AlloCiné
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Votre avis sur 6 Underground ?
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On s'attend à du lourd est au final on est déçu de la qualité du films qui a initialement un potentiel énorme. Netflix, faites un effort dans la qualité des films que vous produisez
Le cinéma dénaturé dans son expression extrême. Sans scénario, sans réalisateur, sans talent. Du bruit, des effets spéciaux ad nauseam. Ce n’est pas du cinéma, c’est de la pellicule saturée au kilomètre et une bande son hurlante . On s’interroge sur l’intérêt de s’abonner à Netflix...
"Stupide", c'est sans doute le mot qui caractérise le mieux ce film. Combien de fois me suis-je frappé le front du plat de la main en le regardant ! A peine si j'en revenais tant c'était mauvais, j'ignorais qui était le réalisateur, tout est devenu clair quand j'ai vu son nom apparaître après quelques deux heures d'inepties mal cadrées, mal montées, mal racontées. Les répliques sont puériles, l'histoire ne tient pas, la time line est bancale, la morale est simplement répugnante. Et dire qu'il a fallu deux scénaristes pour écrire ça !
2 heures d'action, de course-poursuite, fusillades et autres scènes spectaculaires... bref, ça envoie du très lourd avec une gestion de l'image et des cadrages soignée aux petits oignons ! Pas de scénario ou presque mais j'ai envie de dire que ça n'a au final que peu d'importance tellement le rythme est omniprésent. A regarder pour en prendre plein les yeux en laissant son cerveau au repos ! ^^
Un véritable spectacle
Pas besoin de critiquer les films Netflix, il suffit de se laisser emporter par ce spectacle !! Vraiment spectaculaire!!
Ok le scénario est "correcte" , mais l'ambiance et les personnages réussissent à vous tenir aux tripes.
Des films d'action, on en voit que trop, mais là grande SURPRISE sur vos petits écrans
Décors et effets spéciaux spectaculaires. Acteurs corrects, effet garanti !
Très agréables divertissements!
Pas besoin de critiquer les films Netflix, il suffit de se laisser emporter par ce spectacle !! Vraiment spectaculaire!!
Ok le scénario est "correcte" , mais l'ambiance et les personnages réussissent à vous tenir aux tripes.
Des films d'action, on en voit que trop, mais là grande SURPRISE sur vos petits écrans
Décors et effets spéciaux spectaculaires. Acteurs corrects, effet garanti !
Très agréables divertissements!
ferdinand75
Un gros navet , construit comme un clip vidéo. des plans décadrés de quelques seconde s'enchaînent sur un rythme de musique effréné. On ne voit rien , des poursuites de voitures "fake" en 3 D, en non stop. Beaucoup de sang qui gifle, des bagarres , des gros plans enchainés. Du coup pas besoin de scénario, juste des flashs. Un non film.
Un vrai nanar!
Des personnages clichés, des courses poursuites où les voitures des héros sont indestructibles (seulement quelques rayures quand elles se prennent des motos de face, ou qu'un homme tombe sur le toit du 3eme étages), des ralentis à tout va, des blagues (trop) faciles... Bref a éviter !
Des personnages clichés, des courses poursuites où les voitures des héros sont indestructibles (seulement quelques rayures quand elles se prennent des motos de face, ou qu'un homme tombe sur le toit du 3eme étages), des ralentis à tout va, des blagues (trop) faciles... Bref a éviter !
ConFucAmuS
"Quand je vais au cinéma, je ne veux pas me prendre la tête", "je dépose le cerveau à l'entrée, je le récupère à la sortie", "c'est du divertissement". Ce joker - employé pour couper court à la discussion - on l'a tous déjà utilisé puisque chacun a son propre plaisir coupable.
Prenons Michael Bay (au hasard, bien sûr), l'un des illustres bénéficiaires de ce type de grâce inexplicable. Sa carrière est principalement constituée d'objets cinématographiques à base de bim-bam-boum, d'images carte-postale et de stupidités en tout genre.
Techniquement, le cinéaste est à des années lumières d'un John McTiernan, d'un George Miller ou d'un John Woo. À un moindre niveau, feu Tony Scott (d'ailleurs précurseur dans l'esthétique ultra-cut) me parait bien plus compétent pour raconter une histoire et donner une âme à ses films.
