Original, déjanté, subversif (non) mais cool. Des scènes bientôt cultes comme une danse endiablé de Katerine. Doria Tillier est également excellente (et charmante) en analyste pour cette marque d'électroménager.
l'idée de départ d'un scénario aussi bon soit-il ( c'est le cas de celui de "Yves") ne suffit pas pour faire un long-métrage, si cela ne se transforme pas en évolution sur une heure quarante. Hors le spectateur s'ennuie très vite car de l'idée ingénieuse de dénoncer le " tout connecté", on s'enlise dans un manque d'imagination, du remplissage comme la scène où ils dansent autour de "Yves". le tout finit par faire flop à l'arrivée. Dommage..
Assez original, correctement joué, plutôt amusant. Le délire est certes poussé un peu loin avec le frigo, surtout avec la scène finale, mais l'ensemble est agréable.
Un film déjanté mais avec un vrai thème abordé, celui que la technologie et de sa place dans la société, la vie de tous les jours mais aussi du monde artistique. Sur un fond d'histoire d'amour. William Lebghil est très bon dans ce film !
C'est un film sans intérêt. C'est très mal joué, l'humour est bidon. L'angle est super mal choisit. Je sais pas si certaines parole et scènes sont choisies spécifiquement mais cela donne encore moins d'intérêt au film. Plus le film avance plus je me lasse de tout.
Ça commene par un rap qui parle...oui, directo dans la vulgarité. Pourquoi pointer "hétérosexuel" sans demander, sans savoir ? (première scène). Je regarde car j'avais aimé le protagoniste dans Jacky au royaume des filles et Voyez comme on danse. Le sujet du film a été traité maintes fois. Scénario bidon ? Mais pourquoi donc faire une présentation de frigo dans un frigidaire (pour les couleurs fluo?) ? Que c'est mal joué (Philippe Katerine)...on se retape le rap... À 30 minutes, alors là, tout le monde joue mal même Yves (et je n'ai pas ri une seule fois), ça promet...je crois pas que je vais tenir 1H46...surtout si on retombe dans la vulgarité. Scénario a 4 sous, réalisation a 4 sous, 5 acteurs, FXs a 2 sous (avec une voix off)...ça n'a pas dû couter bien cher de faire ce film. 40eieme minutes on se retape le rap (j'y crois pas!). Ce n'est pas possible Yves fait du rap aussi et...encore plus vulgaire que son propriétaire. Minute 53 ça redevient vulgaire, le rap recommence...je vais avancer dans l'histoire. Je tombe sur une scène de tribunal avec des dialogues hallucinant, Yves passe en jugement (? ? ?), on croit rêver, à son âge le protagoniste ne sait même pas ce qu'est une sourate...j'avance de nouveau.j'ai droit à un demi-striptease devant le frigo...re... J'y crois pas, la fin est PIRE que tous...incroyable...en 2019, avec des moyens comme il en existe faire un film comme ça !
La bande annonce (vue et revue) semble proposer un film intéressant et mystérieux. Aussi j'aime beaucoup l'acteur principal. Au final on a un film qui se veut original mais qui est juste absolument ridicule. Le début passe encore, la première demi-heure, on est attisés par la curiosité, mais ensuite tout le reste du film c'est aberrant. Je n'ai pas adhéré à cette histoire de produits ménagers intelligents et autonomes,
l'idée d'humaniser les robots du quotidien n'est pas nouvelle, le traitement jusqu'au boutisme est sans doute la force et l'originalité de ce film ovni. c'est également une dénonciation de la dépendance grandissante de l'homme envers la machine, liée à la société de consommation, qui est pointée du doigt. une curiosité, inégale, parfois superficielle, au final décevant mais portée par ses comédiens, W. Lebghil en tête.
Un frigo Yves qui parle ,conseille et qui finit par prendre le contrôle de Jerem son Propriétaire et rapeur sans réussite . Avec l'aide de son frigo intelligent , il obtiendra un bref succès médiatique qui se retournera contre lui . Le film est très singulier et délirant mais s’embourbe sur la deuxième partie ou sa loufoquerie l'emporte sur le discours des dangers de l'intelligence artificielle .
Absolutely the worst film I have seen in years. Not funny at all. No clever dialogue. No believable romance. A waste of a good premise and a complete waste of almost two hours of my life. I should have walked out after the first 20 minutes. Don't waste your time or money on this one.
Difficile de se faire une opinion vraiment précise sur ce « Yves ». D'un côté, difficile de nier l'imagination de Benoît Forgeard pour offrir un scénario étonnant (un frigo intelligent prenant peu à peu le dessus (physique et intellectuel) sur son propriétaire, il fallait oser), offrant quelques moments vraiment savoureux tout en posant un regard critique et pertinent sur notre société, notamment à travers notre addiction aux nouvelles technologies (poussée ici à l'extrême et dans une logique assez absurde (quoique)), rendant relativement imprévisible son évolution du début à la fin, la beauté presque irréelle de l'irrésistible Doria Tillier étant assurément un atout précieux. Pourtant, dès les premières minutes j'ai eu beaucoup de mal à adhérer à l'entreprise. Forgeard a une approche de la mise en scène que je n'aime pas trop, ce à quoi s'ajoute une certaine tendance à la vulgarité, ce choix d'avoir fait du héros un chanteur de rap me laissant souvent dubitatif, n'étant pas (du tout) amateur de ce genre musical, même si un effort a indéniablement été fait sur l'écriture des textes. Je pourrais écrire beaucoup plus longuement sur le sujet, aussi bien pour énumérer les points positifs comme négatifs, mais les quelques lignes ci-dessus expriment assez bien mon ressenti général concernant un titre sur lequel je n'ai pas forcément envie de m'appesantir tant j'en suis sorti presque groggy, parfaitement illustré par la scène finale : culottée, mais limite scabreuse. Expérience étrange, audacieuse et pas vraiment convaincante.
Bon film, critique acerbe de la facilité d'une certaine partie de la jeunesse et hélas réaliste sur le niveau de qualité de la variété mondiale auto-tunée.
De belles idées, très original, un duo William Lebghil - Yves le frigo comme on n'en voit rarement, et pour cause... Benoit Forgeard creuse son sillon, et propose un cinéma qui n'appartient qu'à lui.