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Votre avis sur Black Panther: Wakanda Forever ?
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FaRem
"Black Panther" revenait en 2022, mais sans le Black Panther suite au tragique décès de Chadwick Boseman deux ans auparavant. Une disparition intégrée à l'histoire et de manière digne sans que cela vienne éclipser le reste. The show must go on comme on dit... Cela permet également d'évoquer les difficultés et les responsabilités d'une succession notamment quand cela arrive de façon brutale avec Ramona qui doit garder son peuple uni et le protéger tout en évitant de nouveaux conflits. Une tâche difficile entre les occidentaux en quête d'un matériau rare et d'un nouveau peuple qui cherche lui aussi à se protéger du reste du monde. Dans "Wakanda Forever", la notion de gentils et de méchants n'est pas aussi basique qu'à l'accoutumée. Ce n'est pas tout noir ou tout blanc et j'ai trouvé le scénario assez mature en ce sens. D'ailleurs, ça fait longtemps que je n'avais pas été "pour" celui qui est décrit comme le méchant. Ce n'est pas une question d'être "contre" le Wakanda, mais de ne pas être "contre" un peuple qui lui aussi se défend et cherche à protéger sa souveraineté. Je craignais un peu la durée, mais le film se regarde facilement. L'histoire est solide à tous les niveaux que ce soit les enjeux que l'on peut qualifier de politiques, le développement des personnages et surtout l'évolution de leur statut, et la conclusion même si tout cela fait penser à un simple film de transition. J'ai plus été convaincu par l'histoire que par les quelques scènes d'action qui sont bien, mais jamais mémorables ou à couper le souffle. Mon intérêt pour ce film doit beaucoup à Tenoch Huerta que j'ai trouvé excellent dans la peau de Namor, qui est probablement le personnage marquant de cette phase 4 qui s'achève donc avec ce film. J'ai vraiment envie d'en voir plus sur lui. Au final, et contrairement à la majorité, j'ai préféré cette suite au premier qui pour le coup faisait trop "premier" film avec les qualités et défauts qui vont avec.
selenie
Très vite on sent que l'équipe du film, le réalisateur comme son scénariste d'ailleurs ont dû bucher dur pour pouvoir faire une suite valable, et on sent que cela n'a pas été facile et force est de constater que le résultat est plutôt laborieux. L'intrigue met du temps à se mettre en place mais surtout on passe un temps fou avec les proches de T'Challa, mère, soeur, guerrières... etc... qui s'épanchant, pleurent et pleurnichent... etc... Le film s'avère donc très bavard, des sempiternelles discussions sur le deuil, sur le héros disparus et le manque qu'il laisse... etc... blablabla... Deux heures donc longues en palabres endeuillées qui dure donc des mois et des mois et donc deux heures d'attente avant de voir arriver la très attendue renaissance de Black Panther (actrice qui manque clairement d'une crédibilité "athlétique"), et l'arrivée de Ironheart. C'est le vrai et gros soucis de cette suite qui n'arrive jamais à couper le cordon avec T'Challa/Black Panther/Boseman et ce, jusqu'à la dernière minute. Heureusement tout n'est pas mauvais, les effets spéciaux restent excellents, on apprécie un humour savamment distillé, souvent drôle mais juste semé avec parcimonie, et surtout le méchant Namor s'avère plutôt intéressant même si l'acteur manque un chouïa de charisme mais avec un royaume et un peuple fascinant. Dommage... Note indulgente !
Site : Selenie
Site : Selenie
Roub E.
