Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un grand film.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Voici
par D.B.
Absolument immanquable !
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce premier film surprend par sa virtuosité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Perrine Quenesson
Le long-métrage à l’atmosphère pesante de Dong Yue impressionne par sa maîtrise. Très prometteur pour un premier essai.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
[...] un coup de maître [...].
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Antoine Le Fur
Un très bon film noir, sombre et poisseux.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Tout est ici d’une beauté sombre et fuligineuse, au diapason de la toile de fond ; une Chine archaïque et dantesque où l’on a l’impression qu’il suffit de poser la caméra au coin d’une rue pour faire sourdre aussitôt un sentiment romanesque.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un premier film époustouflant de maîtrise et qui fait entrer directement son auteur dans la cour des grands.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par La Rédaction
Le cinéaste chinois Dong Yue s’inspire de quelques classiques du film noir moderne mais imprime sa propre vision monochrome et nihiliste. À ne pas manquer.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Ce magnifique polar chinois vaut moins pour son intrigue - au demeurant très intelligente - que pour l’atmosphère sombre, pessimiste même, que Dong Yue imprime à son récit. Cette pluie-là, on la laisserait bien nous tremper jusqu’aux os.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Si l’esthétique de Dong Yue penche du côté de David Fincher, il fait également preuve d’un goût pour une étrangeté toute hitchcockienne et d’un propos politique qui n’est pas sans rappeler le cinéma de son compatriote Jia Zhangke.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Thierry Chèze
Le film mêle avec superbe, chronique sociale et suspense halletant.
Positif
par Nicolas Bauche
Pour son premier opus cinématographique, Dong Yue signe un film sur le non-sens de l'existence, prise dans des stratégies qui la dépassent. Une méditation nihiliste.
Télérama
par Guillemette Odicino
Tourné dans la province du Hunan, à Hengyang, site industriel majeur du sud de la Chine devenu un no man’s land à la fin des années 1990, Une pluie sans fin est une désespérante et emballante peinture des « vestiges inutiles d’une nation glorieuse », comme Yu Guowei, qui rêvent à des âmes mortes et en oublient de vivre une possible histoire d’amour.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Mathis Badin
Le cœur du film n’est pas tant une description des bouleversements de l’époque ou un thriller rural que la vision embuée d’une année où la rétrocession de Hong Kong se fait avant tout l’écho d’une période écrasée par la pluie, et d’une femme perdue pour toujours.
Ecran Large
par Lino Cassinat
"Une pluie sans fin" aurait pu se résumer à la juxtaposition appliquée mais un peu creuse de deux beaux morceaux opposés de polars asiatiques, mais curieusement la greffe ne prend pas trop mal... pendant 15 minutes et après 2 heures d'opération. Cependant ces 15 minutes sont suffisamment fortes pour qu'on y croit pour la suite, mais il y a du chemin à faire.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Premier film impressionnant de maîtrise formelle, Une pluie sans fin hésite toutefois entre polar, romance et chronique politique dans la Chine de 1997, en pleine transformation sociale.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Une hégémonie carnassière dont l’amère victoire est célébrée dans les dernières minutes de ce film haletant et toxique.
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
La mise en scène est impressionnante de maîtrise pour un premier film. On peut toutefois lui reprocher de trop se disperser entre thriller, romance, drame social et métaphore politique [...].
Le Monde
par Jean-François Rauger
La pluie continuelle, l’écrasant et inhumain décor que sa terrible beauté rend irréel, tirent le film vers une sorte de fantastique halluciné.
Première
par Gérard Delorme
Comme dans l’impressionnant Black coal, dont Une pluie sans fin reproduit la même ambiance poisseuse, le contexte industriel provincial au tournant du millénaire sert de décor à une enquête sur une série de meurtres de prostituées.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par La rédaction
[...] lorsque la pluie et le mauvais temps ne suffisent plus à illustrer les enjeux en cours, Dong Yue se tourne vers le flash-back explicatif, le panneau contextuel et le twist tarabiscoté, là où trouble et mystère n’ont définitivement plus leur place.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Julien Gester
La comparaison se révèle toutefois cruelle : "Une pluie sans fin" ne présente ni le souffle tendu, ni la densité romanesque, ni la savante oscillation entre les genres de son modèle ["Memories of lmurder"].
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Entre cinéma social auteuriste et film de genre, les influences de Yue Dong sont des plus éclectiques. Mais même si le réalisateur assure à son film une atmosphère pesante, sa délicate tentative de mélange de genres pèse sur son scénario hésitant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par La Rédaction
Un plagiat de Memories of Murder, le chef-d'œuvre du Sud-Coréen Bong Joon-ho, tout juste édité en coffret collector chez La Rabbia. Préférez l'original.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
Un grand film.
