J'ai bien aime parce-que c'est le premier dessin animé que je connais sur des méchants pour changer avec des trahison des révélations au fil de l'aventure les personnages vont apprendre à se découvrir et vont devoir arrêter un ennemi commun et sauver la ville
Le film "The Bad Guys" a réussi à surprendre les spectateurs en mettant en avant des personnages de méchants comme protagonistes principaux. Le scénario est bien écrit, avec des retournements de situation inattendus et des moments de comédie bien placés qui ont maintenu le public sur le bord de leur siège. Malgré une morale peu caché et un peu trop direct sur le jugement et la seconde chance, le film est plutôt bon pour un moment sans prise de tête.
Cela faisant longtemps que Dreamworks Animation ne nous avait pas proposé un film qui ne soit pas une suite ou un spin-off. Et le studio revient avec l’adaptation d’une série de roman à succès pour enfants mettant en scène des méchants. Enfin pas tant que ça (on reste dans une œuvre animée familiale) car ce sont plutôt des anti-héros comme c’est à la mode en ce moment, notamment via les adaptations de comics de chez DC ou Marvel (du génialissime « The Suicide Squad » au complètement foireux « Morbius »). On nous présente donc une bande de gangsters composée de quatre animaux spécialisés dans les vols et les braquages qui vont devoir faire semblant d’être gentils pour pouvoir échapper à la prison. Sur le papier, l’intrigue de « Les Bad Guys » n’est pas à proprement parler le point fort du long-métrage. L’intrigue est tout de même assez paresseuse et prévisible. Du retournement de situation concernant le méchant qu’on a déjà vu dix fois dans le genre en passant par l’évolution de notre quintet animalier, tout est couru d’avance. Le final un peu trop hystérique n’est pas non plus la plus grande réussite du film. Enfin, il est illogique, et c’est même un choix étrange, que celui de mélanger les humains et les animaux anthropomorphisés alors que d’autres animaux (par exemple le chaton ou les cochons d’Inde) ne le sont pas.
Mais « The Bad Guys » peut capitaliser sur plusieurs atouts qui en font une production familiale tout à fait agréable. D’abord, si on se retire de la tête la référence opportuniste et mercantile à Tarantino, on peut s’amuser de quelques dialogues et surtout de pas mal de gags portés sur le visuel et la morphologie de nos cinq animaux et de quelques autres. Mais c’est surtout l’animation qui est du plus bel effet. Entre celle de « Spider-Man, new generation » pour les séquences d’action et celle des meilleurs Blue Sky pour le reste, elle est originale et du plus bel effet. La morale sur l’amitié et le fait d’aider son prochain est plutôt bienvenue pour le public enfantin et tout aussi soluble pour les adultes, qui reprocheront peut-être un petit manque de second degré et de références que « Les Bad Guys » auraient facilement pu glisser. Pas la Rolls Royce du film d’animation actuel certes mais un petit moment d’animation plutôt sympathique et des personnages aussi attachants que la bande d’insectes de cirque de l’inoubliable « 1001 pattes ».
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Cruelle panne d'inspiration pour les studios Dreamworks avec ce "Bad Guys" Ô combien convenu.
Rien à redire sur la forme. L'animation et belle et soignée et la musique de choix. En revanche, le scénario accuse un excès de fainéantise et frôle le degré zéro de l'originalité avec des gags, des références, des personnages et des situation usés jusqu'à la moelle. Pas de rire, à peine esquissons nous quelques sourires ici et là. Et sans une once de surprise, on finit par se lasser petit à petit.
Rien de bien extraordinaire mais ce film d'animation trouvera peut-être son public chez les jeunes enfants sûrement moins regardants quant à l'originalité.
Nouvelle sortie des studios Dreamworks, Les Bad Guys s'appuie sur un scénario très classique, on y trouvera de nombreuses références à d'autres animés à succès. On s'amuse pas mal, les personnages sont funs et le comique de situation fonctionne à plein tube. L'ensemble pourrait être extrêmement commun et peu novateur, mais le point fort du métrage annihile toute considération négative, et je veux parler de l'animation. En effet cette dernière est d'une incroyable fluidité et est particulièrement jolie, c'est véritablement une petite tuerie graphique. C'est finalement assez dommage que l'intrigue et les rebondissements n'aient pas été plus creusés parce que visuellement le contrat est largement rempli. Vraiment sympa.
