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Votre avis sur L'Art du mensonge ?
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Ce film avait tout pour être palpitant...bon scénario, distribution alléchante et interprétation des acteurs à la hauteur des attentes...mais finalement je reste un peu sur ma faim en le jugeant juste "pas mal" alors qu'il aurait pu être une pépite.
La faute à un manque de rythme qui le fait trainer parfois en longueur, et de quelques moments un peu tiré par les cheveux. Je regrette également un manque de suspense avec une fin que l'on sent plus ou moins venir.
La faute à un manque de rythme qui le fait trainer parfois en longueur, et de quelques moments un peu tiré par les cheveux. Je regrette également un manque de suspense avec une fin que l'on sent plus ou moins venir.
CinÉmotion
La grande force du film reste son duo d'acteurs iconique, Helen Mirren et Ian McKellen, qui malgré leur âge, continue à sublimer leurs rôles et l'écran lui-même. Quelles prestations et quelle énergie encore une fois ! L'Art du mensonge tient ses promesses avec ces multiples intrigues montrant le niveau d'escroquerie que Roy Courtnay réussit à mettre en place. C'était bien pensé, assez bien amené à chaque fois et en étant un peu indulgent tout de même, on dira que cela reste crédible. La première moitié de film est donc convainquant, c'est dans sa dernière moitié que cela s'affaiblit un peu, notamment à partir du moment où l'on bascule sur la partie allemande et enfin la révélation finale. Le problème réside en fait déjà dans le synopsis dé départ qui, avec l'utilisation du conditionnel et de mots hypothétique
spoiler:
("la veuve, VISIBLEMENT séduite, SEMBLE facile à duper. MAIS cette fois (...) jeu du chat et de la souris (...) ")
nous alerte clairement sur le fait que spoiler: Betty McLeish va duper à son tour le grand Roy Courtnay
. Donc autant dire que l'effet de surprise final est déjà bien désamorcé et un peu tué dans l'oeuf. Reste donc le poids et la teneur de la révélation pour sauver la mise. L'explication principale tient la route et fonctionne, mais cela ne s'arrête pas là, et les révélations du mensonge s'élargissent, deviennent de plus en plus gros et c'est là que ça devient peu crédible. Je n'ai par exemple pas adhéré à l'idée que spoiler: Betty alias Lili ait pu contrôler et organiser la rencontre en elle-même depuis le tout début, via un site de rencontre qui plus est
, ça me semble bien trop gros et peu réaliste mais j'ai par contre adhéré à l'explication spoiler: de vengeance suite aux abus sexuel et le background derrière ce duo de personnage.
Clairement Helen Mirren et Ian McKellen portent le film et le hisse à la hauteur de leur talent, car autrement, le scénario en lui-même présente des fragilités, et la mise en scène reste globalement classique mais efficace, certes.
nous alerte clairement sur le fait que spoiler: Betty McLeish va duper à son tour le grand Roy Courtnay
. Donc autant dire que l'effet de surprise final est déjà bien désamorcé et un peu tué dans l'oeuf. Reste donc le poids et la teneur de la révélation pour sauver la mise. L'explication principale tient la route et fonctionne, mais cela ne s'arrête pas là, et les révélations du mensonge s'élargissent, deviennent de plus en plus gros et c'est là que ça devient peu crédible. Je n'ai par exemple pas adhéré à l'idée que spoiler: Betty alias Lili ait pu contrôler et organiser la rencontre en elle-même depuis le tout début, via un site de rencontre qui plus est
, ça me semble bien trop gros et peu réaliste mais j'ai par contre adhéré à l'explication spoiler: de vengeance suite aux abus sexuel et le background derrière ce duo de personnage.
Clairement Helen Mirren et Ian McKellen portent le film et le hisse à la hauteur de leur talent, car autrement, le scénario en lui-même présente des fragilités, et la mise en scène reste globalement classique mais efficace, certes.
Bon dans l'ensemble que ce soit pour son scénario sur fond drame historique et bien entendu dans son interprétation. Il est toutefois dommage que le film ne comporte pas plus de ressorts scénaristique, de retournement de situation ou simplement de jeux de dupes. Car on se doute assez tôt que quelque chose se trame et que tous n'es pas clair. Toutefois le dénouement finale reste intéressant et le rythme du film assez soutenu pour s'y intéresser.
Ce film est une petite merveille aux accents hitchcockiens, un jeu de chat et de la souris entre les deux acteurs Helen Mirren et Ian Mackellen, tous deux remarquables ça vaut le détour!
Excellent thriller au suspense rondement mené. Le scénario de grande qualité est bien écrit et parfaitement ficelé jusqu'à la dernière seconde. Helen Mirren est superbe et éblouissante dans ce rôle, Ian MacKellen est parfait et subtil dans son jeu et quel plaisir de retrouver Russel Tovey, lui aussi impeccable. A voir et revoir sans modérations.
