Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Un film furieusement torride.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Le jeu subtil et profond de Laetitia Dosch fait bien ressortir les mille nuances de cette histoire, adaptée d’un roman d’Annie Ernaux.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Passion simple aboutit à un beau portrait de femme, prise à un carrefour de sa vie, interprété par des acteurs investis et une cinéaste émue par son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Elisabeth Philippe
Un film solaire et sensuel.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Ce film, sensible et perturbant, décrit de manière fascinante l'autopsie d'un amour toxique. C'est en cela qu'il a la force de l'évidence. Et pour cela qu'il dérange.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
La beauté du film de Danielle Arbid est de s’en tenir à ce vœu de simplicité : chroniquer cet amour singulier en l’arrachant aux vieilles lunes du romantisme, sans tomber non plus dans l’étude de cas clinique.
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Danielle Arbid a su retrouver le souffle et l’esprit du récit autobiographie, en filmant à nu, à cru, assez pour suggérer ce qui se joue et se noue, sans tomber dans l’illustration dérangeante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un film fiévreux et convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Le film parvient à restituer l’espace de quelques instants l’ineffable d’une attirance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
Au centre du tournis chaleureux et de ses ambiguïtés [...] Lætitia Dosch semble inventer en chaque plan un point de grâce et d’équilibre délicat à toutes sortes de nuances de l’impatience, du désir, de l’abandon.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Une histoire sensuelle qui, pour le meilleur et pour le pire, bouscule en profondeur la vie d’une femme qui n’attendait probablement que cela.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Loïs Flayac
La caméra, délicatement, emphatiquement parfois, capte tout ce qui survient entre deux corps qui s'adorent, se dominent, et tout ce qui se passe de mots.
Ouest France
par Thierry Chèze
Laetitia Dosch et Sergei Polunin font rimer justesse, charisme et abandon.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Expérience poignante et impensable que ce huis clos qui rejette à l’extérieur tout ce qui n’est pas lui, où rien ne se greffe d’autre que le sexe et l’état amoureux dont Danielle Arbid, à force d’en arracher des lambeaux, agrippe des éclats scintillants. Ils ressemblent à des lames.
Télé Loisirs
par Émilie Meunier
Captivant.
Télérama
par Marie Sauvion
Un film beau et cru, réussissant à donner chair à une écriture à l’os.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
La réalisatrice Danielle Arbid se jette à corps perdu dans la description charnelle et mentale de la passion amoureuse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Face au danseur Sergei Polunin, incarnation idéale du fantasme, Laetitia Dosch est une nouvelle fois désarmante de naturel et de fragilité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Cette adaptation du roman d’Annie Ernaux cherche sans tout à fait y parvenir à communiquer au spectateur l’intensité du désir de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Cette histoire de soumission volontaire aux désirs d’un homme insaisissable résonne forcément de manière particulière dans l’ère #MeToo. Mais elle cache surtout le portrait d’une femme qui, par cette relation trouble, se redécouvre en faisant ressurgir une féminité enfouie dans une exultation des corps envoûtante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Jean-Sébastien Massart
Le spectateur n’aura pourtant pas vu, à l’écran, cette altération dans la présence de l’être tant aimé, mais un drôle de film raté, pas du tout indigne, bien que globalement incapable de réinventer la prose qu’il a voulu transposer.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Passion simple est un film qui semble se retenir de toutes parts, comme un peu honteux de lui-même, ou trop conscient des risques qu’il court pour véritablement les prendre.
Elle
Un film furieusement torride.
Femme Actuelle
Le jeu subtil et profond de Laetitia Dosch fait bien ressortir les mille nuances de cette histoire, adaptée d’un roman d’Annie Ernaux.
Franceinfo Culture
Passion simple aboutit à un beau portrait de femme, prise à un carrefour de sa vie, interprété par des acteurs investis et une cinéaste émue par son sujet.
L'Obs
Un film solaire et sensuel.
Le Figaro
Ce film, sensible et perturbant, décrit de manière fascinante l'autopsie d'un amour toxique. C'est en cela qu'il a la force de l'évidence. Et pour cela qu'il dérange.
Le Monde
La beauté du film de Danielle Arbid est de s’en tenir à ce vœu de simplicité : chroniquer cet amour singulier en l’arrachant aux vieilles lunes du romantisme, sans tomber non plus dans l’étude de cas clinique.
Le Parisien
Danielle Arbid a su retrouver le souffle et l’esprit du récit autobiographie, en filmant à nu, à cru, assez pour suggérer ce qui se joue et se noue, sans tomber dans l’illustration dérangeante.
Les Echos
Un film fiévreux et convaincant.
Les Inrockuptibles
Le film parvient à restituer l’espace de quelques instants l’ineffable d’une attirance.
Libération
Au centre du tournis chaleureux et de ses ambiguïtés [...] Lætitia Dosch semble inventer en chaque plan un point de grâce et d’équilibre délicat à toutes sortes de nuances de l’impatience, du désir, de l’abandon.
Marianne
Une histoire sensuelle qui, pour le meilleur et pour le pire, bouscule en profondeur la vie d’une femme qui n’attendait probablement que cela.
Marie Claire
La caméra, délicatement, emphatiquement parfois, capte tout ce qui survient entre deux corps qui s'adorent, se dominent, et tout ce qui se passe de mots.
Ouest France
Laetitia Dosch et Sergei Polunin font rimer justesse, charisme et abandon.
Sud Ouest
Expérience poignante et impensable que ce huis clos qui rejette à l’extérieur tout ce qui n’est pas lui, où rien ne se greffe d’autre que le sexe et l’état amoureux dont Danielle Arbid, à force d’en arracher des lambeaux, agrippe des éclats scintillants. Ils ressemblent à des lames.
Télé Loisirs
Captivant.
Télérama
Un film beau et cru, réussissant à donner chair à une écriture à l’os.
aVoir-aLire.com
La réalisatrice Danielle Arbid se jette à corps perdu dans la description charnelle et mentale de la passion amoureuse.
Le Journal du Dimanche
Face au danseur Sergei Polunin, incarnation idéale du fantasme, Laetitia Dosch est une nouvelle fois désarmante de naturel et de fragilité.
Les Fiches du Cinéma
Cette adaptation du roman d’Annie Ernaux cherche sans tout à fait y parvenir à communiquer au spectateur l’intensité du désir de son héroïne.
Première
Cette histoire de soumission volontaire aux désirs d’un homme insaisissable résonne forcément de manière particulière dans l’ère #MeToo. Mais elle cache surtout le portrait d’une femme qui, par cette relation trouble, se redécouvre en faisant ressurgir une féminité enfouie dans une exultation des corps envoûtante.
Critikat.com
Le spectateur n’aura pourtant pas vu, à l’écran, cette altération dans la présence de l’être tant aimé, mais un drôle de film raté, pas du tout indigne, bien que globalement incapable de réinventer la prose qu’il a voulu transposer.
Cahiers du Cinéma
Passion simple est un film qui semble se retenir de toutes parts, comme un peu honteux de lui-même, ou trop conscient des risques qu’il court pour véritablement les prendre.