Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le cinéaste roumain Corneliu Porumboiu livre un formidable polar postmoderne.
Libération
par Julien Gester
[...] splendide farce que [...] ses "Siffleurs", à la fois polar, western, satire sociale et comédie très musicale, film d’aventure et d’espionnage, d’obscurité vénéneuse et d’incessant feu d’artifice visuel, de surveillance parano ultracontemporaine et de ravissements archaïques.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
par Caroline Vié
Amour et danger font bon ménage dans ce polar présenté au Festival de Cannes en mai dernier.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Isabelle Danel
Porumboiu signe un film de genre. Un polar tout en références qui se promène au son d’une barcarolle et d’une langue sifflée dans les méandres des âmes corrompues que seul l’amour peut sauver… Peut-être.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
La mélodie des Siffleurs atteint une méditation ludique et entêtante sur la nécessité des promesses poétiques, cachées on ne sait où dans ce monde qui nous prend à la gorge.
Critikat.com
par Corentin Lê
Corneliu Porumboiu, qui pose ici un pied sur le terrain miné du thriller paranoïaque, organise le récit de son dernier film autour de la confrontation constante entre image et langage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Corneliu Porumboiu ironise sur le genre tout en l’alambiquant à l’extrême. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Un film jubilatoire.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Ce film noir, signé du Roumain Corneliu Porumboiu, pratique un humour grinçant autour d’un flic corrompu.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Kaléidoscope bigarré de récits policiers, Les Siffleurs détourne les figures du film noir en les enferrant dans un conte sémiologique qui emprunte autant à l’OLiPo qu’aux pastiches potachiques, déguisant Porumboiu en alchimiste au second degré étonnant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Thierry Chèze
Un polar burlesque sous tension.
Positif
par Baptiste Roux
Première incursion du cinéaste dans l’univers du film policier, "Les Siffleurs" opte pour une approche clinique des motifs inhérents au genre (trafics, plans et moyens d’action, exécutions des traîtres, etc.), privilégiant, dans le traitement des enjeux, une dimension antispectaculaire.
Télérama
par Samuel Douhaire
Les Siffleurs se révèle un divertissement de haute volée, inventif et très plaisant, qui devrait permettre au plus caustique des cinéastes roumains de toucher un plus large public sans se renier.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Jérôme Garcin
C’est trop, mais le plaisir est garanti.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
C’est drôle et noir, ludique et plaisant.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Projeté in media res dans une intrigue canonique de film noir, le spectateur est trimbalé de séquence en séquence avec un sens très relatif de la chronologie. Ce n’est pas très clair au début, et ça l’est de moins en moins à mesure qu’on avance, tant l’opacité des personnages s’accroît en même temps que les fils narratifs s’emberlificotent. Intrigant et parfaitement exécuté qu’il soit, le sixième long métrage de ce cinéaste est trop fasciné par sa propre conduite pour pleinement convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
Bref, la mécanique est bien huilée, les rebondissements se succèdent et si l'exercice de style a ses limites, «Les Siffleurs» est un agréable «crowd-pleaser» (terme anglais que l'on pourrait traduire par film plaisir).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Christophe Narbonne
Moins austère que ses compatriotes Cristi Puiu (Sieranevada) ou Cristian Mungiu (Baccalauréat), Porumboiu signe un film noir postmoderne qui cite explicitement ses sources (Gilda, Psychose...), entamant un dialogue réjouissant avec les polars déstructurés – ici, un poil trop – de Tarantino.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film complexe et sombre, qui s’éclaire subtilement au fur et à mesure du récit.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Cette comédie policière séduit par ses personnages troubles et l’anecdote qui lui donne son titre. Mais elle déroute par sa narration déstructurée destinée à brouiller les pistes et qui nuit malheureusement à la complète compréhension de l’histoire.
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
[...] le film mêle intrigue policière, romance et évocation des traditions [...]. Mais ce cocktail, alourdi par une division en chapitres parfaitement arbitraire, paraît ici artificiel et sans nécessité.
Voici
par Daniel Blois
Les acteurs, excellents, rendent le tout parfois divertissant.
Le Monde
Le cinéaste roumain Corneliu Porumboiu livre un formidable polar postmoderne.
