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On y suit une intouchable en Inde, une avocate au Canada et la fille d'un perruquier en Italie. Ce qui les lie ce laisse vite deviner, mais les scènes en Inde sortent assez de l'ordinaire pour tenir l'intérêt.
Le roman de Laetitia Colombani était formaté pour plaire, son film reprend la formule sans recul et perd sa saveur à cause d’un naturalisme artificiel, à la manière d’un Lelouch.
Ce voyage saccadé où les curseurs dramatiques sont en permanence poussés au maximum devient parfois indigeste et se résout trop à miser sur son twist. Sans pour autant perdre les fans du livre, l’ode criarde à l’adversité donne une profondeur amère à la mondialisation qui accable un peu sans le vouloir.
La critique complète est disponible sur le site Première
Là où les mots stimulaient l’imagination des lecteurs, la mise en scène hyper esthétique mais prévisible et les bons sentiments privent le film de romanesque et ses personnages de profondeur.
Laetitia Colombani adapte à l’écran son propre best-seller, n’évite pas les poncifs et juxtapose maladroitement des tourments qui n’ont rien à voir les uns avec les autres.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Face au vide de mise en scène et à l’abus de poncifs, sur fond de volutes dégoulinantes de Ludovico Einaudi au piano, on se demande si l’on manque de cœur ou si le récit est simplement ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
Malgré quelques séquences lacrymales, on ne peut qu’être touché par ces beaux portraits et ces destins bouleversants.
Le Point
Pourtant, pas de manichéisme, mais une belle leçon d'humanisme dans un émouvant film choral.
Femme Actuelle
On y suit une intouchable en Inde, une avocate au Canada et la fille d'un perruquier en Italie. Ce qui les lie ce laisse vite deviner, mais les scènes en Inde sortent assez de l'ordinaire pour tenir l'intérêt.
La Croix
Et malgré une dimension émotionnelle appuyée, le film trouve son souffle romanesque dans la proximité entre ces trois femmes.
Les Echos
Un film émouvant, mais un peu… tiré par les cheveux.
Le Journal du Dimanche
La mise en scène classique est au service d'un scénario édifiant et touchant, mais cousu de fil blanc.
Les Fiches du Cinéma
Le roman de Laetitia Colombani était formaté pour plaire, son film reprend la formule sans recul et perd sa saveur à cause d’un naturalisme artificiel, à la manière d’un Lelouch.
Ouest France
Un résultat qui n'évite pas les facilités larmoyantes.
Paris Match
Un film imparfait mais au grand cœur.
Première
Ce voyage saccadé où les curseurs dramatiques sont en permanence poussés au maximum devient parfois indigeste et se résout trop à miser sur son twist. Sans pour autant perdre les fans du livre, l’ode criarde à l’adversité donne une profondeur amère à la mondialisation qui accable un peu sans le vouloir.
Télé 7 Jours
Là où les mots stimulaient l’imagination des lecteurs, la mise en scène hyper esthétique mais prévisible et les bons sentiments privent le film de romanesque et ses personnages de profondeur.
Télé Loisirs
"La Tresse" [...] raconte les femmes battantes face à la dureté de la vie... Non sans misérabilisme et excès de violons.
La Voix du Nord
Laetitia Colombani adapte à l’écran son propre best-seller, n’évite pas les poncifs et juxtapose maladroitement des tourments qui n’ont rien à voir les uns avec les autres.
Télérama
Face au vide de mise en scène et à l’abus de poncifs, sur fond de volutes dégoulinantes de Ludovico Einaudi au piano, on se demande si l’on manque de cœur ou si le récit est simplement ridicule.