AlloCiné
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Votre avis sur La Tresse ?
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Le livre est excellent et le film tout autant avec en sus la majestueuse musique de Ludivico Einaudi, de belles prises de vue, des actrices très justes qui nous entraînent dans le combat de ces trois femmes ayant en commun cette fameuse tresse.
Les transitions d'un pays à l'autre s'effectuent avec une grande subtilité ce qui permet de très facilement s'imprégner de chaque histoire.
Film prenant et émouvant.
Les transitions d'un pays à l'autre s'effectuent avec une grande subtilité ce qui permet de très facilement s'imprégner de chaque histoire.
Film prenant et émouvant.
Film extraordinairement ennuyant, un des films les plus médiocres qu'il m'ait été donné de voir. Les critiques positives n'ont aucun sens.
C'est niais, terriblement long, on a envie de balancer le piano d'Einodi par la fenêtre, l'affiche du film nous prévient qu'on va pleurer sans doute de rire tant cette histoire est ridicule, c'est tellement appuyé, ça dégouline de bons sentiments.
Je suis peut-être excessif sans doute parce que je suis chauve et que cette histoire de cheveux m'a énervé 🤣.
Je suis peut-être excessif sans doute parce que je suis chauve et que cette histoire de cheveux m'a énervé 🤣.
Tout est prévisible : les comportements, l'histoire (sans avoir lu le livre). Et tout ce qui n'est pas cinématographique n'est pas franchement montré.
De beaux visages, une sororité affichée ne suffit pas à faire un bon film.
De beaux visages, une sororité affichée ne suffit pas à faire un bon film.
L’enfer est pavé de bonnes intentions et les bons sentiments ne font pas les bons films. Le réalisateur tire à la ligne et disons le on languit.. Jolis paysages des Indes et d’Italie, une musique agréable.. ce qui manque : humour et fantaisie, rebondissements et surprises. Il y a ici la moitié d’un film, et ce n’est qu’à moitié du cinéma. Dommage avec ce budget croquignolet.
Un film avec sur l'affiche " vous allez être ému aux larmes" me pousse à la méfiance
Alors pour répondre à cette injonction, non je n'ai pas été ému au larmes, néanmoins les 3 histoires en filigrane sont intéressantes à regarder, le moment où on comprend le lien entre ces 3 histoires est cool c'est bien trouvé.
Néanmoins le scénario et la réalisation restée très convenu. Dommage.
Alors pour répondre à cette injonction, non je n'ai pas été ému au larmes, néanmoins les 3 histoires en filigrane sont intéressantes à regarder, le moment où on comprend le lien entre ces 3 histoires est cool c'est bien trouvé.
Néanmoins le scénario et la réalisation restée très convenu. Dommage.
Yves G.
Laetitia Colombani, qui avait déjà signé plusieurs films, avant de prendre la plume, a elle-même adapté son premier roman. Publié en 2017, "La Tresse" a remporté un immense succès. Son adaptation, retardée par le Covid, lui est très fidèle. Elle se déroule sur trois continents et entrelace, comme le faisait déjà le roman, l’histoire de trois femmes.
Smita est une Intouchable. Elle vit dans le nord de l’Inde, avec son mari et sa fille. Elle n’a d’autre solution, pour que sa fille échappe à sa condition misérable, que de l’entraîner avec elle dans un long voyage vers une vie plus heureuse.
Giulia est une jeune fille rêveuse, passionnée de littérature. Son père dirige la dernière perruquerie de Sicile. Mais lorsqu’un accident de la route la plonge dans le coma, c’est à Giulia, qui vient de rencontrer Kamal, de prendre en main la destinée de l’entreprise familiale menacée de faillite.
Sarah est une brillante avocate canadienne qui a tout sacrifié à sa carrière. Elle élève seule les trois enfants qu’elle a eus de deux lits différents. Quand un cancer du sein l’oblige à abandonner son poste, son monde s’écroule.
J’avais lu avec beaucoup de retard "La Tresse", à la fois appâté par et méfiant de son immense popularité. J’en avais trouvé les effets faciles ; mais je mentirais en n’avouant pas avoir versé ma petite larme. J’ai eu exactement la même réaction devant le film. Je ne l’ai pas vu à sa sortie fin novembre, dissuadé par des critiques abominables et l’avis de quelques amis de confiance. Mais, le voyant encore caracoler en haut du hit-parade et n’ayant plus guère de films serbo-moldaves en noir et blanc à me mettre sous la dent, je me suis trouvé bien snob de l’ignorer. Je suis allé hier soir dans une petite salle de la rue Mouffetard pleine à craquer de spectateurs et de spectatrices de tous âges dûment équipés en Kleenex qui en sont sortis ravis.
