Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Une œuvre extra-sensorielle saisissante, qui nous invite à affûter nos perceptions pour renforcer notre présence au monde.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
C’est la grande idée du film, que l’on pourrait schématiser ainsi : l’image est espace tandis que le son est temps, c’est pourquoi il fait éclater les limites de la perception, ouvre sur d’autres dimensions et rend possible la coprésence de plusieurs strates de mémoire.
Critikat.com
par Corentin Lê
Weerasethakul est au sommet de son art.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot & Emmanuel Le Gagne
Memoria est une expérience cosmique et philosophique de connexion au monde, d'appel à l'amour de l'univers, totalement ouvert à tous les dialogues, à toutes les explications vers l'infini imaginaire, l'infinie temporalité.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Clarisse Fabre
Le neuvième long-métrage d’Apichatpong Weerasethakul réunit l’expérimental et le film de genre. Chef-d’œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Avec Memoria, Weerasethakul, Palme d’or avec Oncle Boonmee, propose une œuvre parmi les plus stupéfiantes du cinéma contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Philippe Azoury
Memoria voit la mise en scène d’Apichatpong Weerasethakul se déplacer : elle était contemplative, la voilà attentive.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Memoria est sans doute un des meilleurs films jamais faits, en tout cas, il y ressemble : il donne l’impression de réaliser ou d’actualiser, en une fois, quelque chose – une faculté, une possibilité, ou plusieurs – que le cinéma portait jusqu’ici en germe, et pour lesquelles il aurait précisément été (non pas un beau jour, mais progressivement) inventé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Il faut ouvrir ses Chakras, accepter l’incroyable, rêver éveillé, l’une des meilleures définitions que l’on puisse donner au cinéma du maitre thaï.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Transfuge
par Serge Kaganski
Depuis combien de temps cela ne s’était pas produit ? Sortir d’un film en étant subjugué, perplexe, étonné, transfiguré, persuadé d’avoir vécu une expérience et d’avoir foulé des territoires inconnus, comme en apesanteur ou en hypnose.
Voici
par La Rédaction
Une balade immersive et sensorielle au coeur de la forêt colombienne... Et de l'esprit de Tilda Swinton ! Notre coup de coeur.
20 Minutes
par Caroline Vié
Avec « Memoria », Apichatpong Weersathakul offre à Tilda Swinton une expérience sensible et sonore inédite.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Renan Cros
Radical et transcendantal, une épopée physique et sonore qui emmène loin, très loin.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par La rédaction
Mais derrière cette mollesse apparente, Memoria cache une quête métaphysique dépassant les frontières du temps et du réel. De quoi offrir un voyage ensorcelant à quiconque se laissera emporter par le récit et certaines scènes absolument hypnotisantes (une reconstitution du bang magnétique).
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Tourné en plans fixes sublimes, ce film ne se regarde pas, il se vit.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La magie Apichatpong Weerasethakul opère encore et toujours si l'on s'y prête. Une méditation.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le voyage, hypnotique, exige le lâcher-prise et laisse le spectateur dans un état second. Ensorcelé ou mort d’ennui.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Expérience sensorielle saluée d’un Prix du Jury au dernier Festival de Cannes, Memoria est le fruit d’une spiritualité animiste qui voit en chaque élément du monde un esprit vivant, une âme, qu’Apichatpong Weerasethakul essaye – et parvient souvent – à faire apparaître à l’écran.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Marie Claire
par Emily Barnett
Un trip animiste et sensoriel.
Première
par Thomas Baurez
Face à tant de grâce, l’image et les sons s’interpénètrent pour parler d’une même voix. Memoria était assurément le film le plus intrigant du dernier Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le long corps gracieux de la comédienne britannique porte le récit avec une précaution lente, hantée par d’invisibles plaies.
Télérama
par La Rédaction
Mais Apichatpong Weerasethakul est le moins narratif des trois cinéastes, le plus aimanté par l’épure et l’abstraction. Plus que jamais, il laisse un espace considérable au spectateur pour inventer son propre film à partir des images offertes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
par Etienne Sorin
Le début d'une dérive dans la jungle colombienne, poème mystique entre ennui et fascination.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Un geste fort, audacieux, qui déroute autant qu'il épate par sa maîtrise formelle et sa profondeur, à condition d'en accepter la lenteur et les silences.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le travail sur la lumière et le son demeurent incroyables, les fulgurances visuelles sont là, mais cette (probable) réflexion sur la fragilité du souvenir nous a majoritairement laissés de glace.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par La Rédaction
Bien sûr, c’est comme certaines pièces radicales de la musique dodécaphonique ou de l’art minimal : il y a des amateurs. Pas nous. C’est radical.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Comme d'habitude, Apichatpong Weerasethakul propose une expérience sensorielle, un songe, une recherche cinématographique qu'on peut trouver, ici, particulièrement ennuyeuse, obscure et soporifique.
aVoir-aLire.com
par Thomas Bonicel
Onze ans après sa Palme d’or à Cannes, Weerasethakul y est revenu pour présenter son premier long métrage en anglais – et en espagnol -. Malheureusement, il offre une caricature de film d’auteur, dont on peine à voir la fin.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
Une œuvre extra-sensorielle saisissante, qui nous invite à affûter nos perceptions pour renforcer notre présence au monde.
