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Même s’il souffre de quelques longueurs à cause d’un scénario trop dense, «Black Panther : Wakanda Forever», visuellement très réussi, offre d’époustouflantes scènes de combats entre mer et terre.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Black Panther : Wakanda Forever est une super production Marvel qui a su se sublimer grâce à ses temps calmes et une écriture plus fine qui a réussi à nous toucher.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
Black Panther : Wakanda Forever est aussi vibrant quand il parle du deuil qu’il est puissant dans ses scènes d’action, portées par des héroïnes plus en charge que jamais. (...) Comptez tout de même 2h42 pour ce nouveau voyage au Wakanda qui aurait mérité d’être plus court.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Rancœur et vengeance sont donc les deux mamelles de ce Wakanda Forever qui offre son lot de dilemmes, de bastons et d’explosions. Sans faire saigner les yeux, comme le récent Thor : Love and Thunder.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Débordant d’idées disséminées sur un ton assez grave, « Wakanda Forever » confirme le talent de son réalisateur, Ryan Coogler, très doué pour créer des univers délirants qu’il déroule à travers un récit réfléchi, dont les enjeux pourraient s’ancrer dans notre actualité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Faire de la science-fiction un grand cirque carnavalesque, ramener la géopolitique à un joyeux foutoir multicolore de cinéma d’exploitation, voilà bien peut-être le plus bel horizon de cette bordélique - mais jubilatoire - franchise.
Black Panther : Wakanda Forever reste donc pertinent et sincère dans ses sujets, mais il est très probable qu’il y avait trop de choses à raconter pour un seul long-métrage. C’est dur de combler le vide laissé par le départ d’un être aimé…
On peut reprocher à Black Panther : Wakanda Forever ce qu'on peut reprocher à n'importe quel Marvel, mais aussi saluer la façon dont le scénario a intelligemment tiré parti de la mort de Chadwick Boseman.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La réalisation de Ryan Coogler a du souffle et permet de tenir en haleine les spectateurs pendant les 2h42 du film. Mais un scénario schématique et l’absence du superhéros, auquel Chadwick Boseman apportait tout son charisme, freinent un peu l’ensemble.
Ryan Coogler signe avec Black Panther : Wakanda Forever un étrange rollercoaster hollywoodien, aussi cafardeux qu'il est ambitieux jusqu'à la déraison.
La critique complète est disponible sur le site GQ
D'une durée-fleuve et que rarement justifiée de 162 minutes, le métrage donne malgré lui un sentiment permanent de trop peu vis-à-vis de ce qu'il raconte dès qu'il s'écarte de son travail mémoriel, comme si celui-ci dévorait tout ce que le film essaierait d'être par ailleurs.
Malgré ce ventre mou digne des lendemains de soirée raclette, le film tient grâce à ses héroïnes – les femmes héritant du pouvoir par la force des choses – et leurs interprètes.
Après la disparition de son acteur principal, Chadwick Boseman, le second volet de Black Panther reste une production Marvel au cahier des charges conventionnel. Sans plus.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Toujours éblouissant visuellement, l’univers tentaculaire continue de déployer son imaginaire foisonnant, dénonçant l’impérialisme américain et revendiquant son féminisme. En dépit d’un montage parfois trop saccadé des scènes d’action.
Black Panther : Wakanda Forever est une réussite sur bien des aspects. Dans sa gestion de la thématique du deuil et dans sa copie visuelle, le nouveau film de Ryan Coogler fait presque un sans-faute. Malheureusement, il est empêché par les trop grandes ambitions de Marvel pour tous ses métrages. Le navire ne prend pas l'eau, mais il évite le naufrage de peu.
La féminisation et le deuil imposent leurs marques dans ce nouvel opus qui, après une mise en place un peu brouillonne, finit par nous embarquer, en faisant à la fois surgir le danger et, dans la foulée, un nouveau super-héros : Namor, souverain d’une cité engloutie sous les eaux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le problème est que ce renouvellement cosmétique ultra captivant cache une paresse scénaristique. Wakanda Forever ne fait que reformuler la même question que celle du premier volet, à savoir : utiliser l’extraordinaire pouvoir du vibranium pour mettre à bas les ex-puissances blanches impérialistes, colonisatrices et esclavagistes, au profit des dominé.es de l’histoire, à savoir les noir.es (et ici les amérindiens) ou alors ne pas partager son pouvoir, vivre caché et ne jamais intervenir.