En plus de la baisse d intérêt général pour les films de super héros, le studio persuadé que le simple nom Marvel suffisait à remplir les caisses à pris la sale habitude de livrer des films bâclés qui ajoutaient au manque d idées nouvelles une laideur sans nom. Ce n est pas le cas de Wakanda Forever. On sent plus de soin et de travail dans le décorum et permet au film de sortir un peu du moule des dernières Marvelleries. Notons aussi un effort sur l écriture avec des personnages qui ont un véritable arc narratif (c est normal mais on avait perdu l habitude). C est d autant plus notable pour plusieurs personnages féminins qui ne jouent plus les faire valoir mais qui prennent les choses en main. Dommage cependant que le méchant soit aussi quelconque, que le film soit trop long pour son propre bien, que les inévitables « bagarres » n arrivent plus à susciter l intérêt ou créer de la tension, dommage aussi que les scènes marines aient déjà été ringardisées par Avatar 2. Mais malgré ces défauts Wakanda Forever a le mérite de sortir Marvel de la médiocrité dans laquelle il s enfonce depuis de nombreux films.
Yetcha
Une bonne suite de cet univers africain super classe avec une domination féminine qui fait du bien à voir. L'introduction d'une nouvelle espèce apporte un vrai plus et les costumes sont splendides. On ne voit pas le temps passer et on prend un vrai plaisir, ce qui est loin d'être le cas dans d'autres productions Marvel.
Un très bon film Marvel . Un très bon deuxième volet. Un magnifique hommage à Chadwick Boseman . Tenoch Huerta Mejia incarne avec brio l'antagoniste Namor.
Déjà pas particulièrement fan du premier volet, je suis resté complètement à côté de celui-ci, terriblement long, sans enjeux majeurs, sans originalité, sans émotion. Quelques effets pyrotechniques et c'est tout.
Suite sans grand intérêt à cause d'un scénario peu inventif, peu crédible et sans réels enjeux. Avec une durée bien longue pour ce qu'il a à proposer.
Sûr que les amateurs d'action et d'effets spéciaux seront repus. Pour les autres dont je fais partie, il faudra endurer une accumulation de clichés et des scènes à rallonges qui flirtent avec le ridicule.
A ce niveau, on n'est plus dans le divertissement mais dans le fout*ge de gu**le.
Sûr que les amateurs d'action et d'effets spéciaux seront repus. Pour les autres dont je fais partie, il faudra endurer une accumulation de clichés et des scènes à rallonges qui flirtent avec le ridicule.
A ce niveau, on n'est plus dans le divertissement mais dans le fout*ge de gu**le.
Benito G
Au-delà de l’interprétation quasi parfaite de Tenoch Huerta en tant que Namor, d’autres acteurs brillent de mille feux. Effectivement, Angela Bassett (interprète de la Reine Ramonda, mère de T’Challa) procure une prestance qu’on ne soupçonnait pas à son rôle de reine mère. Quant à Letitia Wright (Shuri), elle est au cœur du film. Comme vous vous en doutez, c’est elle qui devient la nouvelle Black Panther. Bien que convaincante dans son rôle de Shuri, lorsqu’elle enfile le manteau de l’héroïne nous sommes moins transportés. Il manque quelque chose. Sur bien des aspects elle fait pâle figure comparée à ses homologues Black Panther : Killmonger et T’Challa. L’ajout d’autres accessoires à sa tenue aurait pu lui apporter une prestance supplémentaire.
Malgré cela, l’affrontement final a tenu toutes ses promesses. Il y a un monde en termes d’intensité entre Black Panther Wakanda Forever d’un côté et Black Adam sorti un mois plus tôt. Avec BPII on sent les coups et la tension est palpable ! Namor et Shuri sont prêts à s’entretuer et à aller jusqu’au bout ! Et ça fait plaisir de voir un Marvel comme ça !