Un Dreamworks méchamment cool et amusant, bourré de références cinématographiques et de personnages gouailleurs et attachants, même si ça s’essouffle un peu dans la seconde partie.
S'ouvrant à la manière d'un Pulp fiction, se nouveau film d'animation des studios Dreamworks est bourré de références cinématographiques la trilogie Ocean's en-tête suivie des Tarantino, toutefois le film de Pierre Perifel bien qu'impeccablement réalisé en terme d'animation pèche un peu sur son scénario très convenue et déjà vu ailleurs. Les méchants qui en réalité sont bons et vice-versa était déjà le thème principal de Moi moche et méchant et pour rester dans le thème animalier de Zootopie ou les carnassiers passait pour des monstres alors que ceux-ci étaient manipulés par un mouton, rien donc de bien novateur. De plus ici certaines situations sont bizarres dans la mesure où les animaux côtoient les humains naturellement, on a donc des policiers qui galère à attraper une araignée et un piranha, et ces mêmes policiers sont dirigés par une renarde bref plutôt ambigües. Toutefois les plus petits devaient apprécier, ainsi que les plus grands mais cela reste trop sage pour ce démarqué réellement de nombre films d'animation déjà passé par là.
Bien pour les enfants et moralisateur à souhait, j'avoue en tant qu'adulte avoir été un peu déçue. Les gags sont attendus et le fil de l'histoire aussi. Les jeunes y trouveront leur compte.
Un côté polar très eighties, un rythme digne des plus grands films d’actions, une animation classique sans surprise, des dialogues bien menés et surtout plutôt bien doublés, un film d’animation efficace dans son scénario et ses nombreux twists. En plus à la baguette un réalisateur français.
Une galerie de personnages sympathiques et amusants, une histoire et une morale classiques entre les bons et les méchants, quelques notes d'humour, ma fille et moi même avons passé un agréable moment. Rien de révolutionnaire dans le genre mais un divertissement non dénué d'intérêt. La voix de P Niney colle parfaitement au loup. A voir en famille ou pas (beaucoup d'adultes sans enfant dans la salle)
Film d'animation réalisé par Pierre Perifel, Les Bad Guys est un long-métrage un peu décevant. L'histoire nous fait suivre un gang d'animaux anthropomorphes qui sèment la terreur dans le monde des humains dans lequel ils évoluent. Seulement, un jour les voleurs sont sur le point d'être arrêtés et condamnés, ils vont alors faire mine de s'amender en promettant de passer pour des citoyens modèles. Ce scénario débute de façon prometteur, mais fini malheureusement par lasser sur sa durée qui atteint une heure et demie. En effet, l'intrigue se répète au fil des minutes et les péripéties qui s'enchainent à un rythme effréné tournent rapidement en rond. C'est dommageable car le propos est intéressant et la morale agréable, mais le récit préfère imposer de l'action convenue au détriment d'un peu plus de réflexion. Pourtant les personnages sont sympathiques, que ce soit les cinq principaux, à savoir Messieurs Loup, Serpent, Requin, Piranha et Tarentule, ou tous ceux qui gravitent autour d'eux. Mais l'émotion ne passe pas à travers leurs rapports. Le ton tout public n'est ni vraiment drôle, ni dramatique. C'est d'autant plus regrettable que la forme est qualitative. La réalisation de Pierre Perifel est travaillée et ambitieuse. Sa mise en scène est à la hauteur, tout comme la direction artistique singulière réjouissante, aussi bien au niveau de l'aspect des personnages que des environnements. Un visuel accompagné par une b.o. dans le ton de l'action, bien que ses compositions soient peu marquantes et manquent d'identité. Un peu à l'image de cette aventure qui s'achève sur une fin pour le moins attendue. Car en dépit de son esthétique particulière, Les Bad Guys possède une histoire sans originalité, ce qui en fait un long-métrage dispensable malgré de belles qualités.