Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
moket
541 abonnés
4 349 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 27 septembre 2022
La jeunesse de Tony Soprano : mafia et règlements de comptes sur fond de lutte raciale. Le film en appelle aux bons souvenirs du Parrain, même s'il n'en a ni la profondeur ni l'intensité. Many Saints reste toutefois un excellent film de gangsters servi par un excellent casting.
Le début est pas mal avec une belle reconstitution de l’époque , les comédiens sont pas mal avec de vrais gueules mais le reste du film se déroule sans passion et pas grand chose de nouveau dans ce genre de film.
Un prequel respectable mais pas transcendant non plus, se regardant tout de même avec un plaisir nostalgique. En revanche, le choix de confier le rôle du jeune Tony au fils du défunt James Gandolfini est une fausse bonne idée, tant celui-ci manque de charisme. 2,75
Alors c'est vrai, on est pas à la hauteur des grosses pointures comme "Les affranchies " ou "Casino" mais "Many saints...." a du cachet et les moyens sont là ! Il réussi à instaurer cette atmosphère mafieuse si particulière qui est difficile à mettre en image si on veut réussir à absorber le spectateur. Les acteur ont "de la gueule", l'histoire est captivante, on trouve dans les dialogues et les attitudes une crédibilité certaine du "milieu" mafieux de l'époque, c'est réussi. Ni trop long, ni trop court, l'histoire se laisse suivre avec envie et intérêt.
Seule l'affiche est de qualité : voilà comment pourrait-on résumer cette production. Quel ennui ! Le rythme est lent, très lent : que des temps mort. La faiblesse du scénario n'est pas même masquée par la qualité du jeu d'acteurs, qui semblent également s'interroger des raisons sur lesquelles ils se sont engagés dans cette histoire. Triste hommage à la saga des "Soprano".
La jeunesse de Tony Soprano, temoin de la violence dans les rues de Newark. Un jolie casting, et une réalisation pleine de couleurs. On repense tous de suite au personnage de la série culte. Un film de gangster bien écrit qui révèle des secrets que que la série avait créé.
Je n'avais vu aucun épisode de la série TV. Je n'ai donc pas été un fan déçu mais malgré tout un amateur de films sur la mafia américaine peu enthousiaste à la sortie de la projection de ce film. Pas désagréable mais bien loin des "il était une fois le Bronx", "les affranchis", "mean streets", ou autres "la nuit nous appartient", "american ganster", etc.
La note moyenne sévère des spectateurs m'a fait craindre le pire, pour ceux qui ne connaissent pas la série cela peut se comprendre, mais pour les fans des Sopranos c'est à considérer comme une cerise sur le gâteau. La fin nous renvoie à beaucoup de nostalgie, on aimerait tellement que ça continue... Peut-être une suite un jour.
"Many Saints of Newark" a pour héros, à la fin des 60ies, à Newark dans le New Jersey, le "mafioso" Dickie Montisanti. Son frère, qui purge une longue peine, est le père de Tony Soprano – qui deviendra quelques années plus tard le capo de la famille DiMeo – un adolescent particulièrement éveillé qui considère Dickie comme son père de substitution. Le père de Dickie s’est remarié avec une jeune napolitaine, Giuseppina, dont Dickie tombe amoureux. Pendant ce temps, les tensions raciales s’accentuent dans la ville et les règlements de compte entre clans rythment la vie quotidienne des Montisanti et des Soprano.
Tous les fans de la série l’attendaient depuis longtemps : le prequel des Soprano est enfin arrivé sur les écrans, après bien des retards causés par le Covid. Le scénario a été écrit par David Chase, le créateur de la série télévisée, et la réalisation assurée par Alan Taylor qui en avait déjà dirigé plusieurs épisodes. Le rôle du jeune Tony Soprano a été confié à Michael Gandofini dont la ressemblance avec son père, James, décédé en 2013, est frappante.
