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Gregory S
26 abonnés
578 critiques
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3,0
Publiée le 23 novembre 2024
Très difficile de transposer ce genre de livre, qui repose beaucoup sur l'imagination donc forcément on ne peut être que déçu. L'histoire pourra parler à de nombreuses personnes, notamment ceux qui ont été amant ou amante d'une personne non disponible mais on a dû mal à avoir de l'empathie pour les deux acteurs du film, le casting a malheureusement été raté de ce côté là.
Scènes de sexe d une tristesse désespérante et d un ennui mortel. Romance de gare. Bande son démago à l exception de l excellent the stranger de Léonard Cohen mais il vous faudra pour l écouter tenir jusqu'à la fin de cette passion (simple?) bien peu passionnante.
"Passion simple" est rythmé par les appels d'un jeune russe, Aleksandr (Sergei Polunin) qui est attendu avec désir par Hélène (Laetitia Dosch). Soyons clair, la première partie du film se résume à des ébats sexuels très explicites au gré des désirs de cet admirateurs de grosses voitures et de Poutine. Cette adaptation du roman d'Annie Ernaux est assez primaire même si Laetitia Dosch dans son rôle de femme soumise ne démérite pas. On a envie de la sortir de sa condition au point que cette expérience cinématographique agace. Malgré tout, il règne une douce mélancolie par moment et une bande son superbe , mais je n'ai pas accroché.
C’est purement et simplement nul sur tous les points. Comment personne dans l’équipe n’a pu intervenir ou juste faire remarquer ?
Ça joue très très très mal, franchement on dirait que c’est fait exprès. C’est trop mal filmé, y’a rien qui raccorde. Même pas une tentative de bien faire. Les dialogues sont une abomination. C’est chiant. Jusqu’aux scènes érotiques, unique raison d’exister du film et quand même ratées. Y’a simplement rien de bien. C’est drôle malgré lui finalement.
Et puis le début c’est le bouquin en livre audio. Aucun effort j’vous dis.
Mais c'est quoi l'amour? Une addiction au corps de l'autre, une série de vibrations en harmonie, attendre, toujours attendre pour mieux jouir de sa présence. même si elle est fugace...Dans le film Passion simple de Danielle Arbid, si intelligemment adapté du livre d'Annie Ernaux, on passe par toutes ces émotions et tout se lit sur le beau visage de Laetita Dosch. C'est une cartographie de l'amour à peau ouverte. Le film d'amour de l'été, et sûrement de l'année.
Une passion simple ou une addiction amoureuse. Une restitution qui apparaît crédible, filmée avec justesse et finesse ce qui semble assez difficile pour ce genre. Évidemment pour ceux non amateurs de ce style de film il apparaîtra comme fort ennuyeux.
Danielle Arbid aime parler de relations amoureuses et de sexe dans ces films. Après, Un Homme perdu, Beyrut Hôtel, ou Peur de rien, elle adapte le roman du même nom d’Annie Ernaux. « À partir du mois de septembre l'année dernière, je n'ai plus rien fait d'autre qu'attendre un homme : qu'il me téléphone et qu'il vienne chez moi. Tout de lui m'a été précieux, ses yeux, sa bouche, son sexe, ses souvenirs d’enfant, sa voix... » 100 minutes plus tard, on ne se pose qu’une question : à quoi bon ? Le film voulait raconter à quel point tomber amoureux est une chance. A la sortie de la salle, on n’en est plus très sûr. Pourtant, le film est lumineux, jamais vulgaire même dans les scènes de sexe les plus poussées, et l’actrice principale est très convaincante… Non, c’est l’histoire qui ne l’est pas. J’ai eu beaucoup de difficultés à entrer en empathie avec cette femme esseulée, indépendante et intelligente. Des qualités qui ne cadrent pas avec cette addiction sexuelles qu’elle se fabrique de toutes pièces. On peut regretter le manque de rythme et surtout les trop nombreuses répétitions. Etait-il utile de transformer cette romance en petit Kamasoutra illustré ? Peut-on admettre qu’une femme soit aveuglé par sa passion au point d’en négliger – que dis-je -, d’en oublier son rôle de mère ? Doit-on s’accrocher jusqu’à l’addiction à une passion que l’on sait toxique et sans lendemain ? Autant de questions auxquelles le film ne répond pas. Bien au contraire, elle les balaie négligemment. De là, sans doute, son manque de réalisme. Et d’intérêt. Laetitia Dosch illumine cette romance de bout en bout. Elle campe avec conviction cette belle femme mûre et sûre de ses moyens. Sergei Polunin joue l’homme objet avec une distance qui confine à la froideur…. Glaçant au point de rendre cet amour fou totalement incompréhensible. ;; Bon, je l’avoue, je ne suis pas une femme.Ajoutons à ce duo central le jeune Lou-Teymour Thion et Caroline Ducey. La nouvelle – 77 pages -, délivrait l'analyse d'une addiction amoureuse et douloureuse, et cependant émancipatrice… Emancipation, vous avez dit émancipation ? Bizarre !
