Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Il reste d'un tel film un souvenir scintillant une persistance diffuse, comme la trace d'un songe lointain et jamais vraiment éteint.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Mélange de fumisme et de poésie du désastre, le cinéma de Rollin titube entre le vide et l'idéal.
Cine Libre
par Romain Le Vern
Mais, force est de constater que dans son registre, La Fiancée de Dracula est à classer parmi l'un de ses meilleurs films. De là à dire que c'est un chef-d'oeuvre, certainement pas car, pour les non-initiés, ce film ressemble bel et bien à une purge ou, au second degré, à un sketch des Inconnus sous Tranxène (ou sous acide, allez savoir). Mais le résultat est, pour un fan de Jean Rollin, tout à fait encourageant.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
L'Ecran Fantastique
par Jérôme Partage
Passées les premières minutes de stupeur, on prend vite le parti d'en rire et l'on se rend compte que le film de Rollin est moins raté que "décalé".
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
N'importe. Rollin cite Buñuel à plusieurs reprises tout autant que les maîtres du feuilleton d'aventures - Gaston Leroux comme Louis Feuillade. Nul abus dans ce parrainage, mais les retrouvailles, vives et sans prétention, avec un esprit de transgression où l'éclat de rire n'est jamais innocent.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Antoine de Baecque
Le film est un fil grossier qui, d'un coup, se rompt en un écart sanglant, un tunnel sombre brusquement éclairé par une image perdue, un chemin de croix déviant vers un golgotha de mauvais goût. Ce sont de brefs instants, mais de pure beauté. Mieux vaut cinq de ces éclairs que tous les pensums honorables.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Cédric Delelée
A cet étalage de scènes improbables au rythme languissant, il faut ajouter des dialogues consternants dits par des acteurs dont la nullité laisse ébahi (si ce n'est la blonde gironde qui joue l'Ogresse). (...) Mais difficile de trouver film plus "autre" et underground.
Télérama
par Pierre Murat
Le scénario est bancal ? C'est exprès. Les acteurs plus exécrables les uns que les autres ? C'est fait pour.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Stéphane Brisset
Jean Rollin, réalisateur de séries Z et de films porno, continue de sévir. La Fiancée de Dracula, avec ses thématiques archirécurrentes, ses acteurs au jeu alternativement mauvais et baroque et sa mise en scène approximative, est certes un film déplorable. Mais Rollin, par instants, dévoile quelques fulgurances d'inspiration, comme le temps d'une séquence finale étonnamment magistrale.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Si l'idée de reprendre des phrases de Gaston Leroux est bonne, leur déclamation est pesante, à l'image des séquences au couvent. Malgré un bon nombre de péripéties, on est loin de ce à quoi LA FIANCÉE DE DRACULA prétend : le feuilleton début de siècle, dans la tradition des Le Rouge et autres Souvestre & Allain. Dommage, car ce genre, mêlant mystères et aventures, aurait bien besoin de ressortir des placards.
Première
par Christophe Carrière
Ou comment l'improbabilité cinématographique poussée à son extrême donne quelque chose d'assez incongru qui peut passer pour de la poésie. Rappelons quand même que, nous, jouranlistes, ne payons pas pour voir les films.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Difficile d'éprouver la moindre complaisance pour ce fatras gore plus grotesque que gothique.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Chronic'art.com
Il reste d'un tel film un souvenir scintillant une persistance diffuse, comme la trace d'un songe lointain et jamais vraiment éteint.
Cahiers du Cinéma
Mélange de fumisme et de poésie du désastre, le cinéma de Rollin titube entre le vide et l'idéal.
Cine Libre
Mais, force est de constater que dans son registre, La Fiancée de Dracula est à classer parmi l'un de ses meilleurs films. De là à dire que c'est un chef-d'oeuvre, certainement pas car, pour les non-initiés, ce film ressemble bel et bien à une purge ou, au second degré, à un sketch des Inconnus sous Tranxène (ou sous acide, allez savoir). Mais le résultat est, pour un fan de Jean Rollin, tout à fait encourageant.
L'Ecran Fantastique
Passées les premières minutes de stupeur, on prend vite le parti d'en rire et l'on se rend compte que le film de Rollin est moins raté que "décalé".
Le Monde
N'importe. Rollin cite Buñuel à plusieurs reprises tout autant que les maîtres du feuilleton d'aventures - Gaston Leroux comme Louis Feuillade. Nul abus dans ce parrainage, mais les retrouvailles, vives et sans prétention, avec un esprit de transgression où l'éclat de rire n'est jamais innocent.
Libération
Le film est un fil grossier qui, d'un coup, se rompt en un écart sanglant, un tunnel sombre brusquement éclairé par une image perdue, un chemin de croix déviant vers un golgotha de mauvais goût. Ce sont de brefs instants, mais de pure beauté. Mieux vaut cinq de ces éclairs que tous les pensums honorables.
Mad Movies
A cet étalage de scènes improbables au rythme languissant, il faut ajouter des dialogues consternants dits par des acteurs dont la nullité laisse ébahi (si ce n'est la blonde gironde qui joue l'Ogresse). (...) Mais difficile de trouver film plus "autre" et underground.
Télérama
Le scénario est bancal ? C'est exprès. Les acteurs plus exécrables les uns que les autres ? C'est fait pour.
Zurban
Jean Rollin, réalisateur de séries Z et de films porno, continue de sévir. La Fiancée de Dracula, avec ses thématiques archirécurrentes, ses acteurs au jeu alternativement mauvais et baroque et sa mise en scène approximative, est certes un film déplorable. Mais Rollin, par instants, dévoile quelques fulgurances d'inspiration, comme le temps d'une séquence finale étonnamment magistrale.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
Si l'idée de reprendre des phrases de Gaston Leroux est bonne, leur déclamation est pesante, à l'image des séquences au couvent. Malgré un bon nombre de péripéties, on est loin de ce à quoi LA FIANCÉE DE DRACULA prétend : le feuilleton début de siècle, dans la tradition des Le Rouge et autres Souvestre & Allain. Dommage, car ce genre, mêlant mystères et aventures, aurait bien besoin de ressortir des placards.
Première
Ou comment l'improbabilité cinématographique poussée à son extrême donne quelque chose d'assez incongru qui peut passer pour de la poésie. Rappelons quand même que, nous, jouranlistes, ne payons pas pour voir les films.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Difficile d'éprouver la moindre complaisance pour ce fatras gore plus grotesque que gothique.