De son côté, Bay est devenue l'emblème d'un cinéma d'action chaotique et décérébré et qui en est fier. Après tout, pourquoi pas ? En soi, l'homme est devenu un auteur en la matière. Il a son style (reconnaissable), il a ses motifs récurrents. Un auteur, oui.
Bon, j'ai beau respecter le réalisateur, je dois avouer que je méprise la majorité des films qu'il a tournés. Et 6 Underground représente un cap que j'avais espéré ne jamais retrouver.
Ne parlons pas de l'histoire, puisqu'elle est - comme souvent chez Michael Bay- complètement accessoire. Les personnages réduits à de purs archétypes, définis par leur sexe ou leur humour. Ils sont vides.
Là où le constat devient critique, c'est que techniquement le long-métrage est d'une laideur impensable. La narration est complètement explosée, entre le montage à 200 plans/minute, la lecture de l'espace bazardée et les faux raccords à la mitraillette. C'est une véritable épreuve qui commence dès l'introduction. Bay ne cherche même plus à nous immerger dans l'action puisqu'elle rendue illisible par le montage indéchiffrable. Et ne parlons pas des blagues, aussi drôles qu'un infarctus. Le pire, c'est que ça ne va pas en s'arrangeant bien au contraire.
En gros, 6 Underground évoque le travail d'un épileptique en pleine crise, ou d'un adolescent qui expérimente l'overdose, ou les deux à la fois. Ça passerait presque pour de l'abstrait tant RIEN dans ce film n'a de sens. Ni l'histoire, ni les enchainements, ni les transitions; rien de rien. En comparaison, les productions Asylum recèlent de purs délires cartoonesques, entre les scripts de 3 lignes et les SFX à vomir. Là, tout a été mis en œuvre pour rendre la séance douloureuse. Dieu sait que je n'aime ni Armageddon, ni The Island et que je répugne à revoir ne serait-ce qu'un seul Transformers, mais au moins ils contiennent quelques scènes plaisantes. Ce nouveau Bay réussit la prouesse d'annihiler toute trace d'efficacité où que ce soit.
150 millions de dollars de budget, c'est beaucoup.
Moi, ça me parait cher payé pour un film qui fait tout ce qu'il peut pour saboter toute ambition artistique. Même pour un plaisir coupable, ça relève presque du masochisme de s'infliger une chose pareille.
Prenons Michael Bay (au hasard, bien sûr), l'un des illustres bénéficiaires de ce type de grâce inexplicable. Sa carrière est principalement constituée d'objets cinématographiques à base de bim-bam-boum, d'images carte-postale et de stupidités en tout genre.
Techniquement, le cinéaste est à des années lumières d'un John McTiernan, d'un George Miller ou d'un John Woo. À un moindre niveau, feu Tony Scott (d'ailleurs précurseur dans l'esthétique ultra-cut) me parait bien plus compétent pour raconter une histoire et donner une âme à ses films.
De son côté, Bay est devenue l'emblème d'un cinéma d'action chaotique et décérébré et qui en est fier. Après tout, pourquoi pas ? En soi, l'homme est devenu un auteur en la matière. Il a son style (reconnaissable), il a ses motifs récurrents. Un auteur, oui.
Bon, j'ai beau respecter le réalisateur, je dois avouer que je méprise la majorité des films qu'il a tournés. Et 6 Underground représente un cap que j'avais espéré ne jamais retrouver.
Ne parlons pas de l'histoire, puisqu'elle est - comme souvent chez Michael Bay- complètement accessoire. Les personnages réduits à de purs archétypes, définis par leur sexe ou leur humour. Ils sont vides.
Là où le constat devient critique, c'est que techniquement le long-métrage est d'une laideur impensable. La narration est complètement explosée, entre le montage à 200 plans/minute, la lecture de l'espace bazardée et les faux raccords à la mitraillette. C'est une véritable épreuve qui commence dès l'introduction. Bay ne cherche même plus à nous immerger dans l'action puisqu'elle rendue illisible par le montage indéchiffrable. Et ne parlons pas des blagues, aussi drôles qu'un infarctus. Le pire, c'est que ça ne va pas en s'arrangeant bien au contraire.
