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willyzacc
79 abonnés
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2,5
Publiée le 16 mai 2013
Un petit faux-documentaire avec quelques passages comiques sur un faux groupe de métal qui s’appellerait "Spinal Tap". Beaucoup de clichés revus à la façon Rob Reiner. Un bon film mais qui à plutôt vieilli et qui manque de rythme pour convaincre totalement. Sachant que je ne suis peut-être pas assez immergé dans le monde musical pour comprendre le film.
This is Spinal Tap....Rockumentaire réalisé par Rob Reiner avec une troupe de comédien qui sont à fond dans leur personnage, un groupe de hard raté avec des situations ENOOORMES...on se plie en deux , on se pisse dessus et on tombe sous le charme du Tap et de ses chansons outrancières. Michael McKean, Harry Shearer et Mr Jamie Lee Curtis (grrrrrr) Christopher Guest jouent pour de vrais et on sorti un album Break like the Wind où viennent jouer avec eux, rien d'autres que Steve Vaï, Joe Satriani, Steve Lukather...respect
Un exellent concept pour un exellent film qui oscille entre drame et comédie enfin plus comédie quand méme et qui maitrise à merveille le comique de situation et l'ironie.Les acteurs sont tous dotés d'une crédibilité démesurée et sortent des répliques devenues cultes.Ce statut de culte est amplement mérité car Spinal Tap arrive avec brio à mélanger grotesque et sérieux surtout dans ses étapes de "disputes".Dommage que le spectacle soit aussi court et qu'à la fin on a juste l'impression d'avoir frôlé le sujet.
Rob Reiner est un grand Monsieur dont il faut voir et revoir Princess Bride, Misery, Stand by me, Des Hommes d'Honneur et particulièrement cet ovni qu'est Spinal Tap, premier Musical /Documenteur qui nous plonge avec délice et délire dans la vie rêvée d'un vrai faux groupe de Hard... Fous rires garantis, mais pas que ça... Derrière le show il y a un fonds, un message passionnant sur le parallèle permanent qui existe entre l'odeur âcre des coulisses et la beauté asceptisée de la scène. Les feux de la rampe ou Opening Night version Hard rock en somme...
Un rockumenteur complètement barré et hilarant s'inspirant plus d'une fois de la réalité, mené tambour battant par ses comédiens / scénaristes aussi bien à l'aise dans la déconnade que sur scène.
Film culte s’il en est « Spinal tap » a quand même pris un bon coup de vieux. Le film n’est plus à la hauteur de sa réputation, ses dents se sont sans doute émoussées. Que demande le peuple ? « C’est vrai qu’à la suite de ce film des groupes ont décidés de jeter l’éponge ? » En tout cas il a participé à ringardiser le heavy metal façon année 80.
Faux documentaire qui nous plonge dans l'intimité d'un groupe de rock sur le déclin. A la fois drôle, parodiant tous les cliches de la rock star tout en étant en même temps rigoureux et juste sur le phénomène "heavy metal" des années 80.
WAW ! un film franchement archiculte et énormissime, le meilleur film rock de l'histoire ! rien que l'idée de faire un faux rockumentaire sur un groupe fictif est simplement génial, mais le résultat est a la hauteur, rythmé par de bons morceaux de hard et par l'humour décalé des membres du groupe avec leurs répliques toutes plus saisissantes les unes que les autres, franchement un film que je conseille beaucoup beaucoup, un véritable chef d'œuvre et pourtant réalisé avec peu de sous et qui dure pas longtemps, simplement avec du talent !
Parodie très perspicace de l'univers tellement sexy du glam-metal/hard FM des z'années 80, si réputées pour leur bon goût... Entre des musiciens légèrement débiles (quote : "on n'est pas des intellectuels nous"^^), des spectacles qui foirent, des caprices de gamins, des soucis d'ego et (surtout) des interviews loufoques où l'Artiste (avec un grand A, s'il vous plait) s'écoute déblatérer des propos sans queue ni tête prononcés à la manière d'ultimes révélation, on est servi ! En plus de cela, le scénario est plein de rebondissements, les acteurs assez convaincants avec leur jeu d'amateur et les chansons plutôt sympathiques. Seule petite chose qui m'a étonnée (mais pas forcément déçue), je m'attendais à un truc beaucoup plus trash. Autrement dit, je m'attendais à voir des mecs en train de se piquer et de sniffer 24 h/24 tout en se tapant un max de groupies, de prostituées et de strip-teaseuses et au final, je me retrouve face à quatre "gentils" (non, en fait ils sont cinq mais vu que dans la plupart des groupes de glam ils sont quatre, j'ai confondu) garçons avec une ou deux groupies de temps à autre et pas drogués ni ivres morts une seule fois... Après tout, tous les rockeurs ne sont peut-être pas comme ça ?.. Si ?? bon, okay, je sors...
