J’avais très hâte de voir ce film même si après avoir vu la bande annonce je n’étais pas 100% convaincue ! J’ai bien aimé, j’ai passé un bon moment devant mais je trouve que ça a perdu un peu de son charme en passant en version live. Certes, ce n’est pas mal fait, on a l’impression que les chiens parlent vraiment même si des fois ce n’est pas forcément le cas. Ils ont changé quelques passages de l’histoire mais ça n’a pas une énorme importance mis à part peut-être le chien du voisin qui est en fait une chienne (d’ailleurs pourquoi ce choix ? bonne question …). On retrouve bien entendu les passages principaux, les siamois ne sont plus vraiment siamois mais le passage est plutôt bien foutu avec le salon saccagé ce qui entraîne son expulsion par la tante et les retrouvailles avec le Clochard. Et puis bien entendu le passage avec le rat ou encore la fourrière. On passe quand même un bon moment avec ce film mais il ne révolutionne pas grand chose et il manque clairement quelque chose pour nous faire nous attendrir sur les bons sentiments du film. C’est dommage aussi qu’il manque la partie de la fin qui montre comment la relation entre les deux chiens a évoluée. En tout cas, j’ai aimé le passage avec le restaurant c’est plutôt bien fait et drôle à voir avec de vrais chiens. Comme vous pouvez le noter j’ai bien aimé mais je n’ai pas non plus été transcendée par ce dernier. Il est à voir pour les fans de Disney et de l’original mais sinon je ne pense pas que cela vous passionne !
En résumé, La Belle et le Clochard est une version sympathique mais il manque, comme les critiques l’avaient dit pour la version live du Roi Lion, les émotions des chiens. Enfin, non pas qu’on ne les voit pas mais elles sont forcément moins marquées que dans la version animée. Le film reste quand même intérressant à voir et un bon divertissement mais il ne restera pas forcément dans les mémoires.
Film familial très réussi avec de l'humour , de l'action et des bons sentiments qui font du bien. Le film est bien reconstitué et parfaitement complémentaire de l'original. Dommage, que le film ne sorte pas au cinéma mais uniquement sur la plateforme Disney car il aurait eu son public et voir un beau film fait du bien. Une de mes adaptations Live les plus réussies avec Cendrillon et Dumbo de Tim Burton. Je le recommande chaudement.
Un film sympa ! Très ressemblent au dessin animé ! Par contre, c’est dommage pour moi trop d’effets spéciaux pour les animaux, seul bémol. Ma fille à adoré et moi aussi. A voir et à revoir
Que de libertés par rapport au dessin animé. Que de libertés historiques. En Géorgie, à cette époque, beaucoup de choses étaient impossible, comme la mixité dans un couple. Tant de scènes bafouées. Où sont les chiots de la fin du film ? Heureusement qu'ils n'ont pas osé toucher à la scène du restaurant. Vraiment déçu. ils auraient dû confier ce film à Jon Favreau. Lui aurait respecté l'œuvre originale.