Et puis nous pouvons applaudir Marvel parce qu’ils ont pris une décision très intelligente : ils ne tuent pas leur antagoniste cette fois-ci! Namor is alive ! Et il risque de teaser un avenir sanglant pour le monde entier! En effet, Shuri et Namor ont tissé une alliance forte. Si à tout moment l’un de leurs pays est attaqué, cela entraînera, pour sûr, une guerre mondiale ! À suivre ! En tout cas, on ne peut que penser à Michael B. Jordan qui aurait bien pu profiter de plusieurs autres films mettant en avant son personnage de Killmonger… Bien qu’il fasse une apparition dans une scène de BPII. Mais cela est loin d’être suffisant. Enfin bon, rien n’est impossible avec l’existence du multivers…
En bref, Black Panther Wakanda Forever a réussi à s’émanciper de son Black Panther originel interprété par Chadwick Boseman. Bien que son ombre plane tout au long du long-métrage, principalement au travers de ses proches qui ont du mal à faire le deuil. Le parallèle avec notre monde est d’ailleurs saisissant. Les acteurs ne jouent pas, ils vivent chacune des scènes. Nous rappelant de plus que nous ne pouvons qu’être attristés par son départ… En tout cas de là où il est, Chadwick peut être rassuré, car son héritage est entre de très bonnes mains!
Malgré cela, l’affrontement final a tenu toutes ses promesses. Il y a un monde en termes d’intensité entre Black Panther Wakanda Forever d’un côté et Black Adam sorti un mois plus tôt. Avec BPII on sent les coups et la tension est palpable ! Namor et Shuri sont prêts à s’entretuer et à aller jusqu’au bout ! Et ça fait plaisir de voir un Marvel comme ça !
Et puis nous pouvons applaudir Marvel parce qu’ils ont pris une décision très intelligente : ils ne tuent pas leur antagoniste cette fois-ci! Namor is alive ! Et il risque de teaser un avenir sanglant pour le monde entier! En effet, Shuri et Namor ont tissé une alliance forte. Si à tout moment l’un de leurs pays est attaqué, cela entraînera, pour sûr, une guerre mondiale ! À suivre ! En tout cas, on ne peut que penser à Michael B. Jordan qui aurait bien pu profiter de plusieurs autres films mettant en avant son personnage de Killmonger… Bien qu’il fasse une apparition dans une scène de BPII. Mais cela est loin d’être suffisant. Enfin bon, rien n’est impossible avec l’existence du multivers…
En bref, Black Panther Wakanda Forever a réussi à s’émanciper de son Black Panther originel interprété par Chadwick Boseman. Bien que son ombre plane tout au long du long-métrage, principalement au travers de ses proches qui ont du mal à faire le deuil. Le parallèle avec notre monde est d’ailleurs saisissant. Les acteurs ne jouent pas, ils vivent chacune des scènes. Nous rappelant de plus que nous ne pouvons qu’être attristés par son départ… En tout cas de là où il est, Chadwick peut être rassuré, car son héritage est entre de très bonnes mains!
Moins bien que le premier film Black Panther 4 ans auparavant pour différentes raisons, de la démesure dans le film par une longueur qui se justifie moyennement. Il y a de la diversité dans ce film mais trop,
spoiler:
avec ce nouveau peuple issu des Mayas, des civilisations idylliques mais trop de folklore on n'y crois pas
; il y a du féminisme mais un peu trop beaucoup des personnages principaux féminins, les personnages masculins étant un peu plus effacés que les féminins dans ce film. Ce film est à contretemps sur trop d'aspects, il n'a pas la belle allure qu'il voudrait se donner et les acteurs n'y sont pas pour grand chose.
; il y a du féminisme mais un peu trop beaucoup des personnages principaux féminins, les personnages masculins étant un peu plus effacés que les féminins dans ce film. Ce film est à contretemps sur trop d'aspects, il n'a pas la belle allure qu'il voudrait se donner et les acteurs n'y sont pas pour grand chose.
Objectivons
Si je reprochais au précédent Panthère noire "trop de clichés sur les traditions africaines", non seulement je trouve qu'on pourrait ressortir la même remarque à cette suite, mais l'aggraver avec les aztèques. Également, j'ai trouvé que le scénario était parfois poussif et tombait dans la facilité.