Spinal-Tap est une comédie pleine d'humour sous forme de documentaire dans laquelle on peut suivre les mésaventures d'un groupe de Rock très attachant .
Un énorme n'importe quoi dans le monde du rock, on se laisse totalement prendre dans son aspect documentaire au point d'avoir envie de croire a 100% à l'histoire déjantée de ce groupe de jobards. Une grande réussite.
Voici donc LE vrai faux rockumentaire qui, en 1984, bouleversa l'Amérique et le monde du rock tout entier! Nous y suivons, caméra sur l'épaule l'inénarrable pseudo groupe de heavy metal britannique Spinal Tap (littéralement "ponction lombaire") dans une tournée US qui se veut triomphale. Extraits de concerts tous plus outranciers les uns que les autres (penchez-vous sur les textes improbables) et interviews intimistes ponctuent le film. Mais ce n'est pas à la grandeur du groupe à laquelle nous allons assister, mais bien à sa décadence puis à sa déchéance. Les concerts sont des fiascos (ah! la scène de Stonehenge, j'en ai encore des larmes aux yeux!), les dates sont annulées les unes après les autres, des tensions apparaissent entre des égos sur-dimensionnés et chauffés à blanc par l'irruption d'une Yoko Ono pleine d'idées... Bref, c'est un sauve-qui-peut général. Au cœur de la débâcle, nos héros, d'un sérieux et d'une suffisance à toute épreuve font montre d'une confondante candeur (qui a dit bêtise?!!) qui finit par nous les rendre attachants. Pourtant, il est écrit que Spinal Tap renaitra de ses cendres en des terres lointaines et que tout finira bien. Car le regard que porte la caméra sur ces musiciens paumés dans leur propre légende, s'il est parfois féroce, n'est pas cruel, mais au contraire plein d'humanité. Qu'on se le dise, This is Spinal Tap, authentique film culte est une véritable déclaration d'amour au monde du heavy metal; de l'amour en moules-burnes enroulé dans du papier alu! Et si vous pensez que tout dans ce film est exagéré et outrancier, je vous conseille vivement d'assister un jour à un concert de Manowar pour de vrai (rien que d'y repenser j'en pisse encore de rire) ou de visionner l'excellentissime et non moins drôle "Some kind of monster" sur le fameux groupe Metallica (là encore ce documentaire a bien failli avoir ma peau tant j'ai ri).
Bouzi Bouzouf aime « Spin¨al Tap » de Rob Reiner, un faux documentaire de 1984 sur un groupe de hard rock anglais – Spin¨al Tap, donc – qui, pendant une tournée aux États-Unis que suit une équipe de documentaristes (parmi lesquels le metteur en scène himself), va se rendre compte douloureusement, entre les annulations de concerts qui s'accumulent et les dédicaces dans les magasins qui n'intéressent personne (« I've fucked up ! Kick my ass ! »), que sa cote de popularité est en chute libre et qu'il est en train de virer ringard/has been. Comme ce reportage fake revient sur la carrière du groupe (à l'instar de cet autre excellent faux documentaire musical qu'était « The Rutles » d'Eric « Monty Python » Idle, sorti six ans plus tôt), on apprend que, dans les années 60, les membres de Spin¨al Tap formaient une sorte d'ersatz des Beatles qui avait commencé, comme eux, à fredonner en costard des chansons d'amour un peu neuneus avant de basculer dans le psychédélisme kaléidoscopique à la « Magical Mystery Tour ». En regardant ces séquences, Bouzi Bouzouf a eu une sorte de vision uchronique : les Beatles ne s'étaient pas séparés en 1970 et avaient continué leur carrière ensemble pour devenir un groupe de hard rock avec longs cheveux raides, pantalons moule-burnes et tout le tralala. Puisque Bouzi évoque les falzars moule-zizis, il précise que l'humour de « Spin¨al Tap» consiste essentiellement à parodier le folklore et les codes des groupes de hard de l'époque, style Iron Maiden, Kiss, Black Sabbath : les paroles horrifiques dignes d'un film d'Ed Wood, les mimiques des musiciens (attention aux crampes), les extravagants accessoires de scène (attention aux blocages) et les futes moule-pénis, donc (attention aux concombres enveloppés dans du papier alu qui alertent les détecteurs de métaux). Mais le film n'est pas qu'une succession de gags : il y a une histoire (une Yoko Ono vient foutre le bordel dans le groupe, en gros) et une véritable émotion s'empare du film à la fin.