Cahiers du Cinéma
C’est la grande idée du film, que l’on pourrait schématiser ainsi : l’image est espace tandis que le son est temps, c’est pourquoi il fait éclater les limites de la perception, ouvre sur d’autres dimensions et rend possible la coprésence de plusieurs strates de mémoire.
Critikat.com
Weerasethakul est au sommet de son art.
Culturopoing.com
Memoria est une expérience cosmique et philosophique de connexion au monde, d'appel à l'amour de l'univers, totalement ouvert à tous les dialogues, à toutes les explications vers l'infini imaginaire, l'infinie temporalité.
Le Monde
Le neuvième long-métrage d’Apichatpong Weerasethakul réunit l’expérimental et le film de genre. Chef-d’œuvre.
Les Fiches du Cinéma
Avec Memoria, Weerasethakul, Palme d’or avec Oncle Boonmee, propose une œuvre parmi les plus stupéfiantes du cinéma contemporain.
Les Inrockuptibles
Memoria voit la mise en scène d’Apichatpong Weerasethakul se déplacer : elle était contemplative, la voilà attentive.
Libération
Memoria est sans doute un des meilleurs films jamais faits, en tout cas, il y ressemble : il donne l’impression de réaliser ou d’actualiser, en une fois, quelque chose – une faculté, une possibilité, ou plusieurs – que le cinéma portait jusqu’ici en germe, et pour lesquelles il aurait précisément été (non pas un beau jour, mais progressivement) inventé.
Paris Match
Il faut ouvrir ses Chakras, accepter l’incroyable, rêver éveillé, l’une des meilleures définitions que l’on puisse donner au cinéma du maitre thaï.
Transfuge
Depuis combien de temps cela ne s’était pas produit ? Sortir d’un film en étant subjugué, perplexe, étonné, transfiguré, persuadé d’avoir vécu une expérience et d’avoir foulé des territoires inconnus, comme en apesanteur ou en hypnose.
Voici
Une balade immersive et sensorielle au coeur de la forêt colombienne... Et de l'esprit de Tilda Swinton ! Notre coup de coeur.
20 Minutes
Avec « Memoria », Apichatpong Weersathakul offre à Tilda Swinton une expérience sensible et sonore inédite.
CinemaTeaser
Radical et transcendantal, une épopée physique et sonore qui emmène loin, très loin.
Ecran Large
Mais derrière cette mollesse apparente, Memoria cache une quête métaphysique dépassant les frontières du temps et du réel. De quoi offrir un voyage ensorcelant à quiconque se laissera emporter par le récit et certaines scènes absolument hypnotisantes (une reconstitution du bang magnétique).
Elle
Tourné en plans fixes sublimes, ce film ne se regarde pas, il se vit.
Franceinfo Culture
La magie Apichatpong Weerasethakul opère encore et toujours si l'on s'y prête. Une méditation.
L'Obs
Le voyage, hypnotique, exige le lâcher-prise et laisse le spectateur dans un état second. Ensorcelé ou mort d’ennui.
La Croix
Expérience sensorielle saluée d’un Prix du Jury au dernier Festival de Cannes, Memoria est le fruit d’une spiritualité animiste qui voit en chaque élément du monde un esprit vivant, une âme, qu’Apichatpong Weerasethakul essaye – et parvient souvent – à faire apparaître à l’écran.
Marie Claire
Un trip animiste et sensoriel.
Première
Face à tant de grâce, l’image et les sons s’interpénètrent pour parler d’une même voix. Memoria était assurément le film le plus intrigant du dernier Festival de Cannes.
Sud Ouest
Le long corps gracieux de la comédienne britannique porte le récit avec une précaution lente, hantée par d’invisibles plaies.
Télérama
Mais Apichatpong Weerasethakul est le moins narratif des trois cinéastes, le plus aimanté par l’épure et l’abstraction. Plus que jamais, il laisse un espace considérable au spectateur pour inventer son propre film à partir des images offertes.
Le Figaro
Le début d'une dérive dans la jungle colombienne, poème mystique entre ennui et fascination.
Le Journal du Dimanche
Un geste fort, audacieux, qui déroute autant qu'il épate par sa maîtrise formelle et sa profondeur, à condition d'en accepter la lenteur et les silences.
La Voix du Nord
Le travail sur la lumière et le son demeurent incroyables, les fulgurances visuelles sont là, mais cette (probable) réflexion sur la fragilité du souvenir nous a majoritairement laissés de glace.
Le Parisien
Bien sûr, c’est comme certaines pièces radicales de la musique dodécaphonique ou de l’art minimal : il y a des amateurs. Pas nous. C’est radical.
Ouest France
Comme d'habitude, Apichatpong Weerasethakul propose une expérience sensorielle, un songe, une recherche cinématographique qu'on peut trouver, ici, particulièrement ennuyeuse, obscure et soporifique.
aVoir-aLire.com
Onze ans après sa Palme d’or à Cannes, Weerasethakul y est revenu pour présenter son premier long métrage en anglais – et en espagnol -. Malheureusement, il offre une caricature de film d’auteur, dont on peine à voir la fin.