Voici
Absolument immanquable !
20 Minutes
Ce premier film surprend par sa virtuosité.
CinemaTeaser
Le long-métrage à l’atmosphère pesante de Dong Yue impressionne par sa maîtrise. Très prometteur pour un premier essai.
Franceinfo Culture
[...] un coup de maître [...].
L'Express
Un très bon film noir, sombre et poisseux.
L'Humanité
Tout est ici d’une beauté sombre et fuligineuse, au diapason de la toile de fond ; une Chine archaïque et dantesque où l’on a l’impression qu’il suffit de poser la caméra au coin d’une rue pour faire sourdre aussitôt un sentiment romanesque.
L'Obs
Un premier film époustouflant de maîtrise et qui fait entrer directement son auteur dans la cour des grands.
La Voix du Nord
Le cinéaste chinois Dong Yue s’inspire de quelques classiques du film noir moderne mais imprime sa propre vision monochrome et nihiliste. À ne pas manquer.
Les Fiches du Cinéma
Ce magnifique polar chinois vaut moins pour son intrigue - au demeurant très intelligente - que pour l’atmosphère sombre, pessimiste même, que Dong Yue imprime à son récit. Cette pluie-là, on la laisserait bien nous tremper jusqu’aux os.
Les Inrockuptibles
Si l’esthétique de Dong Yue penche du côté de David Fincher, il fait également preuve d’un goût pour une étrangeté toute hitchcockienne et d’un propos politique qui n’est pas sans rappeler le cinéma de son compatriote Jia Zhangke.
Ouest France
Le film mêle avec superbe, chronique sociale et suspense halletant.
Positif
Pour son premier opus cinématographique, Dong Yue signe un film sur le non-sens de l'existence, prise dans des stratégies qui la dépassent. Une méditation nihiliste.
Télérama
Tourné dans la province du Hunan, à Hengyang, site industriel majeur du sud de la Chine devenu un no man’s land à la fin des années 1990, Une pluie sans fin est une désespérante et emballante peinture des « vestiges inutiles d’une nation glorieuse », comme Yu Guowei, qui rêvent à des âmes mortes et en oublient de vivre une possible histoire d’amour.
Cahiers du Cinéma
Le cœur du film n’est pas tant une description des bouleversements de l’époque ou un thriller rural que la vision embuée d’une année où la rétrocession de Hong Kong se fait avant tout l’écho d’une période écrasée par la pluie, et d’une femme perdue pour toujours.
Ecran Large
"Une pluie sans fin" aurait pu se résumer à la juxtaposition appliquée mais un peu creuse de deux beaux morceaux opposés de polars asiatiques, mais curieusement la greffe ne prend pas trop mal... pendant 15 minutes et après 2 heures d'opération. Cependant ces 15 minutes sont suffisamment fortes pour qu'on y croit pour la suite, mais il y a du chemin à faire.
La Croix
Premier film impressionnant de maîtrise formelle, Une pluie sans fin hésite toutefois entre polar, romance et chronique politique dans la Chine de 1997, en pleine transformation sociale.
La Septième Obsession
Une hégémonie carnassière dont l’amère victoire est célébrée dans les dernières minutes de ce film haletant et toxique.
Le Journal du Dimanche
La mise en scène est impressionnante de maîtrise pour un premier film. On peut toutefois lui reprocher de trop se disperser entre thriller, romance, drame social et métaphore politique [...].
Le Monde
La pluie continuelle, l’écrasant et inhumain décor que sa terrible beauté rend irréel, tirent le film vers une sorte de fantastique halluciné.
Première
Comme dans l’impressionnant Black coal, dont Une pluie sans fin reproduit la même ambiance poisseuse, le contexte industriel provincial au tournant du millénaire sert de décor à une enquête sur une série de meurtres de prostituées.
Critikat.com
[...] lorsque la pluie et le mauvais temps ne suffisent plus à illustrer les enjeux en cours, Dong Yue se tourne vers le flash-back explicatif, le panneau contextuel et le twist tarabiscoté, là où trouble et mystère n’ont définitivement plus leur place.
Libération
La comparaison se révèle toutefois cruelle : "Une pluie sans fin" ne présente ni le souffle tendu, ni la densité romanesque, ni la savante oscillation entre les genres de son modèle ["Memories of lmurder"].
aVoir-aLire.com
Entre cinéma social auteuriste et film de genre, les influences de Yue Dong sont des plus éclectiques. Mais même si le réalisateur assure à son film une atmosphère pesante, sa délicate tentative de mélange de genres pèse sur son scénario hésitant.
Le Figaro
Un plagiat de Memories of Murder, le chef-d'œuvre du Sud-Coréen Bong Joon-ho, tout juste édité en coffret collector chez La Rabbia. Préférez l'original.