Avis : Black Panther: Wakanda Forever - Page 6

Ce film médiocre et la fin de la phase 4 de Marvel se passe de commentaires.
Commencer par du nul pour finir avec du médiocre, on est pas surpris.
Sans parler du public qui ne sait toujours pas se comporter face à un film Marvel.

La trentième du MCU achève une phase 4, loin d’avoir convaincu. Les promesses s’accumulent dans des pochettes surprises qu’on aura vite fait d’oublier. Cependant, ce second volet, emmené par Ryan Coogler baigne dans le deuil de Chadwick Boseman, un spectre dans une œuvre qui cherche alors à se raccrocher au programme initial. Il n’est pas étonnant d’y voir un hommage, d’une sincérité qu’on ne peut contester, mais au-delà de cette réalité blessante sur la disparition du comédien, il est également apaisant de voir une suite nourrie par l’envie de progresser, dans tous les sens du terme. Il s’agit toujours du principal reproche à une saga, qui piétine sur ses propres gags ou ses caricatures les plus grossières pour en tirer une aventure passablement stimulante. Si ce film ose montrer un peu plus d’humanité dans une première partie plutôt élégante dans sa pudeur, il continue malgré tout de traîner ses mauvaises habitudes quand il s’agit d’opposer les héros à une menace, loin d’égaler un Killmonger percutant.

Pas de T'Challa donc. Ou du moins, pas comme on le pense, afin de justifier la transition, étant donné le visage connu, qui viendra renfiler le costume de la panthère noire du Wakanda. Pourtant, le port de cette armure n’a pas à être l’enjeu du récit, qui offre avant tout de l’espace à ses personnages féminins, afin de s’épanouir et d’en démontrer la pertinence, dans un monde qui n’a pas besoin d’hommes pour reconstruire une nation et l’unifier derrière sa culture. À ce jeu-là, le film mérite autant notre attention que notre réflexion, notamment sur la question d’une figure iconique, à exhiber comme modèle à suivre. L’intrigue nous montre ainsi la vie, là où le premier volet était avare dans la représentation des peuples wakandais et de leurs coutumes, qui s’arrêtent sur des cérémonies de succession. Ici, il y a alors toutes les raisons d’y revenir, mais le constat blesse quand on sort des sentiers endeuillés. Dommage que l’on ne cesse de régresser, jusqu’à nous resservir une origin story à rallonge pour une Shuri (Letitia Wright) à l’aise pour porter les griffes, mais pas assez pour encaisser l’héritage qu’on lui impose.

De ce fait, l’intrigue souffre d’une grande confusion, entre deux sous-intrigues, où le passé et l’avenir de font pas bon ménage. Les maladresses inhérentes au cahier des charges, cadenassé par les studios aux grandes oreilles, qui rejette le colonialisme, alors qu’il se jette dedans avec une hypocrisie déconcertante. Que l’on assiste à une représentation plus riche du pays, à échelle humaine ne devrait même pas être un exploit à ce stade, mais une norme qu’il convient de dépasser. Et de la même manière, Coogler et son co-scénariste Joe Robert Cole ne parviennent pas à trouver le compromis idéal, sachant l’immense carrefour narratif que constitue ce film dans l’entièreté de la franchise. C’est pourquoi l’irruption d’un empire subaquatique a quoi nous frustrer ou désespérer, au choix, quant à la qualité de son leader, homme-poisson volant sans écaille ou charisme. Cette dispute politique ne tourne alors qu’autour de prétextes foireux, comme dans le but de dégraisser l’intrigue, alors que cela provoque l’effet inverse. Le vibranium devient plus que jamais une marque et la cité de Tokalan, un miroir du Wakanda.

