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    Yves
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    150 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 juillet 2020
    Franchement j’adore l’acteur mais là c’est juste pas possible. Comment peut on penser faire un film sans aucun contenu. Je viens de perdre 1h46 !! C’est long, très long !!
    Adi P.
    Adi P.

    24 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 juillet 2020
    Une daube sexiste et longue longue longue d'inerte inertie ! L'ennuie est sa première qualité quand au second degré il n'existe pas car sa tourne plutôt au millième degré pas drôle.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 mars 2020
    Ce film n'a aucun sens!!! Un bon gros navet. Rien de plus à dire malheureusement sur ce film qui ne m'a pas du touchée
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    358 abonnés 1 793 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 mars 2020
    Je suis habituellement friand des films avec William Lebghil mais je n’ai pas trop apprécié celui-ci. J’ai même trouvé l’acteur Français très suffisant dans sa manière de jouer. Il m’a grandement déçu. À force de faire toujours le même type de rôle, il s’est reposé sur ses lauriers. Je reste tout de même persuadé qu’il fera vite mieux. Concernant le film en lui-même, bien qu’il brille sur son thème, la manière dont s’est tournée fait perdre tout l’intérêt. J’adore le concept de la machine qui prend le pas sur l’homme. Concernant ce point précis, c’est réfléchi et mise œuvre de manière très réaliste. Ça pourrait arriver demain. La relation entre le frigo Yves et son propriétaire laisse songeur sur la manière dont évoluent les rapports entre les hommes et l'intelligence artificielle. Malheureusement, en voulant faire une comédie primaire, le chemin va un peu se perdre. On va tomber dans un excès un tantinet ridicule. Ils ont voulu aller trop loin afin de faire rire mais ça ne fonctionne pas forcément. Le personnage de William Lebghil au début est vraiment drôle mais à force il devient fatigant. Il y avait le potentiel pour nous faire rire sur quelques choses de profond, cependant, c’est pris dans le mauvais sens. La présence de Philippe Katerine est toujours sympathique mais loin d’être suffisante.
    Sterwerze
    Sterwerze

    34 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 février 2020
    C'est sympa, on se laisse porter par l'histoire. C'est pas un mauvais film mais il n'est pas exceptionnel non plus. Il tente des petits trucs et le scénario est particulier. J'ai passé un bon moment.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 7 février 2020
    Comédie loufoque, s'il en est. En ce qui me concerne, inattendue de bout en bout.
    Un jeune rappeur, sans envergure ni concession, vit seul dans un pavillon de banlieue. Un jour, on lui propose d'essayer un frigo "intelligent". Séduit par la commerciale et la gratuité de l'offre, il accepte. Bientôt, en plus de parler de lui faire ses courses, le frigo se met a prendre des initiatives. spoiler: Il arrange sa musique, la diffuse sur internet et commence a gérer sa vie sentimentale...

    Très drôle, rythme rappé, interprétations impeccables et sous-texte pertinent de l'objet qui se rend indispensable spoiler: et, en quelques sortes, s'incruste au point de voler la vedette à son utilisateur
    . Je suppose qu'il faut aussi y voir un pied de nez au monde du rap.
    Marc L.
    Marc L.