Excellent ! magistralement interpréré, un film incontournable, une excellente montée de l'interet tout au long du film, je conseille sans en dire plus car à decouvrir !
Attention, cet avis contient ce genre de
spoiler:
on a localisé l'enfer sur terre: Fetcham, UK (https://www.google.fr/maps/place/Fetcham,+Royaume-Uni/@51.3270066,-0.2919599,550m/data=!3m1!1e3!4m5!3m4!1s0x4875e081f5d871c1:0xe548172ba6c67983!8m2!3d51.288834!4d-0.356219)
Adapté d'un livre que je n'ai pas lu, la bande-annonce semblait promettre un élégant jeu du chat et de la souris mené par 2 admirables têtes d'affiche. En fait, thriller du 3ème âge, le rythme est poussif, le scénario prévisible si on a vu un thriller entre les années 90 et 2010, les dialogues plutôt banals et le jeu ne commence qu'au bout d'1h30. Voilà qui laisserait 20 minutes de qualité si la moralité du film n'était pas aussi douteuse. Explications:
spoiler: Helen Mirren a beau occuper la 1ère position dans l'affiche, elle campe pendant 1h30 la caricature terne d'une vieille dame très secondaire. Le seul intérêt du film sur cette durée (l'essentiel du film) réside donc dans le double jeu de Ian McKellen. D'ailleurs plus le film avance plus son personnage se révèle une ordure accomplie. Il est un homme sans affect, seul, moralement mauvais, méchant et en fait, absolument négatif (il s'habille en noir, fréquente les clubs de striptease, escroque, dénonce, viole, tue et ne connait aucune mais alors aucune pitié). Pour lui, les gens sont des objets à utiliser. De son côté, le personnage d'Helen Mirren s'avère une victime résiliente vêtue de couleurs vives, LGBTIQ+ friendly, ouverte à la mixité culturelle et ethnique, portée solidairement par la bienveillance et l'amour de grande famille. Pourtant, ce personnage entièrement positif a prémédité un châtiment des plus odieux. Et le film ne remet absolument pas en cause le bien fondé de cette horrible vengeance. La victime a sans discussion raison de se comporter comme le bourreau, voire pire (la violence de Roy n'est qu'instinctive et non préméditée). Bref, le film voudrait régler son compte à une certaine masculinité toxique et emploie pour se faire...la même violence toxique.
C'est pas dit que le progressisme en sorte grandi.
Adapté d'un livre que je n'ai pas lu, la bande-annonce semblait promettre un élégant jeu du chat et de la souris mené par 2 admirables têtes d'affiche. En fait, thriller du 3ème âge, le rythme est poussif, le scénario prévisible si on a vu un thriller entre les années 90 et 2010, les dialogues plutôt banals et le jeu ne commence qu'au bout d'1h30. Voilà qui laisserait 20 minutes de qualité si la moralité du film n'était pas aussi douteuse. Explications:
spoiler: Helen Mirren a beau occuper la 1ère position dans l'affiche, elle campe pendant 1h30 la caricature terne d'une vieille dame très secondaire. Le seul intérêt du film sur cette durée (l'essentiel du film) réside donc dans le double jeu de Ian McKellen. D'ailleurs plus le film avance plus son personnage se révèle une ordure accomplie. Il est un homme sans affect, seul, moralement mauvais, méchant et en fait, absolument négatif (il s'habille en noir, fréquente les clubs de striptease, escroque, dénonce, viole, tue et ne connait aucune mais alors aucune pitié). Pour lui, les gens sont des objets à utiliser. De son côté, le personnage d'Helen Mirren s'avère une victime résiliente vêtue de couleurs vives, LGBTIQ+ friendly, ouverte à la mixité culturelle et ethnique, portée solidairement par la bienveillance et l'amour de grande famille. Pourtant, ce personnage entièrement positif a prémédité un châtiment des plus odieux. Et le film ne remet absolument pas en cause le bien fondé de cette horrible vengeance. La victime a sans discussion raison de se comporter comme le bourreau, voire pire (la violence de Roy n'est qu'instinctive et non préméditée). Bref, le film voudrait régler son compte à une certaine masculinité toxique et emploie pour se faire...la même violence toxique.
C'est pas dit que le progressisme en sorte grandi.
on passe un bon moment le duo d"acteur est formidable et l'histoire est captivante même si la fin est prévisible
-L'art du mensonge est un film réalisé par Bill Condon sorti le 1 janvier 2020 au cinéma. Les acteurs principaux sont Helen Mirren (Betty McLeish), Ian McKellen (Roy Courtnay) ainsi que Russell Tovey (Stephen).