J’en ai eu moi aussi pour mon argent et j’ai versé ma larme, avec plus de discrétion j’espère que mes bruyants voisins. Pas une seule surprise néanmoins devant un film qui adapte fidèlement le livre, sa construction alternée – qui a l’avantage de soutenir l’attention et l’inconvénient de devenir un peu mécanique, comme le tempo métronomique d’une valse – ses personnages charismatiques, ses rebondissements jusqu’à son dénouement qu’on avait déjà deviné, avant même de lire le livre, à la seule lecture de son titre.
"La Tresse" est un hymne à la résilience. C’est aussi un hymne aux femmes. C’est enfin un tour du monde. Le film souligne chacun de ces éléments. Les personnages et les situations frisent la caricature. Les trois héroïnes réussissent vaillamment à se relever des pires échecs. La beauté des paysages filmés grand angle est amplifiée par la musique envahissante de Ludovico Einaudi.
"La Tresse" ne fait pas dans la nuance. Est-ce pour autant un mauvais film ? Je suis partagé. Tout dépend de la définition qu’on donne d’un « bon » film. Une question qu’il serait grand temps que je me pose alors que je suis sur le point de signer la 2867ème critique de ce blog. Un film qui tient le spectateur en haleine avec un scénario palpitant comme "La Mort aux trousses" ? Un film qui innove par sa façon de raconter une histoire ou de filmer ses acteurs comme "Citizen Kane" ? Un film qui exalte la beauté de ses stars comme "Gilda" ? Un film qui interroge la condition humaine comme "2001" ou "La Liste Schindler" ? Un film qui nous fait rire ? qui nous fait pleurer ?
« La principale règle est de plaire et de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première » disait Racine, qui doit se retourner dans sa tombe alors que j’utilise ses mots pour défendre "La Tresse" aujourd’hui et, qui sait, "Les Tuche 5" demain.
Smita est une Intouchable. Elle vit dans le nord de l’Inde, avec son mari et sa fille. Elle n’a d’autre solution, pour que sa fille échappe à sa condition misérable, que de l’entraîner avec elle dans un long voyage vers une vie plus heureuse.
Giulia est une jeune fille rêveuse, passionnée de littérature. Son père dirige la dernière perruquerie de Sicile. Mais lorsqu’un accident de la route la plonge dans le coma, c’est à Giulia, qui vient de rencontrer Kamal, de prendre en main la destinée de l’entreprise familiale menacée de faillite.
Sarah est une brillante avocate canadienne qui a tout sacrifié à sa carrière. Elle élève seule les trois enfants qu’elle a eus de deux lits différents. Quand un cancer du sein l’oblige à abandonner son poste, son monde s’écroule.
J’avais lu avec beaucoup de retard "La Tresse", à la fois appâté par et méfiant de son immense popularité. J’en avais trouvé les effets faciles ; mais je mentirais en n’avouant pas avoir versé ma petite larme. J’ai eu exactement la même réaction devant le film. Je ne l’ai pas vu à sa sortie fin novembre, dissuadé par des critiques abominables et l’avis de quelques amis de confiance. Mais, le voyant encore caracoler en haut du hit-parade et n’ayant plus guère de films serbo-moldaves en noir et blanc à me mettre sous la dent, je me suis trouvé bien snob de l’ignorer. Je suis allé hier soir dans une petite salle de la rue Mouffetard pleine à craquer de spectateurs et de spectatrices de tous âges dûment équipés en Kleenex qui en sont sortis ravis.
J’en ai eu moi aussi pour mon argent et j’ai versé ma larme, avec plus de discrétion j’espère que mes bruyants voisins. Pas une seule surprise néanmoins devant un film qui adapte fidèlement le livre, sa construction alternée – qui a l’avantage de soutenir l’attention et l’inconvénient de devenir un peu mécanique, comme le tempo métronomique d’une valse – ses personnages charismatiques, ses rebondissements jusqu’à son dénouement qu’on avait déjà deviné, avant même de lire le livre, à la seule lecture de son titre.