À la différence du récent Roi Lion qui, en délaissant les prises de vue réelles pour leur préférer le tout-numérique dommageable, empêchait l’émotion de naître à l’écran, La Belle et le Clochard prouve qu’en dépit de l’entreprise de conversion artistique dans laquelle il s’inscrit – entreprise hautement contestable, mais là n’est pas la question –, il faut du concret pour donner vie à l’abstrait. Les coups de crayon ne sont hélas plus d’actualité, sauf dans quelques productions indépendantes dont Disney semble résolument étranger. Or, la pratique de live action reproduit quelque chose de ce genre, met en tension deux supports dont les aspérités résultant de leur fusion impossible s’offrent au spectateur comme un bastion d’authenticité. Cela revient à énoncer un paradoxe : plus saillant est l’artifice – dans les règles de l’art – et plus grande est l’immersion. Alice au pays des merveilles l’a prouvé il y a peu, tout comme Jean-Christophe et Winnie. La magie ne résulte pas de la perfection atteinte – si tant elle qu’elle le soit – mais bien des bigarrures qu’elle provoque dans l’image qui la cherche. Car les chiens, les chats et tous les autres animaux ici recomposés numériquement ne font pas longtemps illusion : c’est faux et ça se voit. Et alors ? Le film en souffre-t-il ? Nullement. La Belle et le Clochard cuvée 2019 réussit son pari initial, à savoir divertir et émouvoir, grâce à un équilibre parfait entre l’esprit d’aventure et l’intimiste : la fluidité de sa mise en scène embarque le spectateur dans un récit qu’il connaît certes déjà, mais qu’il a plaisir à voir se déplacer de l’animation pure dans une zone frontalière où les prises de vue réelles sont complétées par le numérique. Le long plan-séquence d’ouverture affirme d’emblée l’artifice à l’œuvre et la magie qu’il saupoudre sur une relecture inutile peut-être, trop sage sûrement, tendre à n’en pas douter. Loin de prolonger la réflexion entamée par l’œuvre originale, le film se contente de remettre en forme, de revigorer le dessin-animé à l’heure du me too – médecin asiatique, femme afro-américaine, mari blanc : le compte est bon – pour jouir à son tour de la poussière de fée apte à engendrer rêverie et émotion. Le spectateur trouve dans les approximations et les imperfections ce qu’il lui faut de fragilité pour y investir, en retour, sa propre sensibilité. Derrière sa linéarité et ses ambitions artistiques somme toute limitées, La Belle et le clochard diffuse une authenticité et une simplicité qui réchauffent le cœur, aidé en cela par la très belle partition musicale de Joseph Trapanese. À ne pas bouder.
Fer de lance du lancement de Disney+ cette version live de l'animé de 55, souffre des même târes que le roi lion, techniquement réussie bien qu'en dessous de ce dernier, mais manquant cruellement d'émotions. De plus la chanson des siamois à été supprimé alors que c'était l'une des plus emblématique, sous prétexte que celle-ci était trop limite et qu'il fallait modernisé le tous. Dommage de vouloir dépoussiéré en enlevant ce qui faisait le charme de l'original. Dans tous les cas, on ne tien pas la meilleure adaptation Disney.
Les adaptations en live des gloires passées continuent et on se demande toujours à quoi elles servent. Parfois ça marche (dumbo), mais le plus souvent c'est totalement inutile.
Le long métrage d'animation "La belle et le clochard' avait un rythme parfois pour développer son histoire en 1h15. Le film dure 30 minutes de plus et il faut donc rajouter ci et là des scènes superflues. Le rythme autrefois parfait est cassé, l'ennui fini par pointer le bout de son nez.
Dans les ratés:
- Une des scène les plus comique du DA (dans le Zoo) à été simplifiée à l’extrême,spoiler: adieu le castor, et bonjour une statue de castor qui retirera la muselière de Ladie.
- La scène amenant les siamois est totalement ratéespoiler: les chats foutent le souk juste pour le plaisir de foutre le souk, alors que dans le DA, le désordre arrivent parce qu'ils veulent d'abord manger le poisson, et ensuite aller se faire le biberon du bébé . La nouvelle chanson est franchement oubliable, elle n'arrive pas à la cheville de la chanson du DA.
- Si on en croit les voitures le film se déroule en Angleterre début 1900 et il faut maintenant admettre qu'à l'époque, les couples sont tous mixtes ! Autant dans les films se déroulant à notre époque, je m'en contrefiche royalement, autant ça me sort des yeux à chaque fois qu'on essaie d'édulcorer la réalité de notre histoire.
Les points positif:
- La technique est pas mal pour un "téléfilm", c'est par précis partout, mais cela reste relativement propre.
Conclusion donc, vraiment mitigé, c'est pas un mauvais film, mais ce n'est pas un bon film non plus, les enfants prendront plus de plaisir devant le DA qui se permet plus de folie