-Escroc professionnel, Roy Courtney a déjà en vu sa prochaine cible, Betty, récemment devenu veuve ou dans la fortune s'élève à des millions de dollars. Dès la première rencontre entre Roy et Betty, l'arnaqueur commence par faire son numéro bien rodé de manipulateur. Visiblement séduite, elle semble facile à duper mais cette fois ce qui avait l'air d'une simple arnaque prend l'allure d'un jeu du chat et de la souris...
-Le scénario n'a rien d'extraordinaire mais il est très intéressant et intriguant, il est loin d'être long et plat. On est tellement pris par l'histoire qu'on ne voit pas forcément le temps passer, pourtant c'est assez calme. Les acteurs sont sympa, en tout cas dans leurs rôles ils sont tout à fait à la hauteur. La fin reste assez surprenante, c'est en aucun cas prévisible, c'est bien pensé. Il mérite d'être vu.
-Escroc professionnel, Roy Courtney a déjà en vu sa prochaine cible, Betty, récemment devenu veuve ou dans la fortune s'élève à des millions de dollars. Dès la première rencontre entre Roy et Betty, l'arnaqueur commence par faire son numéro bien rodé de manipulateur. Visiblement séduite, elle semble facile à duper mais cette fois ce qui avait l'air d'une simple arnaque prend l'allure d'un jeu du chat et de la souris...
-Le scénario n'a rien d'extraordinaire mais il est très intéressant et intriguant, il est loin d'être long et plat. On est tellement pris par l'histoire qu'on ne voit pas forcément le temps passer, pourtant c'est assez calme. Les acteurs sont sympa, en tout cas dans leurs rôles ils sont tout à fait à la hauteur. La fin reste assez surprenante, c'est en aucun cas prévisible, c'est bien pensé. Il mérite d'être vu.
Très franchement j'aurais adoré aimer ce film et pourtant il ne décolle jamais vraiment. Certainement pas la faute au casting impeccable. Il est vrai que cela manque cruellement d'action et qu'on est quelque peu préparé au twist final. C'est un poil longuet et lent, même si globalement bien écrit.
Histoire un brin attendue, n'en reste que les acteurs sont bons et que le dénouement est toujours réjouissant.
elriad
un duo d'acteurs exceptionnel pour un scénario, hélas, laborieux et invraisemblable. Trop d'accumulations de rebondissements nuit à la crédibilité. Reste deux options : sortir de la salle ou se laisser porter par le simple divertissement et le suspense dont on devine pourtant les grandes lignes assez vite.
Un film plutôt maladroit qui reste sans grand intérêt.
Un film plutôt maladroit qui reste sans grand intérêt.
DEBOUT LES VIEUX. Ca commence à Londres par un thé, triste tasse pour les âmes pour finir à Berlin comme une saucisse allemande. Quand pépère rencontre mémère pour une liaison sans viagra. Gandalf non.
Premièrement dans L'Art du mensonge Helen Mirren et Ian McKellan sont super comme toujours. Le potentiel est là avec une bonne idée. Un escroc britannique (McKellan) tente d'escroquer une riche veuve londonienne de sa fortune. Nous savons que c'est un escroc. Nous savons également qu'il est dangereux nous l'avons vu tuer. Nous aimons la veuve (Mirren) et nous voulons l'aider à éviter son stratagème. De plus et pour accroître notre intérêt nous sommes assez sûrs que la veuve n'est peut-être pas aussi vulnérable qu'elle le semble au premier abord. C'est ce que nous tirons de la remorque. Maintenant si le scénariste ou le réalisateur s'était arrêté ici et n'avait pas chargé le point d'intrigue inutile au-dessus du point d'intrigue, la révélation en plus de la révélation nous aurions passé un bon moment. Mais les empiler c'était à couper le souffle. Si loin de nulle part pensez aux nazis que même après que le film ait tenté d'expliquer ces complexités ceux-ci semblent sortir de nulle part..
Grosse déception pour ce film au duo intéressant et en même temps je ne m'attendais pas à grand chose non plus. Tout est cousu de fil blanc d'entrée car l'intrigue est pas terrible. On s'ennuie par moment et le scénario fini par vite tourner en rond. D'ailleurs, je n'ai pas compris pourquoi lorsque l'on nous montre le passé des protagonistes, ils ont pris les acteurs jeunes qui ressemble le moins au monde au personnage principal, incompréhensible. Et puis, c'est un peu tiré par les cheveux dans l'ensemble. Après, ce côté rétro est assez réussi malgré qu'il soit assez court au final. Les acteurs ne sont pas spécialement mauvais dans l'ensemble, il ne faut pas le nier surtout vu leurs âges avancés. Les clichés sont récurrents mais bon, on est pas non plus dans du grand cinéma. A vrai dire, j'avais exprès de ne pas du tout regarder de bande annonce ni de voir ce dont ça parle et j'aurai peut-être du. On me la conseillé et je vais faire le contraire en ne le conseillant pas. Enfin bref, "L'art du mensonge" ne rentrera pas dans les annales. 7/20.
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