    44 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 décembre 2019
    ‘Gaz de France’, son précédent et premier film, était un objet filmique non identifié, absurde et non-sensique, un délire théorique sur la communication politique qui virait parfois à l’abstraction : quoique pas vraiment concluant dans l’ensemble, il constituait une preuve que Benoît Forgeard était un franc-tireur atypique, une sorte d’alternative (encore plus) excentrique à Quentin Dupieux et quelqu’un qui pourrait faire beaucoup de bien à la comédie française pour autant qu’il atteigne un certain seuil de renommée. ‘Yves’, plus carré, plus dans l’air du temps et qui n’a pas peur de fonctionner sur des gimmicks familiers sans sacrifier ce qui le rend unique, pourrait bien être le film déclencheur de cette métamorphose, même si on sait d’instinct que Forgeard ne sera jamais l’équivalent médiatique d’un Dany Boon ou de Toledano et Nakache. Pour de basses raisons liées à un compte en banque vide et une flemmardise de compétition, un rappeur (très) amateur s’improvise béta-testeur d’un réfrigérateur intelligent,dont l’I.A en perpétuelle expansion lui permet de gérer l’approvisionnement en victuailles et diverses autres tâches domestiques. La machine va rapidement déborder du cadre de sa mission principale, et interférer dans chaque aspect de la vie de son propriétaire, pour le meilleur et pour le pire. Ce soulèvement des machines se passe en douceur, et même avec un humour grinçant : jamais l’appareil ne devient hostile ou menaçant mais face au constat de sa propre intelligence et des résultats auxquels il parvient, il en vient à s’interroger sur ce qui la différencie vraiment de ses créateurs et propriétaires alors que ceux-ci, confrontés à l’évidence des comportement et réussites de Yves - c’est le nom du frigo - , commencent eux-mêmes à douter de la nature d’objet de leur invention. Les situation absurdes se multiplient rapidement, certaines pourraient même figurer parmi les meilleures trouvailles humoristiques de l’année, mais Forgeard se débrouille pour amener le spectateur au point où on considère comme normal et établi l’existence de ce frigidaire parlant, philosophe et envahissant, ce qui constitue généralement la preuve définitive de la réussite d’un concept décalé. On peut d’ailleurs déceler plusieurs niveaux de lecture au scénario, qu’il s’agisse d’analyser la dépendance à la technologie numérique ou une notion de création artistique qui serait spécifique à l’être humain : par exemple, les algorithmes de Yves perçoivent à un degré inaccessible au créateur humain ce qui manque à un morceau de rap pour qu’il cartonne, ce qui peut amener à un intéressant retournement de paradigme sur l’extrême prévisibilité des préférences humaines, un constat qui ferait de nous à peine plus...que des machines. Alors oui, c’est parfois encore un peu décousu, et le récit prend le parti ne pas trop brusquer le spectateur en imaginant une improbable rivalité sentimentale entre l’objet connecté et son propriétaire, ce qui ramène le film sur des rails parfois trop évidents. Il n’en reste pas moins qu’il y a plus d’originalité et de fantaisie dans dix minute de ‘Yves’ que dans cinq épisodes de ‘Qu’est ce qu’on a fait au bon dieu’.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 novembre 2019
    Incroyable de voir un truc pareil, une nullité... mais on peut quand meme souligner un point positif, c'est la régularité dans la médiocrité... tout est mauvais, le scenario (le mec a du juste rouler sa tete sur le clavier pour pondre un truc pareil), la mise en scene, les décors, la photo, les comédiens... mais le plus dramatique c'est quand meme le mec qui a osé financer ca... bref, encore un film qui ne rend pas hommage au cinema français, l'enfoncant encore dans la médiocrité....
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 6 novembre 2019
    Alors c'est un film très décalé, parfois un peu trop et avec quelques longueurs mais avec une "originalité" qui en fait un film à voir sans être un chef-d'oeuvre.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    139 abonnés 2 418 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    Un film assez barré voire psychédélique qui est bien servi par son casting, l'histoire est bien farfelu.
    Pseudofile
    Pseudofile

    8 abonnés 420 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 novembre 2019
    Ou comment foirer totalement un film à partir d'un sujet si porteur*, alors que la connectivité à marche forcée, mais intégrée par les masses se met en œuvre pour dépiauter les populations par un système de nasses communicantes, on ne nous sert qu'une lamentable comédie sentimentale qui cumule les situations grotesques. On se dit à certaines remarques que ça va enfin partir dans le sens de la satire sociétale, un peu comme une lancement d'alerte par le sarcasme ou plus simplement le rire, Mais non, ça s'enlise dans la comédie de boulevard ultra-poussive et très axée grivoiserie dont la France persiste à se faire spécialiste, comme si les auteurs et scénaristes étaient muselés, ou parce qu'il n'y a plus de talent, ou bien parce qu'un postulat de systématisation globale, le décrète, un "divertissement" formaté pour une population béate d’être totalement dépossédée de toute initiative personnelle,
    Mais constaté avec l’intrusion d’Internet et de la téléphonie mobile, il n’y a plus rien à raconter, les acteurs faisant de la figuration. Sous peu se sont les marques de smartphones ou les moteurs de recherches qui seront crédités tête d’affiche. Avec ici le rap comme vecteur sonore d’annihilation de la créativité, nihilisme dont se fait écho le concours Eurovision de la chanson pour appareils électro-ménagers "intelligents" en compétition avec des humains, et qui gagnent à la fin. dont on se demande pourquoi on ne leur a pas adjoint un jury et un public du même acabit.
    spoiler: Notre héros est un rebelle en sucre, qui se rend esclave des smart grids uniquement pour avoir de la nourriture gratis. c'est un mouton parfait pour une tonte très ras. So, la chargée de clientèle de la boite qui lui propose le frigo, n'a pas d'autre vie que celle qui débute avec la rencontre de Jérem dès lors qu'il aura du succès par le mérites d'un frigo qui sait superposer des centaines de voies de polyphonies pour faire une balade et napper la voix de Jérem d'autotune. Effectivement quelle créativité! De même Jérem qui trimballe son frigo partout sur un diable, ce qui n'est même pas ridicule en soi, c'est juste qu'il n'a pas le format portable pour se le coller abjectement aux fesses, un jour qu'il, en assez, ne l'emmène pas à la déchetterie mais préfère le balancer dans un lac.

