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Les deux comédiens, Clémentine Célarié et Serge Riaboukine, servent avec une rare intelligence de jeu cette abrasive partition, qui alterne l’intensité tempétueuse et la sidération hagarde.
Clémentine Célarié et Serge Riaboukine portent cet étrange huis clos sur le deuil — premier long métrage de fiction d’une documentariste —, où le pathos est sans cesse désamorcé par les artifices théâtraux. Dommage que la cinéaste n’exploite pas davantage son décor désolé à la Samuel Beckett.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
A travers ce huis clos étouffant, la cinéaste filme deux morts-vivants et leurs drames intimes, tout en évitant le piège du théâtre filmé grâce à un découpage fébrile de l'espace. Les deux comédiens sont remarquables. Et puis, comme si elle manquait de confiance en elle, Véronique Mériadec tombe dans le travers du flash-back explicatif et psychologique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les poncifs abondent, les acteurs en font des caisses et le pauvre spectateur attend avec impatience que se termine un calvaire aussi irritant qu’ennuyeux.
Positif
Les deux comédiens, Clémentine Célarié et Serge Riaboukine, servent avec une rare intelligence de jeu cette abrasive partition, qui alterne l’intensité tempétueuse et la sidération hagarde.
Télérama
Clémentine Célarié et Serge Riaboukine portent cet étrange huis clos sur le deuil — premier long métrage de fiction d’une documentariste —, où le pathos est sans cesse désamorcé par les artifices théâtraux. Dommage que la cinéaste n’exploite pas davantage son décor désolé à la Samuel Beckett.
aVoir-aLire.com
Pour son premier long-métrage, la réalisatrice Véronique Mériadec aborde sans fard le thème peu développé de la justice restaurative.
Les Fiches du Cinéma
Un huis clos peinant à convaincre, tant dans le fond que dans la forme, et qui aurait plus sa place dans un théâtre que dans une salle de cinéma.
L'Obs
A travers ce huis clos étouffant, la cinéaste filme deux morts-vivants et leurs drames intimes, tout en évitant le piège du théâtre filmé grâce à un découpage fébrile de l'espace. Les deux comédiens sont remarquables. Et puis, comme si elle manquait de confiance en elle, Véronique Mériadec tombe dans le travers du flash-back explicatif et psychologique.
Le Journal du Dimanche
Les poncifs abondent, les acteurs en font des caisses et le pauvre spectateur attend avec impatience que se termine un calvaire aussi irritant qu’ennuyeux.
Première
Clémentine Célarié et Serge Riaboukine font ce qu’ils peuvent pour élever le débat mais n’y parviennent que ponctuellement.