pas forcément répugné par cela, mais seulement ce n'est pas le sens de cette saga. Désormais c'est uniquement du gore et point à la ligne. Heureusement, que ces passages ont une bonne intensité.
Globalement, le rythme va être convenable. On se laisse prendre dans cette enquête. J'imaginais largement pire avec un enchainement stupide de morts, mais ce n'est pas le cas avec un minimum de fil conducteur. Alors certes, l'intrigue est évidente vue les indices dans la réalisation mais cela aurait pu être pire.
Par contre, j'ai été catastrophé par Chris Rock. Qu'est-ce qu'il est mauvais dans ce rôle. Il est toujours dans l'exagération et ça tourne certaines scènes en ridicule. En revanche, Max Minghella est beaucoup plus satisfaisant dans la peau de son coéquipier, tout comme l'inamovible Samuel L. Jackson même s'il n'apparait pas beaucoup.