Cela n’entame pas la solidité réelle de Black Panther 2 en tant que divertissement d’aventure et vrai bon film de superhéros, qui se permet même de se moquer de lui-même en créant un Wakanda bis, un royaume aquatique mené par le charismatique Namor
La critique complète est disponible sur le site Première
Cette suite est aussi un hymne au girl power, doublé d’une mise au pilori pertinente de la loi du talion, « qui ne fait que des aveugles ». Et si l’on voit le temps passer – 165 minutes, c’est long –, le spectacle est somptueux.
Peu engagé dans l’affrontement au cœur du film, voire un peu désabusé par une impression de copié/collé, on est pourtant hypnotisé par chacune des apparitions de Namor et de ses combattants.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
La machine Marvel, même au service de la fierté noire, reste tragiquement cantonnée à son cahier des charges entre tragédie guerrière pour les nuls et scènes d’action titanesques sans intérêt. Et ça dure le temps d’« Il était une fois dans l’Ouest » !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Excessivement long, le film ne se départit pas de la plastique habituelle du studio et de ses éclairages aux teintes de confiserie. Il parvient néanmoins à inventer des personnages attachants en laissant la place aux dialogues autant qu'à la pyrotechnie.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
On pourrait passer outre les confusions idéologiques que le studio entretient sciemment, si seulement le film se montrait un tant soit peu convaincant sur le plan du spectacle.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Sans son acteur principal Chadwick Boseman, décédé prématurément, ce médiocre et laborieux deuxième opus, où l’Etat de Wakanda combat une nation sous-marine, s’embourbe dans un marécage tant idéologique que narratif.
La critique complète est disponible sur le site Libération
CNews
Même s’il souffre de quelques longueurs à cause d’un scénario trop dense, «Black Panther : Wakanda Forever», visuellement très réussi, offre d’époustouflantes scènes de combats entre mer et terre.
IGN France
Black Panther : Wakanda Forever est une super production Marvel qui a su se sublimer grâce à ses temps calmes et une écriture plus fine qui a réussi à nous toucher.
LCI
Black Panther : Wakanda Forever est aussi vibrant quand il parle du deuil qu’il est puissant dans ses scènes d’action, portées par des héroïnes plus en charge que jamais. (...) Comptez tout de même 2h42 pour ce nouveau voyage au Wakanda qui aurait mérité d’être plus court.
La Voix du Nord
Rancœur et vengeance sont donc les deux mamelles de ce Wakanda Forever qui offre son lot de dilemmes, de bastons et d’explosions. Sans faire saigner les yeux, comme le récent Thor : Love and Thunder.
Le Parisien
Débordant d’idées disséminées sur un ton assez grave, « Wakanda Forever » confirme le talent de son réalisateur, Ryan Coogler, très doué pour créer des univers délirants qu’il déroule à travers un récit réfléchi, dont les enjeux pourraient s’ancrer dans notre actualité.
Mad Movies
Faire de la science-fiction un grand cirque carnavalesque, ramener la géopolitique à un joyeux foutoir multicolore de cinéma d’exploitation, voilà bien peut-être le plus bel horizon de cette bordélique - mais jubilatoire - franchise.
Ouest France
Tout ce qui fonctionnait dans le premier volet est là, en mieux.
Paris Match
Voilà sûrement l’une des meilleures productions Marvel qui ose (enfin) laisser le cinéma d’auteur se fondre dans le divertissement.
Télé Loisirs
Là où Marvel s'en sort brillamment et même étonne, c'est dans sa capacité à faire du Black Panther sans Black Panther.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Black Panther : Wakanda Forever reste donc pertinent et sincère dans ses sujets, mais il est très probable qu’il y avait trop de choses à raconter pour un seul long-métrage. C’est dur de combler le vide laissé par le départ d’un être aimé…
Ecran Large
On peut reprocher à Black Panther : Wakanda Forever ce qu'on peut reprocher à n'importe quel Marvel, mais aussi saluer la façon dont le scénario a intelligemment tiré parti de la mort de Chadwick Boseman.
Franceinfo Culture
La réalisation de Ryan Coogler a du souffle et permet de tenir en haleine les spectateurs pendant les 2h42 du film. Mais un scénario schématique et l’absence du superhéros, auquel Chadwick Boseman apportait tout son charisme, freinent un peu l’ensemble.
GQ
Ryan Coogler signe avec Black Panther : Wakanda Forever un étrange rollercoaster hollywoodien, aussi cafardeux qu'il est ambitieux jusqu'à la déraison.
