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pfloyd1
135 abonnés
2 115 critiques
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4,0
Publiée le 19 janvier 2022
Alors c'est vrai, on est pas à la hauteur des grosses pointures comme "Les affranchies " ou "Casino" mais "Many saints...." a du cachet et les moyens sont là ! Il réussi à instaurer cette atmosphère mafieuse si particulière qui est difficile à mettre en image si on veut réussir à absorber le spectateur. Les acteur ont "de la gueule", l'histoire est captivante, on trouve dans les dialogues et les attitudes une crédibilité certaine du "milieu" mafieux de l'époque, c'est réussi. Ni trop long, ni trop court, l'histoire se laisse suivre avec envie et intérêt.
Difficile de dire si Many Saints of Newark est en dessous de la série (Les Sopranos, dont je n’ai jamais été un grand assidu), ou pas... mais en tout cas la mafia au cinéma ça fonctionne toujours. Alors bien sûr on est loin des chefs-d’œuvre du genre (Coppola, Scorsese, voir même De Palma), mais on prend certain plaisir aux enjeux criminels toujours teintés de drames familiaux, qui s’incarne ici de façon vraiment convaincante en la personne, admirée mais implacable, du tonton flingueur de Tony Soprano, le fringant Alessandro Nivola ! Tout le casting du film étant d’ailleurs au diapason de l’entreprise... Bref, du pain bénit.
Au final assez décevant. Si vous avez vu et aimé la série vous passerez sans aucun doute un bon moment, le film reprenant les ingrédients qui marchaient a l'époque de la serie : des séquences de dialogues brillantes et des explosions de violences très bien réalisées Le jeune tony soprano est excellent même si malheureusement il est finalement assez peu présent a l'ecran
Le problème du film est qu'il ressemble plus à un long épisode spécial de série qu'à un film justement. La dramaturgie est presque inexistante et le scénario trop anecdotique pour vraiment nous intéresser.
Il ne reste que le plaisir de retrouver l'atmosphère et le contexte de la série originelle.
Pour ceux qui n'ont jamais vu la serie en revanche l'intérêt est quasiment inexistant...
Si vous avez aimé la série “Les Soprano” et ses 86 épisodes sur 6 saisons, ne manquez pas “Many Saints of Newark – Une histoire des Soprano”, le préquel sur la jeunesse de Tony Soprano. Le comédien James Gandolfini étant décédé en 2013 à l’âge de 51 ans, le réalisateur Alan Taylor nous offre un joli clin d’œil en recrutant Michael Gandolfini, fils de James, pour incarner le jeune Tony. Nous sommes ici dans un vrai film de gangsters des années 60. Nous assistons à l’ascension de Dickie, qui sera le modèle et parrain de Tony. Bien que l’écriture soit prenante, la mise en scène reste sobre et sans prise de risque. Alan Taylor oublie également d’apporter les doses subtiles d’humour qu’on pouvait retrouver dans la série. De plus, “Many Saints of Newark” ne parvient pas à égaler ses différentes intrigues et en expédie certaines pour s’étendre davantage pour les autres. Quoi qu’il en soit, l’œuvre séduira tièdement les fans de la série. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Un très bon film de mafia, une reconstitution des années 60/70 absolument parfaite, une super réalisation, très bonne photographie, super acteurs, bande son parfaite, vraiment rien à dire c'est un très beau film. Ça c'est pour la forme. Sur le fond j'ai également beaucoup aimé en apprendre plus sur le père de "Christophaaa" qui reste assez mystérieux pendant toute la série "Les Sopranos" (je me suis arrêté à la saison 5 perso). Le film est truffé d'infos et de référence à la série et ça c'est vraiment génial. Par contre si vous n'avez pas vu la série je pense que le film va vous paraitre ennuyeux ! Petit bémol quand même sur la deuxième partie du film que j'ai trouvé beaucoup moins emballante que la première. L'histoire s'essouffle un peu et le rythme ralenti ce qui m'a amené dans les dernières 20 minutes à un peu m'ennuyer je l'avoue. Mais sinon j'ai passé un super moment. Je trouve qu'on manque cruellement de film de mafia des années 60/70 et en voir un avec un gros budget en plus ça fait plaisir. Surtout quand la trame de fond est un prequel sur l'univers des Sopranos.
Le choix d'offrir lez rôle du Tony jeune au fils du défunt james Gandolfini aurait pu être un bon choix, ressemblance physique, hommage clin d'oeil mais le jeune acteur est sans charisme pour ne pas dire effacé et sans nuance. La meilleure idée du film est de placer le récit lors de cet été 1967 lors des émeutes de Newark, et qui fait donc écho au 7ème épisode de la série "Down Neck" dans lequel la maman de Tony regarde justement les émeutes en direct à la télévision lors d'un flash-back. Outre la portée politico-socia-raciale de ces émeutes elles permettent de tisser des relations avec une autre communauté via le crime et les ambitions et donne une autre dimension à la fresque. Le plus gros défaut du film est sans doute aussi sa plus grande qualité : on a simplement l'impression de voir une épisode de série façon épisode spéciale. La mise en scène à l'exception de quelques passages restent trop terne, trop en retrait, il manque au film un peu de flamboyance, un peu de panache ou même un peu de tension. L'intrigue est prenante, solide et intelligemment mise en place mais à l'image on s'ennuie un peu. Site : Selenie
Grand fan de la série, j'attendais ce film avec impatience, malheureusement on est loin du niveau de la série notamment au niveau charisme des personnages, et on se retrouve avec un film plutôt banal sur la mafia.
