Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Culturopoing.com
par Audrey Jeamart
"Kajillionaire" est surprenant de bout en bout, atypique et universel, audacieux, évident. Old Dolio fait maintenant véritablement partie de la famille : lumineuse.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Marie Claire
par Emily Barnett
Inventif, rocambolesque, décalé : on hésite sur les qualités à accoler au nouveau formidable film de Miranda July [...].
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Là réside l’ambition du cinéma de July: tenter de faire de l’extravagance de ses personnages leur condition pour vivre sereinement dans le monde. Accepter de vivre la normalité tout en la rendant extraordinaire.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Voici Kajillionaire , l’un des films les plus incroyables de l’année (...).
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
La réalisatrice distille à nouveau un ton surréaliste et une étrangeté légère qui rappellent l'esprit de Boris Vian.
L'Humanité
par Michèle Levieux
Entre autodérision et compassion, Miranda July interroge le sens de la vie.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
L’humour décalé côtoie avec tendresse la mélancolie d’un enfermement familial et l’amertume d’une incommunicabilité. Le film semble un temps perdre en impertinence ce qu’il gagne en bons sentiments, avant un dernier pied de nez.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Tour à tour fou, tordu, tordant, bouleversant, Kajillionaire délaisse la comédie sociale sarcastique pour finir par un romantisme incongru qui tient du coup de théâtre et de la résolution magnifique d’une histoire jamais attendue.
Le Parisien
par La Rédaction
Original, drôle et touchant, cette comédie est portée par une mise en scène poétique et une fin très inspirée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par David Speranski
Après neuf ans d’absence, Miranda July, un des espoirs du cinéma américain, revient avec "Kajillionaire", une comédie singulière et profonde.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
La cinéaste déploie ainsi son art [...] où la drôlerie côtoie sans cesse la tragédie, où le burlesque fricote avec l’absurde. [ ...] Mais c’est surtout Evan Rachel Wood qui impressionne tant elle porte magnifiquement le poids du monde sur ses épaules, tout en affirmant, par sa seule présence, qu’un autre est possible.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Etrange équation de "Kajillionaire", qui met du côté de la normalité (Melanie) l’humanité, et du côté de l’inadaptation une forme mortifère de résistance. Equation réussie, tant la rencontre fonctionne entre les deux jeunes femmes, délestant le film de son enrobage bizarre jusqu’à en laisser apparaître le fond simple et sentimental.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Comédie flirtant joyeusement avec le fantastique, cette comédie poétique raconte aussi un Los Angeles différent.
Paris Match
par Yannick Vely
[...] un film au ton unique, qui évoque aussi bien l’univers de Yorgos Lanthimos («The Lobster») que celui de Spike Jonze («Dans la peau de John Malkovich») et qui surprend le spectateur à intervalle très régulier.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Ariane Allard
Car une fois encore, c’est de lien et d’amour dont nous parle la cinéaste, incurable romantique qui masque ses angoisses derrière un burlesque joliment visuel, et un sens de l’absurde un brin artificieux parfois. Une coquetterie qu’elle parvient à dépasser.
Première
par Thomas Baurez
Kajillionaire est un film cruel et plus irrévérencieux qu’il n’en a l’air. Si Miranda July pouvait ne pas attendre dix ans avant de redonner des nouvelles de ses freaks, on lui en serait reconnaissant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par La Rédaction
Un film profond, emballé dans un univers décalé et farfelu.
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Une comédie lorgnant vers le burlesque, originale et futée, tout à fait réussie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
On peut trouver Kajillionaire de Miranda July un brin artificiel, mais il faut concéder à la réalisatrice qu’elle a su choisir des acteurs exceptionnels.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Attachant par endroits, le nouveau Miranda July se perd à trop vouloir faire du beau avec du glauque.
Closer
par La Rédaction
Une comédie foutraque et touchante.
L'Obs
par François Forestier
C’est décousu, charmant, fantaisiste, et on imagine déjà la série télé. Pour amateurs de cinéma un tantinet déjanté.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Constance Jamet
Cette parabole sur la parentalité et l’importance des relations humaines tombe à point nommé en cette année de confinement. Mais elle est brouillée par la mise en scène empruntée de Miranda July qui peine à faire la jonction entre une poésie à la manière d’un Michel Gondry et le film de cambriolage à la Ocean’s Eleven.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Un film grinçant et loufoque.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Miranda July dresse le portrait délirant d'une famille de marginaux américains et raconte une mystérieuse histoire d'émancipation. Malgré ses afféteries, un film étonnant, souvent séduisant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Télé Loisirs
par Emilie Meunier
Plus qu’une critique acerbe du rêve américain, ce film dépeint avec une fantaisie déconcertante la détresse d’une femme sous l’emprise familiale et son émancipation.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télérama
par Marie Sauvion
Une bizarrerie poétique plus profonde qu’il n’y paraît.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré des intentions louables, ce "Ocean's Eleven" décalé finit par tourner en rond avec des personnages peu attachants.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Culturopoing.com
"Kajillionaire" est surprenant de bout en bout, atypique et universel, audacieux, évident. Old Dolio fait maintenant véritablement partie de la famille : lumineuse.