"La Tresse" est un hymne à la résilience. C’est aussi un hymne aux femmes. C’est enfin un tour du monde. Le film souligne chacun de ces éléments. Les personnages et les situations frisent la caricature. Les trois héroïnes réussissent vaillamment à se relever des pires échecs. La beauté des paysages filmés grand angle est amplifiée par la musique envahissante de Ludovico Einaudi.
"La Tresse" ne fait pas dans la nuance. Est-ce pour autant un mauvais film ? Je suis partagé. Tout dépend de la définition qu’on donne d’un « bon » film. Une question qu’il serait grand temps que je me pose alors que je suis sur le point de signer la 2867ème critique de ce blog. Un film qui tient le spectateur en haleine avec un scénario palpitant comme "La Mort aux trousses" ? Un film qui innove par sa façon de raconter une histoire ou de filmer ses acteurs comme "Citizen Kane" ? Un film qui exalte la beauté de ses stars comme "Gilda" ? Un film qui interroge la condition humaine comme "2001" ou "La Liste Schindler" ? Un film qui nous fait rire ? qui nous fait pleurer ?
« La principale règle est de plaire et de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première » disait Racine, qui doit se retourner dans sa tombe alors que j’utilise ses mots pour défendre "La Tresse" aujourd’hui et, qui sait, "Les Tuche 5" demain.
Aie ! L'impression curieuse de regarder un téléfilm ou un épisode de "plus belle la vie" ou "sous le soleil", version mélo. C'est lourd, très lourd, avec des envolées de violon ou de piano à chaque plan, pour qu'on comprenne bien qu'il faut pleurer.
L'idée de départ est astucieuse d'un point de vue scénaristique, mais le message de l'histoire me semble assez douteux.
Je me suis ennuyée, malgré les jolis paysages de cartes postales de l'Italie et les vues intéressantes de l'Inde.
L'idée de départ est astucieuse d'un point de vue scénaristique, mais le message de l'histoire me semble assez douteux.
Je me suis ennuyée, malgré les jolis paysages de cartes postales de l'Italie et les vues intéressantes de l'Inde.
G lu le livre il y a peu, grâce à une cliente qui me l'avait conseillé. Je l'avais dévoré en deux jours. J'attendais le film avec impatience ! Hormis QQ détails du livre qui auraient pu être inclus ds le film, il reflète parfaitement l'histoire avec toute son émotion et sa force. On verse tous notre petite larme à la fin du film.....
Quelle déception !
Du mauvais téléfilm à l'américaine !!!
Des longueurs et des dialogues sans intérêt...
Je suis sorti avant la fin, insupportable !!!!
Du mauvais téléfilm à l'américaine !!!
Des longueurs et des dialogues sans intérêt...
Je suis sorti avant la fin, insupportable !!!!
Je n'écris pas souvent de critiques mais ce film m'a mis "en colère" : alors oui le courage de ces 3 femmes est magnifique. Les 3 actrices principales (ou même les 4 avec la petite intouchable) sont émouvantes. MAIS....quel est la morale de cette histoire?
En Italie: le seule moyen de sauver l'entreprise familiale est
1) d'acheter à bas prix des cheveux en Inde. De les faire venir en porte-conteneur (on en voit les images)
2) de les revendre à l'export.....aux états-unis, à de riches clients
(heureusement la préparations des perruques reste artisanale (mais pour combien de temps?
Aux Etats-Unis : riche avocate d'affaire, délaisse ses enfants au profit de sa brillante carrière. Elle dit oui aux caprices de ses enfants (maman, "il veut un gateau au chocolat et moi à la fraise" - "très bien on prendra les deux"). Fait garder ses enfants tous les soirs y compris jusqu'à leur coucher. Sa principale préoccupation est de d'obtenir sa promotion. et cela reste sa plus grand inquiétude lorsque la maladie se déclare. Même son ex mari est obligé de lui faire la morale vers la fin du film.
En inde : l'histoire est touchante....mais au final la pauvre intouchable qui n'a pas de quoi nourrir sa fille....fait offrande (donc gratuitement) de ses cheveux..... cheveux qui seront revendu à des grossiste..... et iront jusqu'à être vendus à prix d'or à une riche américaine ("ces cheveux sont les plus beaux et cher de la boutique")
Donc pour résumer : une intouchable fait dont de ses cheveux. Une entreprise local et artisanale survit en faisait importer des cheveux d'inde et les envoi aux USA. Une riche avocate aux USA à la chance de pouvoir se payer des cheveux de luxe (qui des femmes moins riches qui ont un cancer,...les pauvres n'ont le droit qu'à des cheveux synthétiques)
..... En colère donc....