L’année d’Annie Ernaux au cinéma. Avant la sortie remarquée de L’événement, primé à Venise, était sorti de manière discrète Passion Simple de Daniele Arbid. Le récit d’une obsession, d’une addiction sexuelle par Annie Ernaux était âpre, sans complaisance, fataliste et ponctué de romances populaires ( Sylvie Vartan : C’est fatal). Au cinéma, j’ai trouvé cela plus sophistiqué, plus « présentable », même si la caméra n’hésite pas à affronter la nudité et l’acte sexual de manière frontale. Daniele Arbid évite le procédé facile de la voix off et livre un film qu’il faut découvrir pour ses interprètes assez étonnants : Serguei Polounine magnétique, animal et inquiétant et surtout Laëtitia Doesch dans sa plus belle composition, qui par son regard inquiet ou plein d’espoir, parvient à partager sans excès le trouble de cette relation toxique et troublante.
Je me suis ennuyé D'abord le film est trop long Beaucoup trop de scènes de sexe Je n'ai pas compris l'intérêt du voyage en Italie du moins ce qui s'y passe est sans intérêt L'intervention du mari est sous exploité on sent que l'acteur n'est pas dans le rôle Franchement pour moi le but du film s'il en a vraiment un n'est pas atteint
Film à peu près fidèle au livre avec une overdose de sexe très cru où Laetitia Dosch a tout exposé de son corps dans les moindres détails et s'est dépouillée émotionnellement. Où est le féminisme dans cet opus ? Il n'y a pas de repères et même l'actrice qui confie avoir tourné ce film alors qu'elle était amoureuse a totalement perdu pied et raison. Il faut avoir quitté ce bas monde, avoir décollé sur une autre planète ou être sous l'empire de substances hallucinogènes pour accepter ce rôle. Dosch va jusqu'à comparer ce film sur pellicule à ce que faisait Truffaut, en fait elle n'est plus lucide lorsqu'elle dit ça. Au final, il n'y a pas grand intérêt à voir ce film que n'auraient pas renié Virginie Despentes, Catherine Breillat ou Anne Fontaine.
Une passion sans hurlement, sans moral... C'est un très beau film mis en scène par Danielle Arbid de manière épurée avec une actrice qui mérite un César !
Je n'apprécie guère les romans d'Annie Ernaux mais j'ai voulu voir ce que donnait l'adaptation à l'écran de cette "Passion simple". J'aurais dû m'abstenir car ce film m'a profondément ennuyée. Trop de sexe tue le sexe, pour employer une formule rebattue...Et en effet, les ébats amoureux des deux acteurs sont tellement répétitifs qu'ils finissent par laisser le spectateur indifférent en dépit de la beauté des acteurs (le Russe a d'admirables fesses et sa partenaire un très joli corps) mais on se lasse vite de leurs étreintes! Dentelles noires pour elle, tatouages de Maori pour lui, kimonos fleuris, désir, possession et rupture...Les errances et états d'âme des personnages sont soporifiques et sans intérêt.
C’est un film poétique, de très belles images/plan photos, où tous les acteurs jouent très bien, le jeune fils de l’héroïne joue vraiment bien. Ça raconte bien cette citation « un seul être vous manque et tout est dépeuplé », où l’héroïne est à côté de la plaque. C’est drôle 😅 quand elle dit « C’est quand jeudi ? » La présence de Gregoire Colin est super, dommage qu’on le voit si peu au cinéma ! Je découvre Caroline Ducey : son jeu est tres juste 👍🏼😀😃
Le film est plat, 50 Shades of Grey sans le SM. Insipide incolore inodore et d’un ennui mortel. Un téléfilm TF1 m’aurait sûrement plus tenu en haleine.