Marie Claire
Inventif, rocambolesque, décalé : on hésite sur les qualités à accoler au nouveau formidable film de Miranda July [...].
Cahiers du Cinéma
Là réside l’ambition du cinéma de July: tenter de faire de l’extravagance de ses personnages leur condition pour vivre sereinement dans le monde. Accepter de vivre la normalité tout en la rendant extraordinaire.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Voici Kajillionaire , l’un des films les plus incroyables de l’année (...).
Femme Actuelle
La réalisatrice distille à nouveau un ton surréaliste et une étrangeté légère qui rappellent l'esprit de Boris Vian.
L'Humanité
Entre autodérision et compassion, Miranda July interroge le sens de la vie.
La Croix
L’humour décalé côtoie avec tendresse la mélancolie d’un enfermement familial et l’amertume d’une incommunicabilité. Le film semble un temps perdre en impertinence ce qu’il gagne en bons sentiments, avant un dernier pied de nez.
Le Dauphiné Libéré
Tour à tour fou, tordu, tordant, bouleversant, Kajillionaire délaisse la comédie sociale sarcastique pour finir par un romantisme incongru qui tient du coup de théâtre et de la résolution magnifique d’une histoire jamais attendue.
Le Parisien
Original, drôle et touchant, cette comédie est portée par une mise en scène poétique et une fin très inspirée.
Les Fiches du Cinéma
Après neuf ans d’absence, Miranda July, un des espoirs du cinéma américain, revient avec "Kajillionaire", une comédie singulière et profonde.
Les Inrockuptibles
La cinéaste déploie ainsi son art [...] où la drôlerie côtoie sans cesse la tragédie, où le burlesque fricote avec l’absurde. [ ...] Mais c’est surtout Evan Rachel Wood qui impressionne tant elle porte magnifiquement le poids du monde sur ses épaules, tout en affirmant, par sa seule présence, qu’un autre est possible.
Libération
Etrange équation de "Kajillionaire", qui met du côté de la normalité (Melanie) l’humanité, et du côté de l’inadaptation une forme mortifère de résistance. Equation réussie, tant la rencontre fonctionne entre les deux jeunes femmes, délestant le film de son enrobage bizarre jusqu’à en laisser apparaître le fond simple et sentimental.
Ouest France
Comédie flirtant joyeusement avec le fantastique, cette comédie poétique raconte aussi un Los Angeles différent.
Paris Match
[...] un film au ton unique, qui évoque aussi bien l’univers de Yorgos Lanthimos («The Lobster») que celui de Spike Jonze («Dans la peau de John Malkovich») et qui surprend le spectateur à intervalle très régulier.
Positif
Car une fois encore, c’est de lien et d’amour dont nous parle la cinéaste, incurable romantique qui masque ses angoisses derrière un burlesque joliment visuel, et un sens de l’absurde un brin artificieux parfois. Une coquetterie qu’elle parvient à dépasser.
Première
Kajillionaire est un film cruel et plus irrévérencieux qu’il n’en a l’air. Si Miranda July pouvait ne pas attendre dix ans avant de redonner des nouvelles de ses freaks, on lui en serait reconnaissant.
Voici
Un film profond, emballé dans un univers décalé et farfelu.
aVoir-aLire.com
Une comédie lorgnant vers le burlesque, originale et futée, tout à fait réussie.
20 Minutes
On peut trouver Kajillionaire de Miranda July un brin artificiel, mais il faut concéder à la réalisatrice qu’elle a su choisir des acteurs exceptionnels.
CinemaTeaser
Attachant par endroits, le nouveau Miranda July se perd à trop vouloir faire du beau avec du glauque.
Closer
Une comédie foutraque et touchante.
L'Obs
C’est décousu, charmant, fantaisiste, et on imagine déjà la série télé. Pour amateurs de cinéma un tantinet déjanté.
Le Figaro
Cette parabole sur la parentalité et l’importance des relations humaines tombe à point nommé en cette année de confinement. Mais elle est brouillée par la mise en scène empruntée de Miranda July qui peine à faire la jonction entre une poésie à la manière d’un Michel Gondry et le film de cambriolage à la Ocean’s Eleven.
Le Monde
Un film grinçant et loufoque.
Les Echos
Miranda July dresse le portrait délirant d'une famille de marginaux américains et raconte une mystérieuse histoire d'émancipation. Malgré ses afféteries, un film étonnant, souvent séduisant.
Télé Loisirs
Plus qu’une critique acerbe du rêve américain, ce film dépeint avec une fantaisie déconcertante la détresse d’une femme sous l’emprise familiale et son émancipation.
Télérama
Une bizarrerie poétique plus profonde qu’il n’y paraît.
Le Journal du Dimanche
Malgré des intentions louables, ce "Ocean's Eleven" décalé finit par tourner en rond avec des personnages peu attachants.