L'Ecran Fantastique
D'une durée-fleuve et que rarement justifiée de 162 minutes, le métrage donne malgré lui un sentiment permanent de trop peu vis-à-vis de ce qu'il raconte dès qu'il s'écarte de son travail mémoriel, comme si celui-ci dévorait tout ce que le film essaierait d'être par ailleurs.
Le Dauphiné Libéré
Malgré ce ventre mou digne des lendemains de soirée raclette, le film tient grâce à ses héroïnes – les femmes héritant du pouvoir par la force des choses – et leurs interprètes.
Le Figaro
Après la disparition de son acteur principal, Chadwick Boseman, le second volet de Black Panther reste une production Marvel au cahier des charges conventionnel. Sans plus.
Le Journal du Dimanche
Toujours éblouissant visuellement, l’univers tentaculaire continue de déployer son imaginaire foisonnant, dénonçant l’impérialisme américain et revendiquant son féminisme. En dépit d’un montage parfois trop saccadé des scènes d’action.
Le Journal du Geek
Black Panther : Wakanda Forever est une réussite sur bien des aspects. Dans sa gestion de la thématique du deuil et dans sa copie visuelle, le nouveau film de Ryan Coogler fait presque un sans-faute. Malheureusement, il est empêché par les trop grandes ambitions de Marvel pour tous ses métrages. Le navire ne prend pas l'eau, mais il évite le naufrage de peu.
Le Monde
La féminisation et le deuil imposent leurs marques dans ce nouvel opus qui, après une mise en place un peu brouillonne, finit par nous embarquer, en faisant à la fois surgir le danger et, dans la foulée, un nouveau super-héros : Namor, souverain d’une cité engloutie sous les eaux.
Les Fiches du Cinéma
Ryan Coogler signe cette suite dotée d’une séduisante proposition féminine qui ne fait pas oublier la faiblesse du scénario.
Les Inrockuptibles
Le problème est que ce renouvellement cosmétique ultra captivant cache une paresse scénaristique. Wakanda Forever ne fait que reformuler la même question que celle du premier volet, à savoir : utiliser l’extraordinaire pouvoir du vibranium pour mettre à bas les ex-puissances blanches impérialistes, colonisatrices et esclavagistes, au profit des dominé.es de l’histoire, à savoir les noir.es (et ici les amérindiens) ou alors ne pas partager son pouvoir, vivre caché et ne jamais intervenir.
Première
Cela n’entame pas la solidité réelle de Black Panther 2 en tant que divertissement d’aventure et vrai bon film de superhéros, qui se permet même de se moquer de lui-même en créant un Wakanda bis, un royaume aquatique mené par le charismatique Namor
Rolling Stone
Pour clôturer sa (décevante) phase4, Marvel a décidé de rendre hommage à T’Challa/Chadwick Boseman avec un film vibrant et plutôt réussi.
Télé 7 Jours
Cette suite est aussi un hymne au girl power, doublé d’une mise au pilori pertinente de la loi du talion, « qui ne fait que des aveugles ». Et si l’on voit le temps passer – 165 minutes, c’est long –, le spectacle est somptueux.
Télérama
Black Panther prouve une fois de plus sa supériorité sur la plupart des sagas de l’univers Marvel.
aVoir-aLire.com
Épique et politique à la fois, le deuxième volet de Black Panther réunit toutes les recettes du film d’aventure et du pamphlet social.
CinemaTeaser
Peu engagé dans l’affrontement au cœur du film, voire un peu désabusé par une impression de copié/collé, on est pourtant hypnotisé par chacune des apparitions de Namor et de ses combattants.
L'Obs
La machine Marvel, même au service de la fierté noire, reste tragiquement cantonnée à son cahier des charges entre tragédie guerrière pour les nuls et scènes d’action titanesques sans intérêt. Et ça dure le temps d’« Il était une fois dans l’Ouest » !
Les Echos
Excessivement long, le film ne se départit pas de la plastique habituelle du studio et de ses éclairages aux teintes de confiserie. Il parvient néanmoins à inventer des personnages attachants en laissant la place aux dialogues autant qu'à la pyrotechnie.
Critikat.com
On pourrait passer outre les confusions idéologiques que le studio entretient sciemment, si seulement le film se montrait un tant soit peu convaincant sur le plan du spectacle.
Le Point
Le beau personnage de Black Panther méritait mieux.
Libération
Sans son acteur principal Chadwick Boseman, décédé prématurément, ce médiocre et laborieux deuxième opus, où l’Etat de Wakanda combat une nation sous-marine, s’embourbe dans un marécage tant idéologique que narratif.
Sud Ouest
La saga se poursuit et se suit sans intérêt.