Enfin, comme un ami me le faisait remarquer pendant le visionnage, "pourquoi les wakandais et les aztèques n'ont rien fait pour lutter contre l'esclavage (en Afrique, pour les wakandais) et le massacre de leur peuple (pour les aztèques)" ?
...
Enfin, comme un ami me le faisait remarquer pendant le visionnage, "pourquoi les wakandais et les aztèques n'ont rien fait pour lutter contre l'esclavage (en Afrique, pour les wakandais) et le massacre de leur peuple (pour les aztèques)" ?
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Shawn777
Une nouvelle fois réalisée par Ryan Coogler, cette suite de "Black Panther", qui passe en même temps le cap du trentième film du Marvel Cinematic Universe, tout en étant le septième de la phase quatre, n'est vraiment pas terrible. Ce n'est pas vraiment une surprise, je ne vais pas ressortir le même couplet sur chacune de mes critiques des films du MCU mais, si Marvel était très bon dans ses débuts (j'avoue, sans aucune honte, avoir été fan et j'apprécie d'ailleurs encore beaucoup les films des trois premières phases) mais là, on commence sérieusement à tourner en rond. Surtout dans une suite d'un "Black Panther" qui était déjà plutôt fragile car il n'avait pas grand-chose à proposer. Ce que je veux dire, c'est que Marvel avait réussi un coup de maitre avec la Saga de l'Infini, tous les films étaient connectés tels une série télé sur grand écran, tout en étant individuellement compréhensibles. Mais avec cette Saga du Multivers, Marvel pousse les choses à fond avec ses séries sur Disney+ etc. où tout est absolument connectés et puis surtout, on a l'impression de repartir de zéro en revoyant plus ou moins la même chose qu'au début du MCU mais en moins inspiré. Ce qui est donc forcément très lassant et ce film n'échappe malheureusement pas à la règle ! Effectivement, nous avons tout d'abord ici un film très long (près de trois heures), trop long par rapport à ce qu'il propose. Après la mort de T'Challah, c'est cette fois sa sœur qui tente de sauver le Wakanda d'une attaque de Namor, qui dirige le royaume sous-marin de Talocan. Effectivement, ces derniers reprochent au Wakanda d'avoir répandu au monde l’existence du Vibranium, que l'on trouve dans les fonds marins, rompant alors avec la quiétude du peuple de Tolcan puisque tout le monde veut s'en emparer. Bref, ça a l'air un peu compliqué, surtout parce-que je résume mal, mais ça ne l'est en réalité pas tellement. En gros, nous sommes une nouvelle fois dans un énième combat entre méchants et gentils mais comme Marvel essaye d'être un peu moins manichéen (ce qui n'a d'ailleurs jamais été aussi bien exploité que dans "Les Éternels", seul film un peu plus réfléchi et original de cette quatrième phase), Namor n'est finalement pas un méchant si méchant que ça mas ça ne prend jamais vraiment car le scénario est très lourdaud. D'ailleurs, le scénario est également assez lourd dans certains de ses dialogues se voulant progressistes mais notons que la majorité de l'action du film se déroule aux États-Unis et que les personnages ne parlent que très rarement dans leur langue maternelle (même lorsqu'ils sont entre eux, au Wakanda), ce qui est donc un peu paradoxal. Comme je l'ai mentionné plus haut, le film est également assez long car nous n'avons pas grand-chose à nous mettre sous la dent ! Si Marvel excellait dans le divertissement pur, ici, nous n'avons que trop peu de scènes d'action (nous retiendrons malgré tout la très bonne course poursuite au début du film) et beaucoup trop de dialogues étirés et insignifiants. La mise en scène n’arrangeant rien puisqu'elle est assez plate. Néanmoins, j'avoue qu'après la mort soudaine de Chadwick Boseman, j'avais peur que le film soit très larmoyant et très lourd à ce niveau-là. Mais nous avons, pour le coup, quelque-chose d'assez subtil et léger (ce qui n'empêche pas d'être marquant) avec quelques clins d’œil et hommages par-ci, par-là. "Black Panther : Wakanda Forever" n'est donc pas indigeste mais c'est un film que l'on regarde très passivement et que l'on oubliera certainement très vite !