En Italie: le seule moyen de sauver l'entreprise familiale est
1) d'acheter à bas prix des cheveux en Inde. De les faire venir en porte-conteneur (on en voit les images)
2) de les revendre à l'export.....aux états-unis, à de riches clients
(heureusement la préparations des perruques reste artisanale (mais pour combien de temps?
Aux Etats-Unis : riche avocate d'affaire, délaisse ses enfants au profit de sa brillante carrière. Elle dit oui aux caprices de ses enfants (maman, "il veut un gateau au chocolat et moi à la fraise" - "très bien on prendra les deux"). Fait garder ses enfants tous les soirs y compris jusqu'à leur coucher. Sa principale préoccupation est de d'obtenir sa promotion. et cela reste sa plus grand inquiétude lorsque la maladie se déclare. Même son ex mari est obligé de lui faire la morale vers la fin du film.
En inde : l'histoire est touchante....mais au final la pauvre intouchable qui n'a pas de quoi nourrir sa fille....fait offrande (donc gratuitement) de ses cheveux..... cheveux qui seront revendu à des grossiste..... et iront jusqu'à être vendus à prix d'or à une riche américaine ("ces cheveux sont les plus beaux et cher de la boutique")
Donc pour résumer : une intouchable fait dont de ses cheveux. Une entreprise local et artisanale survit en faisait importer des cheveux d'inde et les envoi aux USA. Une riche avocate aux USA à la chance de pouvoir se payer des cheveux de luxe (qui des femmes moins riches qui ont un cancer,...les pauvres n'ont le droit qu'à des cheveux synthétiques)
..... En colère donc....
Lent , laborieux, larmoyant... mais surtout long , si long ! Dommage de grands moyens dans la prise de vue dans 3 pays, pour un récit poussif et sans grâce.
Le titre , la bande annonce, tout le scénario est dévoilé..le tresse coupee en Inde, le perruquier en Italie et la malade sous chimio au Canada qui perd ses cheveux.......aucune surprise..
On sait deja ce qui relie ces personnages.
De clichés de misère en Inde, la romance en Italie,
la femme d'affaire surbookee en Amerique.
Et image de fin.....sur des centaines de "balles"de cheveux debarquees en Italie d'un container venant d'Inde, celui qui est ouvert contient ,alléluia, la tresse avec le ruban rouge de la petite indienne...
Serie Harlequin adaptee au cinéma...
On sait deja ce qui relie ces personnages.
De clichés de misère en Inde, la romance en Italie,
la femme d'affaire surbookee en Amerique.
Et image de fin.....sur des centaines de "balles"de cheveux debarquees en Italie d'un container venant d'Inde, celui qui est ouvert contient ,alléluia, la tresse avec le ruban rouge de la petite indienne...
Serie Harlequin adaptee au cinéma...
Un film EBLOUISSANT, 💗💗💗💗💗💗un film VRAI,💗💗💗💗💗💗 Une histoire simple mais MERVEILLEUSEMENT 💗💗💗💗💗💗interprétée. Je n'avais pas lu le livre, et aux dires de ceux qui l'ont lus le film égal le livre.
Courrez le voir pour être EMU et surtout faites comme moi emmenez des mouchoirs.
Pour moi le plus beau film de l'année.
La note n'existe pas et il faudrait l'inventer, 6 étoiles sur 5.💗💗💗💗💗💗
Ma note ******/*****
#richardmagan #jadorelecinema #jadore #movies #filmavoirabsolument #voirlesfilmsaucine
Courrez le voir pour être EMU et surtout faites comme moi emmenez des mouchoirs.
Pour moi le plus beau film de l'année.
La note n'existe pas et il faudrait l'inventer, 6 étoiles sur 5.💗💗💗💗💗💗
Ma note ******/*****
#richardmagan #jadorelecinema #jadore #movies #filmavoirabsolument #voirlesfilmsaucine
Si on prend le temps de regarder derrière les belles images et les acteurs parfaits, on découvre un message plutôt alarmant : la pauvre femme et sa fille en Inde devraient être contentes que leurs cheveux (offerts au Dieu Vishnu) soient expédiés en Europe, blanchis et revendus à des personnes fortunées au Canada. Personnellement, je trouve ce scénario plutôt déplaisant.
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