Seule l'affiche est de qualité : voilà comment pourrait-on résumer cette production. Quel ennui ! Le rythme est lent, très lent : que des temps mort. La faiblesse du scénario n'est pas même masquée par la qualité du jeu d'acteurs, qui semblent également s'interroger des raisons sur lesquelles ils se sont engagés dans cette histoire. Triste hommage à la saga des "Soprano".
Ne connaissant pas la série Soprano, j'ai apprécié malgré tout ce film ayant pour sujet la mafia Italo-Américaine traité des milliers de fois au cinéma, trois étoiles.
Je n'avais vu aucun épisode de la série TV. Je n'ai donc pas été un fan déçu mais malgré tout un amateur de films sur la mafia américaine peu enthousiaste à la sortie de la projection de ce film. Pas désagréable mais bien loin des "il était une fois le Bronx", "les affranchis", "mean streets", ou autres "la nuit nous appartient", "american ganster", etc.
Sympa mais sans plus. Ça fait plaisir de retrouver des personnages de The Soprano. La musique mythique n'est présente 'au générique de fin. Après il est à voir en ayant déjà vu la série, sinon bien que l'intrigue ai lieux bien des années avant la série la voix off vous spoile. Le film ne raconte pas grand chose, il fait partie de cette longue liste de film qui ne devrait pas sortir au cinéma, l'expérience ciné ne rajoute rien autant le voir chez soit. Il aurait mieux values qu'ils le sortent sur OCS.
J'attendais ce film avec impatience au moment où à l'époque le tournage n'était même pas commencé. Ce film "préquel" est finalement dédié à Dickie Moltisanti dans les grandes largeurs. Certes, nous avons la chance de voir Tony enfant puis ado; de voir en coup de vent son père, sa sœur (il en a deux pourtant) et un peu plus que les autres membre de sa famille sa tendre mère ;) et de Paulie. sans parler de Silvio Pussy et Carmella à peine aperçu. Oui, nous savions très bien que ce film n'était pas dédié spécialement à la jeunesse de Tony, mais tout de même j'en attendais vraiment plus à propos de sa jeunesse. Étant un passionné de cette série, je ne m'attendais pas non plus à des miracles, même si le film dure presque 2h. Pour moi ce film est une mise en bouche qui prétexte à avoir absolument une suite avec une série digne de celle que nous connaissons et surtout pas en film. Je suppose que David Chase à fait ce film de manière à ce qu'on demande une série préquel, mais qu'il a attendu de voir si le fils Gandolfini serait à la hauteur et c'est le cas. Je note l'incohérence sur la mort de Moltisanti, l'histoire dit qu'il meurt avec un plateau repas à la main en marchant vers sa maison tué par un flic ripoux (que Chrsitopher tuera bien plus tard) puis là 2e incohérence et lorsque Johnny se fait arrêter par les flics, jamais Janice voit Tony qui à la base est bien caché. Film sympa moyen en espérant très vite là série.
Avant d’être une légende du crime, Tony Soprano a fait ses gammes auprès de son oncle, Dickie Moltisanti. Dans un contexte explosif de guerre des gangs, cet intraitable parrain a ouvert les portes de la mafia à son neveu.
C’est une réalisation d’Alan Taylor qui avait déjà fait plusieurs épisodes des Soprano. Il n’a donc pas été dépaysé. Le scénario a été écrit par David Chase, créateur de la série, et Lawrence Konner (La Planète des singes).
J’avoue n’avoir vu que des extraits de la série Les Soprano, et même si j’ai trouvé ce préquel pas mal, j’en attendais autre chose.
Même si vous non plus vous ne l’avez pas vu, je pense que chacun connaît de nom Les Soprano. Elle va suivre Tony Soprano, chef de la mafia et père de famille. Cette série culte a été créé par HBO en 1999 et a été diffusé jusqu’en 2007. Durant ses 6 saisons, la création de David Chase aura eu 86 épisodes allant de 45 à 75 minutes. Son palmarès est bien rempli en ayant obtenu de nombreuses récompenses, dont vingt et un Emmy Awards et cinq Golden Globes.
En prenant en compte que Les Soprano se base principalement sur le personnage de Tony Soprano, ce prequel n’apporte pas grand-chose à la série. J’irais même jusqu’à dire que son intérêt est proche du néant. En effet, le choix a été de centrer le film sur Dickie Moltisanti, l’oncle de Tony. Un choix surprenant car on voulait vraiment savoir comment avait grandi le jeune Tony et comment c’était fait la bascule. Au lieu de cela, il sera abordé rapidement dans quelques passages. On sent clairement que l’intrigue ne tourne pas autour de lui et c’est gênant.
Après, on retrouve l’ambiance un peu Little Italie des années 70. On voit comment ça se passe dans les vieilles familles avec la “Mama” un peu moderne pour l’époque. Par contre, le côté mafia en soi n’est pas forcément exploité. Avec l’axe de l’oncle c’était ma seconde déception. En soi, l’histoire n’est pas mauvaise mais ce n’est pas ce qu'on attend. On va plus être préoccupé par les problèmes sentimentaux de Dickie que par sa gestion de la famille. Cela passe véritablement au second plan. J’aurais aimé en voir un peu plus. Le potentiel est là, il n’y a rien à redire là-dessus, mais son exploitation est limitée. Heureusement que l’habillage est propre, rendant le tout pas désagréable à suivre.
Concernant les acteurs, je dois dire que j’ai été agréablement surpris par Alessandro Nivola. Je ne le connaissais pas et il m’a convaincu dans son interprétation de l’oncle. Pour faire le jeune Tony, le choix de Michael Gandolfini était judicieux. En effet, il s’agit du fils de James Gandolfini, l’interprète original de Tony Soprano, décédé en 2013. À noter la présence prestigieuse de Ray Liotta qui avait été pressenti en 97 pour jouer Tony.