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"Kajillionaire" est surprenant de bout en bout, atypique et universel, audacieux, évident. Old Dolio fait maintenant véritablement partie de la famille : lumineuse.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Là réside l’ambition du cinéma de July: tenter de faire de l’extravagance de ses personnages leur condition pour vivre sereinement dans le monde. Accepter de vivre la normalité tout en la rendant extraordinaire.
L’humour décalé côtoie avec tendresse la mélancolie d’un enfermement familial et l’amertume d’une incommunicabilité. Le film semble un temps perdre en impertinence ce qu’il gagne en bons sentiments, avant un dernier pied de nez.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Tour à tour fou, tordu, tordant, bouleversant, Kajillionaire délaisse la comédie sociale sarcastique pour finir par un romantisme incongru qui tient du coup de théâtre et de la résolution magnifique d’une histoire jamais attendue.
La cinéaste déploie ainsi son art [...] où la drôlerie côtoie sans cesse la tragédie, où le burlesque fricote avec l’absurde. [ ...] Mais c’est surtout Evan Rachel Wood qui impressionne tant elle porte magnifiquement le poids du monde sur ses épaules, tout en affirmant, par sa seule présence, qu’un autre est possible.
Etrange équation de "Kajillionaire", qui met du côté de la normalité (Melanie) l’humanité, et du côté de l’inadaptation une forme mortifère de résistance. Equation réussie, tant la rencontre fonctionne entre les deux jeunes femmes, délestant le film de son enrobage bizarre jusqu’à en laisser apparaître le fond simple et sentimental.
La critique complète est disponible sur le site Libération
[...] un film au ton unique, qui évoque aussi bien l’univers de Yorgos Lanthimos («The Lobster») que celui de Spike Jonze («Dans la peau de John Malkovich») et qui surprend le spectateur à intervalle très régulier.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Car une fois encore, c’est de lien et d’amour dont nous parle la cinéaste, incurable romantique qui masque ses angoisses derrière un burlesque joliment visuel, et un sens de l’absurde un brin artificieux parfois. Une coquetterie qu’elle parvient à dépasser.
Kajillionaire est un film cruel et plus irrévérencieux qu’il n’en a l’air. Si Miranda July pouvait ne pas attendre dix ans avant de redonner des nouvelles de ses freaks, on lui en serait reconnaissant.
La critique complète est disponible sur le site Première
On peut trouver Kajillionaire de Miranda July un brin artificiel, mais il faut concéder à la réalisatrice qu’elle a su choisir des acteurs exceptionnels.
Cette parabole sur la parentalité et l’importance des relations humaines tombe à point nommé en cette année de confinement. Mais elle est brouillée par la mise en scène empruntée de Miranda July qui peine à faire la jonction entre une poésie à la manière d’un Michel Gondry et le film de cambriolage à la Ocean’s Eleven.
Miranda July dresse le portrait délirant d'une famille de marginaux américains et raconte une mystérieuse histoire d'émancipation. Malgré ses afféteries, un film étonnant, souvent séduisant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Plus qu’une critique acerbe du rêve américain, ce film dépeint avec une fantaisie déconcertante la détresse d’une femme sous l’emprise familiale et son émancipation.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Culturopoing.com
"Kajillionaire" est surprenant de bout en bout, atypique et universel, audacieux, évident. Old Dolio fait maintenant véritablement partie de la famille : lumineuse.
Marie Claire
Inventif, rocambolesque, décalé : on hésite sur les qualités à accoler au nouveau formidable film de Miranda July [...].
Cahiers du Cinéma
Là réside l’ambition du cinéma de July: tenter de faire de l’extravagance de ses personnages leur condition pour vivre sereinement dans le monde. Accepter de vivre la normalité tout en la rendant extraordinaire.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Voici Kajillionaire , l’un des films les plus incroyables de l’année (...).
Femme Actuelle
La réalisatrice distille à nouveau un ton surréaliste et une étrangeté légère qui rappellent l'esprit de Boris Vian.
L'Humanité
Entre autodérision et compassion, Miranda July interroge le sens de la vie.