En gros, 6 Underground évoque le travail d'un épileptique en pleine crise, ou d'un adolescent qui expérimente l'overdose, ou les deux à la fois. Ça passerait presque pour de l'abstrait tant RIEN dans ce film n'a de sens. Ni l'histoire, ni les enchainements, ni les transitions; rien de rien. En comparaison, les productions Asylum recèlent de purs délires cartoonesques, entre les scripts de 3 lignes et les SFX à vomir. Là, tout a été mis en œuvre pour rendre la séance douloureuse. Dieu sait que je n'aime ni Armageddon, ni The Island et que je répugne à revoir ne serait-ce qu'un seul Transformers, mais au moins ils contiennent quelques scènes plaisantes. Ce nouveau Bay réussit la prouesse d'annihiler toute trace d'efficacité où que ce soit.
150 millions de dollars de budget, c'est beaucoup.
Moi, ça me parait cher payé pour un film qui fait tout ce qu'il peut pour saboter toute ambition artistique. Même pour un plaisir coupable, ça relève presque du masochisme de s'infliger une chose pareille.
Un film prenant, très bien filmé, une magnifique photographique de scènes urbaines, de l'action à revendre, des acteurs efficaces, un film vraiment plaisant. A voir !
selenie
spoiler:
Le film débute avec une jolie séquence aérienne et une course poursuite démente dans les rues de Florence qui dure 20mn !
Dans cette course poursuite se mêle ainsi des cascades dantesques, des conduites de véhicules à concurrencer les "Fast and Furious", mais aussi et surtout des effets spéciaux qui oscillent entre bons et pitoyables puis par des faux raccords à nous brûler la rétine ! La suite est plus sérieuses, notamment dans les scènes de gunfight mais le scénario reste peu intéressant. La fin est complètement incohérente, notamment Un/le Millionnaire semble surpris d'apprendre que certains de ses "hommes" ont une vie privée alors même qu'il est censé tout savoir sur eux et qu'ils sont logiquement et officiellement mort !? Un film qui sera vite tomber dans les oubliettes déjà bien remplies de Netflix.
Site : Selenie
Dans cette course poursuite se mêle ainsi des cascades dantesques, des conduites de véhicules à concurrencer les "Fast and Furious", mais aussi et surtout des effets spéciaux qui oscillent entre bons et pitoyables puis par des faux raccords à nous brûler la rétine ! La suite est plus sérieuses, notamment dans les scènes de gunfight mais le scénario reste peu intéressant. La fin est complètement incohérente, notamment Un/le Millionnaire semble surpris d'apprendre que certains de ses "hommes" ont une vie privée alors même qu'il est censé tout savoir sur eux et qu'ils sont logiquement et officiellement mort !? Un film qui sera vite tomber dans les oubliettes déjà bien remplies de Netflix.
Site : Selenie
Produit marketing indigne du cinéma. Vulgaire divertissement pour décérébrés. Les éloges ne manquent pas pour décrire un tel film. Quel gâchis d'argent pour une telle daube.
Si je devais résumer mon avis en une phrase je dirais : Michael Bay. Avec tout ce que ça implique : montage frénétique, action à gogo,une dose d'humour parfois forcée, des explosions et situations invraisemblables. C'est donc un film d'action survitaminé dans la grande tradition du réalisateur des Transformers. Les personnages sont corrects sans plus, mais on a affaire à un beau casting. Le scénario est assez conventionnel avec cette bande qui veut rendre justice à leur manière : on a en fin de compte quasiment un film de super héros, avec son lot de prouesses humainement impossibles. 6 underground est donc un bon divertissement qu'on regarde sans prise de tête mais qui ne laissera pas de souvenirs impérissables.
Je n'ai pas vu passé les 2h. Les cadrages sont géants, il y a de l'humour, de l'humanité et de la morale également. C'est assez complet, très bien filmé. J'ai adoré.
Nul absolument rien d autre a dire. On dirait une parodie .indescriptible.... je reste sans voix. Dommage qu on ne puisse pas mettre 0.
Commence à peine le film (10min) que déjà déçu... Comment peut on faire des erreur aussi grosse sur l'alpha verte.... Il arrache son rétro et dans les gros plan du conducteur et les cinématique il a tjs le rétro.... comment peut ton fair des erreurs comme sa en 2k20..... Sinon film passable grace à l'acteur principal
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