Les fans en auront pour leur argent. Ils retrouveront avec délice l’atmosphère de la série, la vie en apparence très banale de cette communauté italo-américaine toujours suspendue à des épisodes aussi inattendus que perturbants d’extrême violence. Quant aux autres, à ceux qui n’auraient pas vu la série ou à ceux qui comme moi – et j’ai conscience en en faisant l’aveu d’être ultra-minoritaire – l’ont vue sans la porter au pinacle, ils risquent d’être déçus. Ils ne saisiront pas toutes les subtiles allusions du film (c’est en lisant le dossier de presse que j’ai compris que sa dernière scène se déroule dans le même restaurant que l’ultime scène de la saison 6 de la série). Et, pour les mêmes raisons que la série les aura déçus – son faux rythme, l’accumation des mêmes situations répétitives, sa galerie de portraits caricaturaux de porte-flingue sadiques et d’épouses dépressives – ils trouveront que ce film ne présente guère d’originalité.
Si vous avez aimé la série “Les Soprano” et ses 86 épisodes sur 6 saisons, ne manquez pas “Many Saints of Newark – Une histoire des Soprano”, le préquel sur la jeunesse de Tony Soprano. Le comédien James Gandolfini étant décédé en 2013 à l’âge de 51 ans, le réalisateur Alan Taylor nous offre un joli clin d’œil en recrutant Michael Gandolfini, fils de James, pour incarner le jeune Tony. Nous sommes ici dans un vrai film de gangsters des années 60. Nous assistons à l’ascension de Dickie, qui sera le modèle et parrain de Tony. Bien que l’écriture soit prenante, la mise en scène reste sobre et sans prise de risque. Alan Taylor oublie également d’apporter les doses subtiles d’humour qu’on pouvait retrouver dans la série. De plus, “Many Saints of Newark” ne parvient pas à égaler ses différentes intrigues et en expédie certaines pour s’étendre davantage pour les autres. Quoi qu’il en soit, l’œuvre séduira tièdement les fans de la série. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
"Many Saints of Newark" l'histoire de l'enfance et adolescence du célèbre Tony Soprano qui vit sous l'admiration total de son oncle Dick Moltisanti mafieux de l'époque et au travers la guerre des gangs. Vu en VO mais seul dans la salle...en même temps 22h en VO un dimanche... Si vous n'avez jamais vu la série "Les Sopranos" (c'est mon cas) cela gêne en rien de foir ce film car il parle du passé de Tony Soprano avant qu'il devienne le mafiosi le plus célèbre enfin l'un des plus connu. J'aime beaucoup ce gendre de film, avec son lot de trahison, de coup tordu, de désoudage en règle et de torture...souvent c'est cash, pas le temps de trop tergiverser car il faut faire payer à l'un(e) ou à l'autre un "manque de respect" justifier ou non d'ailleurs. Les parrains font pas de vieux os et donc tout est prétexte à zigouiller son prochain. Après il y a quand même mieux en terme film de gangster ("Gangster squad", Public ennemi" en récent) mais le film est fidèle au genre et même si certains personnages sont des stéréotype du mafieux italien (surtout un, limite trouvé comique) il reste bon car toujours dans une atmosphère malsaine et oppressante. Il y a parfois des moments de bonheur mais très vite calmé je dirais. Et puis surtout on voit que des événements font qu'un ado un peu rebelle peut devenir ce qu'il est devenu alors qu'il aurait surement eu une autre destiné. Petit plus avec la bella ragazza...^^ NOTE : 6/10
Vu many saints of newark Le prequel de la série les Soprano. Ici dans ce film on a à faire à dickie moltisanti l'oncle de Tony . On suit ses péripéties tout long du film,oui mais le problème car il y a un problème c'est que sa raconte rien ou presque . On s'ennuie ferme pas que les acteurs soient mauvais mais sa manque à plus d'intérêt. Ce qui est dommage pour un film de gangsters ⭐⭐
Prequel de la série Soprano, il ne semble donc pas nécessaire d en être férue. On se trouve dans ce contexte devant une simple histoire de mafieux italiens sans grande originalité, on n en comprends plus l enjeu, à part une présentation du contexte de guerre civile dans la fin des années 60 avec une révolte de la population noire. Ça reste assez plat, et peu relevé par les acteurs "italiens" malgré des interprétations de bon niveau dont celle du regretté Ray Liotta. Un film qui ne relèvera pas le genre ... même si il se laisse regarder.