Film anecdotique de 2h40, la suite de Black Panther est d'un ennui total. C'est mou, désincarné, sans consistance et surtout beaucoup trop long. Les scènes de combats sont illisibles, et ne dégagent aucun souffle épique. Pire que le premier volet, fallait le faire...
https://www.lavisqteam.fr/?p=66682
https://www.cineserie.com/news/cinema/black-panther-wakanda-forever-faut-il-rester-a-la-fin-du-generique-5497701/
https://www.cineserie.com/news/cinema/black-panther-wakanda-forever-decouvrez-namor-le-mechant-du-film-marvel-5497021/
https://www.cineserie.com/news/cinema/black-panther-wakanda-forever-qui-sont-les-midnight-angel-5498830/
https://hitek.fr/bonasavoir/black-panther-wakanda-forever-que-signifie-imperius-rex-slogan-namor-_1298
https://hitek.fr/actualite/marvel-10-pires-films-mcu-_49862
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Nicothrash
2h40 ! Voilà ce que je retiens de la suite directe du très réussi Black Panther. Une durée insensée qui transforme toutes les tentatives de Ryan Coogler en bouillie infâme. Le scénario est alambiqué au possible et part dans tous les sens, on finit par ne plus rien y comprendre, on débute un axe narratif, puis un autre et ça continue comme ça durant près de 3 heures. C'est bien dommage car côté réalisation c'est toujours au point mais je suis persuadé que dans quelques jours j'aurai tout oublier de ce Wakanda Forever, oui autant ne pas l'appeler Black Panther puisque ce n'est pas même plus le sujet du film. En effet s'il y a 20 minutes avec le costume c'est le bout du monde ! Définitivement il faut arrêter avec ces métrages de 2h30 ou 3h qui n'ont rien à raconter ou presque. Très déçu de ce Wakanda Forever, d'autant que j'attendais une suite à la hauteur de l'hommage au regretté premier Black Panther, Chadwick Boseman. Pas sûr que je regarde le 3ème épisode ...
Dik ap Prale
Des vagues déferlantes à l'articulation tautologique d'une durée 2h40, avec pour seul espoir un hommage à la hauteur, non pas du personnage qui laissera son costume à d'autres bien évidemment, mais à Chadwick Boseman toujours habité même chez Marvel; Irremplaçable depuis un traitement sublime accordé par Ryan Coogler. Cette suite très attendue, malgré les transformations apportées depuis la disparition de l'acteur, est altérée par le pullulement imposé par la firme.
Namor subit cette confusion entre attente d'un public pour un personnage disparu et des figures devenues stériles sous l'impulsion d'un Studio qui ne veut plus s'arrêter.
La durée n'arrange rien et le sentiment d'être dans une pataugeoire côté direction entre choix artistique et choix financier laisse le Wakanda telle une terre devenue malheureusement stérile.
Namor subit cette confusion entre attente d'un public pour un personnage disparu et des figures devenues stériles sous l'impulsion d'un Studio qui ne veut plus s'arrêter.
La durée n'arrange rien et le sentiment d'être dans une pataugeoire côté direction entre choix artistique et choix financier laisse le Wakanda telle une terre devenue malheureusement stérile.
Évidemment, tout le faste visuel concourre à faire de cette suite un grand spectacle. Mais le défaut majeur des Marvel, c'est d'en mettre trop et un peu partout, tout en intégrant des influences de leurs autres productions, sur un schéma calibré. En outre, certaines séquences, trop scénarisées, donnent un résultat théâtral, voire peu vraisemblable (comme celle aux nations unies). A noter également des moments plus creux et des questionnements lourdement éculés (la vie en harmonie entre les peuples, la guerre...). Moins convaincant à plusieurs égards et C. Boseman manque...
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