Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Libération
par Philippe Azoury
Le résultat est tout simplement impressionnant, avec ce sentiment de nouveauté émergée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Chronic'art.com
par Nathalie Piernaz
Sans lamento et sans tomber dans le pensum politique Mundo Grúa évoque très justement la dure réalité de l'Argentine.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Très beau travail, qui confirme la renaissance annoncée du cinéma argentin et laisse espérer beaucoup de la carrière à venir de Pablo Trapero.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ce qui est même très bien, c'est la finesse de touche, le sens de l'espace et de la politique, ainsi que l'humanisme discret de Pablo Trapero, jeune cinéaste argentin de trente-deux ans, qui signe ici un remarquable premier long métrage (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) beau film en noir et blanc qui retrouve l'esprit des chroniques mi-figue mi-raisin des années 70 sur des losers magnifiques (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Nathalie Lanier
Le film porte en lui cette distance et cette modestie qui font tout son charme. Par l'entremise d'un noir et blanc granuleux, un peu poreux (...), le jeune cinéaste argentin Pablo Trapero, nous livre un premier film onirique (...)
Télérama
par Aurélien Férenzci
A priori, rien de palpitant dans cette tranche de vie australe, premier opus en noir et blanc d'un cinéaste inconnu. D'où vient alors que l'attention soit ainsi accrochée ? D'une subtile ironie, marque d'un metteur en scène au talent déjà sûr.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Les dialogues, presque tous improvisés, sonnent tellement vrai que l'on se croirait au beau milieu d'un documentaire social. Du cinémavérité qui, malgré d'assoupissantes longueurs, respire fort l'humanité.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Repérages
par M.G
Cinéma social loachien (tendance Riff Raff) pour un succès international en festival. L'entreprise est louable, mais Pablo Trapero n'a justement pas la force d'un Loach ancienne formule.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Libération
Le résultat est tout simplement impressionnant, avec ce sentiment de nouveauté émergée.
Chronic'art.com
Sans lamento et sans tomber dans le pensum politique Mundo Grúa évoque très justement la dure réalité de l'Argentine.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Très beau travail, qui confirme la renaissance annoncée du cinéma argentin et laisse espérer beaucoup de la carrière à venir de Pablo Trapero.
Le Monde
Ce qui est même très bien, c'est la finesse de touche, le sens de l'espace et de la politique, ainsi que l'humanisme discret de Pablo Trapero, jeune cinéaste argentin de trente-deux ans, qui signe ici un remarquable premier long métrage (...)
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
(...) beau film en noir et blanc qui retrouve l'esprit des chroniques mi-figue mi-raisin des années 70 sur des losers magnifiques (...)
MCinéma.com
Le film porte en lui cette distance et cette modestie qui font tout son charme. Par l'entremise d'un noir et blanc granuleux, un peu poreux (...), le jeune cinéaste argentin Pablo Trapero, nous livre un premier film onirique (...)
Télérama
A priori, rien de palpitant dans cette tranche de vie australe, premier opus en noir et blanc d'un cinéaste inconnu. D'où vient alors que l'attention soit ainsi accrochée ? D'une subtile ironie, marque d'un metteur en scène au talent déjà sûr.
Aden
Les dialogues, presque tous improvisés, sonnent tellement vrai que l'on se croirait au beau milieu d'un documentaire social. Du cinémavérité qui, malgré d'assoupissantes longueurs, respire fort l'humanité.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Repérages
Cinéma social loachien (tendance Riff Raff) pour un succès international en festival. L'entreprise est louable, mais Pablo Trapero n'a justement pas la force d'un Loach ancienne formule.