Sans plus. Ce regrettable constat s’empile avec les précédents et « Black Panther : Wakanda Forever » n’échappe pas à la sentence, malgré un son ton, indéniablement plus tragique et mélancolique. Le réalisateur s’efface de nouveau pour ne laisser que la confusion et un brin de suffisance spectaculaire en surface. Le spectateur est alors baladé entre deux parties distinctes, qu’il devra gratter pour atteindre le noyau dur d’un récit bien maigre. Les studios doivent également gérer le baby-boom de ses futurs héros en devenir, qui sature la narration et bien plus encore. L’ombre de Boseman a beau apporter plus de force, le film manque cruellement de nous émouvoir ou de nous divertir dans son milieu, et n’a rien d’autre à faire que de scinder son épilogue, témoignant toute la superficialité d’une production qui n’a pas autant d’âme ou de personnalité que sa dernière idole, qui avait au moins la décence d’unifier le public derrière lui.

Des vagues déferlantes à l'articulation tautologique d'une durée 2h40, avec pour seul espoir un hommage à la hauteur, non pas du personnage qui laissera son costume à d'autres bien évidemment, mais à Chadwick Boseman toujours habité même chez Marvel; Irremplaçable depuis un traitement sublime accordé par Ryan Coogler. Cette suite très attendue, malgré les transformations apportées depuis la disparition de l'acteur, est altérée par le pullulement imposé par la firme.
Namor subit cette confusion entre attente d'un public pour un personnage disparu et des figures devenues stériles sous l'impulsion d'un Studio qui ne veut plus s'arrêter.
La durée n'arrange rien et le sentiment d'être dans une pataugeoire côté direction entre choix artistique et choix financier laisse le Wakanda telle une terre devenue malheureusement stérile.

Le film est bon dans son ensemble mais pas au niveau du premier volet. Forcément, l'absence du vrai Black Panther est un véritable contrecoup pour le film. L'actrice principale fait ce qu'elle peut, c'est plutôt bon mais elle souffre de la comparaison malgré tout. le côté hommage à l'acteur décédé est bien amené. Côté mise en scène, elle semble assez inégal car trop de longueur dans ce film. 20 à 30 minutes de moins aurait été nécessaire. Les scènes d'action et les effets spéciaux sont bons. Le méchant du film est intéressant mais il aurait pu être un niveau au-dessus de ce qui a été fait dans le film.

Ce deuxième volet de la saga « wakandaise » réussit le tour de force de mettre en images les aventures de ce pays imaginaire sans son super-héros le Black Panther ! Effectivement, la mort prématurée de l’acteur incarnant T’Challa a remis pas mal de choses en cause mais tout le monde s’est adapté, les scénaristes en tête et l’histoire a évolué pour laisser la part belle aux femmes, que ce soit Shuri, Ramonda, Okoye ou encore Riri ! De plus, même si le personnage de Namor n’a plus rien à voir avec celui des Comics d’origine (il serait ici une sorte de Dieu Péruvien croisement hybride entre les humains et des êtres amphibies ressemblant étrangement aux personnages d’Avatar), il est relativement intéressant car bien construit contrairement aux protagonistes Everett et Riri aux backgrounds très limités ! Ainsi, malgré cela et quelques longueurs, on prendra plus de plaisir à visionner cette suite que son prédécesseur parfois trop verbeux !

Ce film est à mes yeux le second meilleur Marvel que j'ai vu et le meilleur film de l'année 2022 (désolé Maverick et Avatar).
Dès le début, tu sens que le film tient à rendre hommage à Chadewick. Ce Marvel n'est pas un ensemble de scènes d'action comme on a toujours connu, c'est avant tout un deuil pour tous les fans. Quand les personnages partagent leurs ressentis, ce sont les acteurs qui parlent, pas leurs personnages. La musique est incroyablement génial et triste, tout comme la chanson de Rihanna. Ryan Coogler a réussi haut la main à nous pondre un film bien ficelé avec une incroyable mise en scène, un scénario bien adapté à la réalité, respectant une continuité avec le 1, et de très bonnes scènes d'action.
L'introduction de Namor et d'IronHeart tiennent bien la route (hâte de voir sa prochaine série). Les origines de Namor sont bien racontées et on peut en conclure que le peuple Wakanda et le peuple Takonan sont les mêmes et partagent les mêmes valeurs.
Quant à l'héritage du Wakanda, Shuri a bien repris le flambeau et nous promet du lourd pour la suite. Les sentiments de chaque personnage sont compréhensibles et on partage la même chose.