Libération
[...] splendide farce que [...] ses "Siffleurs", à la fois polar, western, satire sociale et comédie très musicale, film d’aventure et d’espionnage, d’obscurité vénéneuse et d’incessant feu d’artifice visuel, de surveillance parano ultracontemporaine et de ravissements archaïques.
20 Minutes
Amour et danger font bon ménage dans ce polar présenté au Festival de Cannes en mai dernier.
Bande à part
Porumboiu signe un film de genre. Un polar tout en références qui se promène au son d’une barcarolle et d’une langue sifflée dans les méandres des âmes corrompues que seul l’amour peut sauver… Peut-être.
Cahiers du Cinéma
La mélodie des Siffleurs atteint une méditation ludique et entêtante sur la nécessité des promesses poétiques, cachées on ne sait où dans ce monde qui nous prend à la gorge.
Critikat.com
Corneliu Porumboiu, qui pose ici un pied sur le terrain miné du thriller paranoïaque, organise le récit de son dernier film autour de la confrontation constante entre image et langage.
L'Humanité
Corneliu Porumboiu ironise sur le genre tout en l’alambiquant à l’extrême. Une réussite.
La Croix
Un film jubilatoire.
Le Figaro
Ce film noir, signé du Roumain Corneliu Porumboiu, pratique un humour grinçant autour d’un flic corrompu.
Les Fiches du Cinéma
Kaléidoscope bigarré de récits policiers, Les Siffleurs détourne les figures du film noir en les enferrant dans un conte sémiologique qui emprunte autant à l’OLiPo qu’aux pastiches potachiques, déguisant Porumboiu en alchimiste au second degré étonnant.
Ouest France
Un polar burlesque sous tension.
Positif
Première incursion du cinéaste dans l’univers du film policier, "Les Siffleurs" opte pour une approche clinique des motifs inhérents au genre (trafics, plans et moyens d’action, exécutions des traîtres, etc.), privilégiant, dans le traitement des enjeux, une dimension antispectaculaire.
Télérama
Les Siffleurs se révèle un divertissement de haute volée, inventif et très plaisant, qui devrait permettre au plus caustique des cinéastes roumains de toucher un plus large public sans se renier.
L'Obs
C’est trop, mais le plaisir est garanti.
La Voix du Nord
C’est drôle et noir, ludique et plaisant.
Les Inrockuptibles
Projeté in media res dans une intrigue canonique de film noir, le spectateur est trimbalé de séquence en séquence avec un sens très relatif de la chronologie. Ce n’est pas très clair au début, et ça l’est de moins en moins à mesure qu’on avance, tant l’opacité des personnages s’accroît en même temps que les fils narratifs s’emberlificotent. Intrigant et parfaitement exécuté qu’il soit, le sixième long métrage de ce cinéaste est trop fasciné par sa propre conduite pour pleinement convaincre.
Paris Match
Bref, la mécanique est bien huilée, les rebondissements se succèdent et si l'exercice de style a ses limites, «Les Siffleurs» est un agréable «crowd-pleaser» (terme anglais que l'on pourrait traduire par film plaisir).
Première
Moins austère que ses compatriotes Cristi Puiu (Sieranevada) ou Cristian Mungiu (Baccalauréat), Porumboiu signe un film noir postmoderne qui cite explicitement ses sources (Gilda, Psychose...), entamant un dialogue réjouissant avec les polars déstructurés – ici, un poil trop – de Tarantino.
aVoir-aLire.com
Un film complexe et sombre, qui s’éclaire subtilement au fur et à mesure du récit.
Le Journal du Dimanche
Cette comédie policière séduit par ses personnages troubles et l’anecdote qui lui donne son titre. Mais elle déroute par sa narration déstructurée destinée à brouiller les pistes et qui nuit malheureusement à la complète compréhension de l’histoire.
Transfuge
[...] le film mêle intrigue policière, romance et évocation des traditions [...]. Mais ce cocktail, alourdi par une division en chapitres parfaitement arbitraire, paraît ici artificiel et sans nécessité.
Voici
Les acteurs, excellents, rendent le tout parfois divertissant.