Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
Une oeuvre noire à l'humour inattendu, parfois burlesque, à la croisée d'un film de Jean Pierre Mocky quand il se donnait la peine d'en faire des bons, et d'un autre de Claude Chabrol, qui en ferait encore s'il vivait toujours.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Après les codes du western dans My Sweet Pepper Land, le cinéaste utilise ceux du polar pour ses thèmes favoris, l’oppression des Kurdes et la liberté de l’amour.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
C'est drôle, c'est triste, c'est original – et chaleureux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
(...) la réalisation sait tenir la fiction à distance de la réalité pour ne pas rendre trop pesants ces sujets épineux. En cinéaste facétieux, Hiner Saleem tire des fils, s’autorise des digressions dans le joyeux chaos qui lui est cher.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Rien de pesant, pour autant, dans cette plongée en eaux troubles : la tonalité adoptée, qui laisse à l’humour, notamment visuel, une place constante, donne à ce qui aurait pu être une critique pesante une allure de fantaisie policière, qui se paie même une happy end sentimentale propre à réconcilier tout son monde.
Le Parisien
par La Rédaction
Le récit, qui évoque aussi en filigrane les travers de la société turque traditionnelle et les problèmes de racisme, est formidablement porté par l’émouvant Mehmet Kurtulus, sexy en diable avec ses faux airs de Gregory Peck et son imper à la Bogart.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Vincent Thabourey
Si quelques effets de mise en scène s'avèrent trop visibles [...], cette comédie policière dégage un charme rétro auquel il est difficile de ne pas succomber.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Hiner Saleem offre son film le plus accessible et sarcastique avec cette comédie policière enlevée, dénonciation explicite de l’étroitesse d’esprit.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par La Rédaction
Hiner Saleem aime bien pasticher les films de genre. Sa comédie policière, feutrée, lorgne du côté d'Agatha Christie. Elle manque un peu trop de relief et de rythme, mais distille un charme teinté d'humour, sympathique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Filmé dans un cadre aussi particulier qu’envoûtant mais au détour de situations volontiers loufoques, le nouveau film de Hiner Saleem étonne autant qu’il détonne dans sa façon de faire résonner le grave et le léger, de divertir tout en traitant de questions toujours sensibles en Turquie comme la séparation des hommes et des femmes ou encore la grande diversité des origines ethnique de la population.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Le cinéaste fait entrer l'esprit d'une Agatha Christie au sein d'une communauté turque, paranoïaque et raciste, avec une malice qui réjouit.
Les Fiches du Cinéma
par La rédaction
Ne trouvant jamais sa juste place entre le pastiche burlesque et la fable politique, "Qui a tué Lady Winsley ?" prend bien malgré lui les atours d’une catastrophe industrielle aussi embarrassante que prévisible, malgré l’investissement certain de toute la production.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Si "Qui a tué Lady Winsley ?" manque un peu de rythme, surtout quand l'intrigue fait du surplace entre les différents suspects, le film aborde aussi deux "sujets" tabous au sein de la société turque : la liberté d'aimer des femmes et le racisme dont sont victimes les Kurdes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Mathilde Blottière
Doté d’un humour à toute épreuve, le cinéaste franco-kurde se moque gentiment de ses semblables tout en abordant de front la place de la femme et le racisme anti-kurde en Turquie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Marcos Uzal
Malgré son élégance formelle et la qualité de ses acteurs, ce film déçoit donc à force de se montrer de plus en plus inoffensif et convenu, juste sympathique plutôt que dérangeant, comme s’il ravalait toute son acidité en cours de route.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Des personnages hauts en couleur sans le pittoresque. Un sens indéniable de l’absurde. Et un questionnement sur la place de la femme dans des sociétés où elle est souvent réduite à la portion congrue et, plus précisément ici, une réflexion sur la femme adultère. Ce bégaiement gâche un peu le plaisir sans l’effacer totalement.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
Une oeuvre noire à l'humour inattendu, parfois burlesque, à la croisée d'un film de Jean Pierre Mocky quand il se donnait la peine d'en faire des bons, et d'un autre de Claude Chabrol, qui en ferait encore s'il vivait toujours.