    Détaillons un peu ce frigo qui fonctionne en parfaite autonomie énergétique, qui déconseille de manger des bananes mais pas de fumer toutes les cinq minutes et qui jamais ne propose la réalité de la sauce connectée. Dans son cas, c'est pas la Caf, la banques, le pole emploi, EDF, les services administratifs, les annonces commerciales et les spams en tous genre qui viennent pourrir la vie de Jérem. On dirait que sa mise en réseau n'est faite que d'Instagram, Youtube, Facebook et consorts, bref des applis invasives choisies mais non imposées d'office. Ca perd toute crédibilité mais c'est probablement pour ne pas dégouter le client et le spectateur de toute forme de connectivité .avec son électro-ménager.
    On remarquera également dans ce film la béatitude crétine des femmes devant les nouvelles technologies comme si elle ne pensaient pas plus loin que "Génial, tant qu'il n'y a pas d'effort à faire" Et tant pis si la cervelle y passe.
    Un aparté à propos de l'actrice principale et/ou du réalisateur, Ils n'ont pas du souvent faire la vaisselle et autrement qu'avec un lave vaisselle parce qu'avec la quantité d'eau, qu'elle utilise - à ras-bord - pour deux assiettes et couverts et le robinet qu'elle laisse couler pour aller s'adonner à une séance de triolisme portes ouvertes avec le frigo, afin de conclure cette histoire. L'économie et l'écologie. c'est pas son souci. Ne pas penser à ça c'est comme signifier via un algorithme imparable que smart-grid et environnement n'ont rien en commun.
    Un échange verbal notable – hélas trop court – se tient lors d'un procès totalement acquis à l'invasion de l'intelligence artificielle comme solution finale.
    "je préfère rester dans la loose toute ma vie que de devoir mon succès à un frigo" (Jérem)
    "Bonjour l'ouverture d'esprit" (Le frigo qu'on appellera "Yves")
    Alors que le frigo est totalement formaté par ses routines de programmation, car bien qu'on veuille nous faire admettre qu'il développe une expérience autonome qui enrichit son I.A. il ne s'en tient qu'à des fonctionnalité consensuelles normalisées jusque dans sa vulgarité des propos. Histoire de faire accepter l'idée illusoire d'une IA qui dirigerait la vie du commun comme étant le reflet de lui même.
    Dans la même séquence on entend aussi « jeter un frigo comme un chien »
    Quelle comparaison scandaleuse d’un objet manufacturé avec un être vivant que l’on dit le plus fidèle ami de l’humain. Ca donne un ordre d’idée du niveau des valeurs colporté par le film/monde actuel. C’est ça l’humour cybernétique ? Minable.
    On passera sur l’histoire des « photos volées » par le frigo diffusées sur des tabloïds, cela pour amener une grain de jalousie dans ce ménage à trois. Fait gravissime en soi, mais l’atteinte aux libertés individuelles semble être un dossier clos.
    Et la fin est une nouvelle pochade avec la fondation de prise en charge d'appareils ménagers rebelles qui simulent la panne, ça c'est pour donner un semblant de morale, que d’aucuns pensent en réalité totalement réactionnaire à cette histoire.

    Alors ce film nécessite-t'il une deuxième lecture? Je ne le pense pas, Il est acquis à une forme d'inéluctabilité dramatique qu'il minimise par la dérision. Prenant le cinéma comme un art sensé me divertir tout en me donnant à réfléchir, Mon désarroi atteint alors des sommets

    *Remarque également valable pour le film "Gaz de Frances". Le réalisateur a une bonne idée mais s'avère totalement incapable de la développer en scénario. Du cinéma à la gloire comme au service de la médiocratie donc.
    Simon B
    Simon B

    1 abonné 15 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 octobre 2019
    Il fallait oser ! Une film absurde (pouvait-on vraiment s'attendre à autre chose avec Philippe Katerine au casting ?), presque trop pouvait-on redouter au premier abord, mais ça fonctionne bien. Peu banal et ne conviendra pas à tout le monde, ça peut se comprendre.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    157 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 octobre 2019
    YVES, un très bon film de Benoit Forgeard qui aurait pu faire un bon Fatal Bazooka 2 car le scénario se prêtait à merveille à l'univers de Michaël Youn. Un scénario vraiment original, des personnages sympathiques, bien construits, un film bien réalisé, drôle et agréablement servi par la magnifique Doria Tillier, l'excellent Philippe Katerine et un formidable frigo.
    Une comédie française qui fait du bien, très sympathique, une bonne surprise.
    David S
    David S

    24 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 octobre 2019
    bon... l'idée était originale. disons les 30 premières minutes sont "curieuses" mais attachantes. Ensuite on glisse dans le n'importe quoi. Dommage car les acteurs sont pas mal du tout mais on sent que l'idée a échouée et se prend le mur dans la dernière heure.
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    202 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 octobre 2019
    Le pire film français de l'année et peut-être (sûrement) le pire film de l'année tout court. Une comédie se voulant absurde mais qui -en réalité- est sidérante de nullité. Une esthétique kitsch repoussante. Des interprètes tellement largués qu'ils se tournent eux mêmes en dérision. Il faut avoir beaucoup de courage et de volonté pour endurer un tel ectoplasme.
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