La Croix
L’humour décalé côtoie avec tendresse la mélancolie d’un enfermement familial et l’amertume d’une incommunicabilité. Le film semble un temps perdre en impertinence ce qu’il gagne en bons sentiments, avant un dernier pied de nez.
Le Dauphiné Libéré
Tour à tour fou, tordu, tordant, bouleversant, Kajillionaire délaisse la comédie sociale sarcastique pour finir par un romantisme incongru qui tient du coup de théâtre et de la résolution magnifique d’une histoire jamais attendue.
Le Parisien
Original, drôle et touchant, cette comédie est portée par une mise en scène poétique et une fin très inspirée.
Les Fiches du Cinéma
Après neuf ans d’absence, Miranda July, un des espoirs du cinéma américain, revient avec "Kajillionaire", une comédie singulière et profonde.
Les Inrockuptibles
La cinéaste déploie ainsi son art [...] où la drôlerie côtoie sans cesse la tragédie, où le burlesque fricote avec l’absurde. [ ...] Mais c’est surtout Evan Rachel Wood qui impressionne tant elle porte magnifiquement le poids du monde sur ses épaules, tout en affirmant, par sa seule présence, qu’un autre est possible.
Libération
Etrange équation de "Kajillionaire", qui met du côté de la normalité (Melanie) l’humanité, et du côté de l’inadaptation une forme mortifère de résistance. Equation réussie, tant la rencontre fonctionne entre les deux jeunes femmes, délestant le film de son enrobage bizarre jusqu’à en laisser apparaître le fond simple et sentimental.
Ouest France
Comédie flirtant joyeusement avec le fantastique, cette comédie poétique raconte aussi un Los Angeles différent.
Paris Match
[...] un film au ton unique, qui évoque aussi bien l’univers de Yorgos Lanthimos («The Lobster») que celui de Spike Jonze («Dans la peau de John Malkovich») et qui surprend le spectateur à intervalle très régulier.
Positif
Car une fois encore, c’est de lien et d’amour dont nous parle la cinéaste, incurable romantique qui masque ses angoisses derrière un burlesque joliment visuel, et un sens de l’absurde un brin artificieux parfois. Une coquetterie qu’elle parvient à dépasser.
Première
Kajillionaire est un film cruel et plus irrévérencieux qu’il n’en a l’air. Si Miranda July pouvait ne pas attendre dix ans avant de redonner des nouvelles de ses freaks, on lui en serait reconnaissant.
Voici
Un film profond, emballé dans un univers décalé et farfelu.
aVoir-aLire.com
Une comédie lorgnant vers le burlesque, originale et futée, tout à fait réussie.
20 Minutes
On peut trouver Kajillionaire de Miranda July un brin artificiel, mais il faut concéder à la réalisatrice qu’elle a su choisir des acteurs exceptionnels.
CinemaTeaser
Attachant par endroits, le nouveau Miranda July se perd à trop vouloir faire du beau avec du glauque.
Closer
Une comédie foutraque et touchante.
L'Obs
C’est décousu, charmant, fantaisiste, et on imagine déjà la série télé. Pour amateurs de cinéma un tantinet déjanté.
Le Figaro
Cette parabole sur la parentalité et l’importance des relations humaines tombe à point nommé en cette année de confinement. Mais elle est brouillée par la mise en scène empruntée de Miranda July qui peine à faire la jonction entre une poésie à la manière d’un Michel Gondry et le film de cambriolage à la Ocean’s Eleven.
Le Monde
Un film grinçant et loufoque.
Les Echos
Miranda July dresse le portrait délirant d'une famille de marginaux américains et raconte une mystérieuse histoire d'émancipation. Malgré ses afféteries, un film étonnant, souvent séduisant.
Télé Loisirs
Plus qu’une critique acerbe du rêve américain, ce film dépeint avec une fantaisie déconcertante la détresse d’une femme sous l’emprise familiale et son émancipation.
Télérama
Une bizarrerie poétique plus profonde qu’il n’y paraît.
Le Journal du Dimanche
Malgré des intentions louables, ce "Ocean's Eleven" décalé finit par tourner en rond avec des personnages peu attachants.