L'Humanité
Après les codes du western dans My Sweet Pepper Land, le cinéaste utilise ceux du polar pour ses thèmes favoris, l’oppression des Kurdes et la liberté de l’amour.
L'Obs
C'est drôle, c'est triste, c'est original – et chaleureux.
La Croix
(...) la réalisation sait tenir la fiction à distance de la réalité pour ne pas rendre trop pesants ces sujets épineux. En cinéaste facétieux, Hiner Saleem tire des fils, s’autorise des digressions dans le joyeux chaos qui lui est cher.
Le Dauphiné Libéré
Rien de pesant, pour autant, dans cette plongée en eaux troubles : la tonalité adoptée, qui laisse à l’humour, notamment visuel, une place constante, donne à ce qui aurait pu être une critique pesante une allure de fantaisie policière, qui se paie même une happy end sentimentale propre à réconcilier tout son monde.
Le Parisien
Le récit, qui évoque aussi en filigrane les travers de la société turque traditionnelle et les problèmes de racisme, est formidablement porté par l’émouvant Mehmet Kurtulus, sexy en diable avec ses faux airs de Gregory Peck et son imper à la Bogart.
Positif
Si quelques effets de mise en scène s'avèrent trop visibles [...], cette comédie policière dégage un charme rétro auquel il est difficile de ne pas succomber.
aVoir-aLire.com
Hiner Saleem offre son film le plus accessible et sarcastique avec cette comédie policière enlevée, dénonciation explicite de l’étroitesse d’esprit.
Le Figaro
Hiner Saleem aime bien pasticher les films de genre. Sa comédie policière, feutrée, lorgne du côté d'Agatha Christie. Elle manque un peu trop de relief et de rythme, mais distille un charme teinté d'humour, sympathique.
Le Journal du Dimanche
Filmé dans un cadre aussi particulier qu’envoûtant mais au détour de situations volontiers loufoques, le nouveau film de Hiner Saleem étonne autant qu’il détonne dans sa façon de faire résonner le grave et le léger, de divertir tout en traitant de questions toujours sensibles en Turquie comme la séparation des hommes et des femmes ou encore la grande diversité des origines ethnique de la population.
Le Monde
Le cinéaste fait entrer l'esprit d'une Agatha Christie au sein d'une communauté turque, paranoïaque et raciste, avec une malice qui réjouit.
Les Fiches du Cinéma
Ne trouvant jamais sa juste place entre le pastiche burlesque et la fable politique, "Qui a tué Lady Winsley ?" prend bien malgré lui les atours d’une catastrophe industrielle aussi embarrassante que prévisible, malgré l’investissement certain de toute la production.
Paris Match
Si "Qui a tué Lady Winsley ?" manque un peu de rythme, surtout quand l'intrigue fait du surplace entre les différents suspects, le film aborde aussi deux "sujets" tabous au sein de la société turque : la liberté d'aimer des femmes et le racisme dont sont victimes les Kurdes.
Télérama
Doté d’un humour à toute épreuve, le cinéaste franco-kurde se moque gentiment de ses semblables tout en abordant de front la place de la femme et le racisme anti-kurde en Turquie.
Libération
Malgré son élégance formelle et la qualité de ses acteurs, ce film déçoit donc à force de se montrer de plus en plus inoffensif et convenu, juste sympathique plutôt que dérangeant, comme s’il ravalait toute son acidité en cours de route.
Première
Des personnages hauts en couleur sans le pittoresque. Un sens indéniable de l’absurde. Et un questionnement sur la place de la femme dans des sociétés où elle est souvent réduite à la portion congrue et, plus précisément ici, une réflexion sur la femme adultère. Ce bégaiement gâche un peu le plaisir sans l’effacer totalement.