"Wakanda Forever" est très émouvant et comme "Fast & Furious 7", il a réussi à rendre hommage à sa tête d'affiche. J'ai pleuré à de nombreux moments et comme ce qui s'est passé dans la salle de cinéma, les applaudissements sont mérités. Mais le nom de T'Challa ne sera jamais mort en vain.

Je ne le dirai jamais assez mais ... "À notre regretté ami CHADEWICK BOSEMAN".

Avec le statut de film le plus attendu de l’année, "Black Panther: Wakanda Forever" est sans surprise une super production Marvel à la hauteur des attentes. Emporté par l’émotion dès les premières minutes, le film sous le signe du deuil et à comment faire face à la perte d’un être cher s’est montré parfaitement touchant du début à la fin. Au-delà d’un hommage poignant, le long-métrage – toujours dirigé par Ryan Coogler – offre à ses spectateurs un véritable divertissement de super-héros, convenablement rythmé d’action et de surprises. Visuellement très réussi, le film explore davantage le royaume du Wakanda et introduit un nouveau monde sous-marin et ses membres dont Namor qui se révèle comme le personnage le plus prometteur de la franchise. Bien qu’il souffre de quelques imperfections, ce second opus reste bien évidemment une grande réussite dans l’ensemble et rend un bel hommage au défunt Chadwick Boseman.
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17/20
Critique sur Black Panther: Wakanda Forever (film)
Vu le 10.11.2022 en salles

Ce film est excellent, j'ai passé un très bon moment en regardant ce film du début à la fin. Ya tout dans ce film de l'émotion, de rire et de l'action que j'ai grave kiffe. Franchement je vous le conseille allez voir le film et faire votre propre opinion car c'est ce que moi j'ai fait et je ne suis pas déçu.

Une réalisation et un scénario médiocre par rapport à la hype que ce film. Disney se veut de plus en plus politique, ce qui nuit à la qualité de ses films en ce moment.. On ne sent plus de ligne rouge au travers des différents films du MCU comme on a pu avoir durant les phases 1, 2 et 3...

Quelle déception après la réussite du premier volet !
C'est lent, larmoyant et prévisible.
Remplacer les héros par des héroïnes est certes à la mode, mais il faudrait parfois que les réalisateurs et les producteurs fassent passer le plaisir du spectateur avant l'idéologie. Cette Black Panther est à peine un chaton.

Comme tous les MARVEL, c'est mauvais, tout y est faux et irréel, le scenario est écrit avec les pieds, les effets spéciaux arrachent les yeux et pour couronner le tout l’actrice principale joue mal. La prochaine fois j'irai digérer mes wings de poulets devant un autre film.

Sans âme. Long et chiant. Je ne suis pas restée jusqu'à la fin tellement c'était d'un ennui total. Il faut arrêter de tirer sur la corde...

Le film est un peu long. J'avais peur d'un hommage trop appuyé à Chad. Cela n'a pas été le cas. C'était malin et bien amené. L'humour n'était pas trop présent (par rapport aux autres Marvel), et heureusement vu le contexte du film. Le meilleur film/série de cette phase 4.

Ennuyeux. Navrant. C'était une torture ce film. Passez votre chemin. 0 action. Effets spéciaux horribles. Acteurs qui savent pas jouer.

D'une longueur horrible... quelle perte de temps et quel gâchis!
2 grosses scènes d'actions, le reste que du blabla... j'aurais dû aller voir un film politique au moins j'aurais su à quelle sauce j'allais être mangé.