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    Grâce à Dieu
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    bobmorane63
    bobmorane63

    197 abonnés 1 980 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mars 2019
    Une histoire vraie qui déclencha un scandale dans le milieu de l'église catholique, juridique et médiatique traité humainement par le cinéaste François Ozon !! Sur un scénario bien écrit et bien structuré , le metteur en scène avait tendance quelques fois de choquer les spectateurs avec des longs métrages osés, avec "Grace à dieu", c'est le contraire en traitant avec pudeur les personnages murés dans le silence dans leurs enfance avec des attouchements sexuels du père Prennac sans voir les scènes et qui, adultes, certains lèvent le silence mais la pédophilie n'est pas reconnu par la hiérarchie catholique et donc le père Prennac exerçant sa profession pendant plusieurs années. On suit les personnages adultes ayant été victimes dans leurs démarches, l'un père de famille en bonne situation qui est le premier et appelle à d'autres a porter plainte, un autre qui file les infos aux médias et un autre qui a raté sa vie à cause de cela. Ils sont interprétés par de très bons comédiens Melvil Poupaud, Denis Ménochet et Swann Arlaud secondés par Josiane Balasko et Eric Caravaca entre autres. Mise en scène inspirée de François Ozon, peut ètre un de ses meilleurs films, je les ai pas tous vus. A visionner.
    ned123
    ned123

    161 abonnés 1 702 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 janvier 2020
    J'ai vu un film... qui, marque énormément, le soir de Noël... Et qui démontre bien que si Dieu est partout, il n'est pas toujours dans le coeur des hommes et de l'institution. C'est un grand film qui place la douleur des victimes au coeur des débats. On suit le parcours de ces enfants, qui ont grandi et qui ont subit les viols, violences de prêtres pédophiles... La réalisation de François Ozon prend le temps de poser le contexte, les personnages, les défaillances de l'institution et la gêne de ce qui devient un scandale de société. Melvil Poupaud, Denis Ménochet et Swann Arlaud sont des personnages qui ont souffert, mais jamais faibles, et qui décident que ce silence de l'église, de leur église, est insupportable. Ils décident de faire éclater au grand jour les comportements inappropriés du Père Preynat qui abusa de sa position pendant des décennies, avec l'assentiment de l'église, malgré la pression des parents. Le film est littéralement bouleversant car il revient avec finesse sur une omerta insupportable Un très grand film...
    Yves G.
    Yves G.

    1 498 abonnés 3 516 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2019
    Alors qu'il était jeune scout, Alexandre (Melvil Poupaud) a été victime d'attouchements du père Preynat (Bernard Verley). En 2014, marié, père de famille nombreuse, catholique fervent, il découvre que son ancien aumônier officie toujours au contact des enfants. Bouleversé il contacte l'évêque de Lyon, le cardinal Barbarin (François Marthouret). C'est moins le pardon du curé qu'il attend que des sanctions de sa hiérarchie. Mais ses efforts restent vains. Si l'Église écoute son témoignage et lui manifeste sa compassion, si le père Preynat reconnaît les faits sans remettre en cause la parole d'Alexandre, aucune mesure n'est prise pour briser la loi du silence.
    Bien que sachant les faits, qui remontent à plus de vingt ans, prescrits, Alexandre dépose plainte. Une enquête est diligentée par le capitaine Courteau (Frédéric Pierrot). Elle permet de retrouver plusieurs victimes du père Preynat parmi lesquels Denis (François Debord) devenu un athé militant, Emmanuel (Swann Arlaud) dont la vie porte les traces indélébiles de ce traumatisme et Emmanuel (Éric Caravaca) un chirurgien qui prend l'initiative de créer une association pour libérer la parole des victimes et médiatiser l'affaire.
    "Grâce à Dieu" raconte leur combat.

    La pédophilie dans l'Eglise est un sujet grave. Il fait la une de l'actualité. Il provoque dans l'opinion publique une réprobation unanime. On comprend l'utilité et l'opportunité pour le cinéma de s'en saisir - quelques mois après la sortie des "Chatouilles".

    Mais on ressent simultanément une triple gêne. Pourquoi recourir à la fiction plutôt qu'au documentaire ? Pourquoi pointer les culpabilités au mépris de la présomption d'innocence sans attendre que la Justice ait fait son office ? Et pourquoi Ozon ? Pourquoi l'enfant terrible du cinéma français dont l'œuvre se caractérise par son ironie acerbe et son réalisme fantastique s'est il lancé dans cette entreprise qui fleure bon les films de commande pour Dossiers de l'écran ?

    Ces réserves sont substantielles. Mais force est de reconnaître qu'il s'agissait d'a priori suscités à la fois par le sujet du film, par sa bande annonce et par le tohu bohu judiciaire qui a accompagné sa sortie - les référés déposés par les avocats du père Preynat et de Régine Maire et leur rejet par la justice à la veille de la sortie du film lui offrant une publicité inespérée dans une semaine pourtant bien chargée ("Le Chant du loup", "La Chute de l'empire américain"...).

    Dès ses premières minutes, "Grâce à Dieu" nous saisit. La mise en scène de François Ozon, d'une incroyable fluidité, réussit à rendre passionnant des échanges d'emails lus en voix off. Le film se concentre sur Alexandre, remarquablement interprété par Melvil Poupaud, et sa blonde épouse (impeccable Aurélia Petit). On le quitte à regret pour les autres victimes de Preynat : François, Emmanuel, Gilles... La construction du film se dévoile : consacrer à chacun des personnages un long temps d'exposition. Le procédé aurait pu être pachydermique ; et pourtant il fonctionne.

    "Grâce à Dieu" aurait pu verser dans le manichéisme ou le voyeurisme. Il aurait pu opposer des prêtres corrompus à des enfants brisés, une Église campée dans ses traditions contre une société civile courageuse. Il évite ces écueils. "Grâce à Dieu" n'est pas un film antireligieux. Il ne stigmatise ni le cardinal Barbarin, dont la compassion pour Alexandre est sincère, ni même le père Preynat qui reconnaît lucidement les faits. "Grâce à Dieu" rend compte sobrement de la démarche des victimes : ni vendetta contre un homme, ni lutte idéologique contre une institution mais une exigence de vérité et de justice - en résonance avec le combat des victimes du franquisme raconté par "Le Silence des autres". Ours d'argent au festival de Berlin, "Grâce à Dieu" réussit à traiter sereinement un sujet propice à toutes les dérives.
    Roub E.
    Roub E.

    985 abonnés 5 023 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 mai 2020
    Avec Grâce à Dieu Francois Ozon s’écarte de son cinéma habituel pour un film d’actualité et engagé. En racontant l’histoire des victimes ayant dénoncés les actes du père Preynat et surtout le terrible silence de l’église qui savait tout, il fait un film sur la vérité et la parole qui permet de la mettre à jour. Servi par des acteurs impliqués, grâce à Dieu est un film qui prend aux tripes, qui choque, révolte bref touche parfaitement la cible par rapport à ce qu’il raconte. La tension et surtout le poids terrible des années de souffrance est décrit de manière magistrale. C’est un grand film car il ne tombe pas dans l’excès, tout semble posé, réfléchi, il n’y a pas de mots, de notes superflus ce qui rend sa charge émotionnelle et sa rage intérieure d’autant plus forte.
    Fabien S.
    Fabien S.

    562 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mars 2019
    Un excellent drame. François Ozon aborde le sujet de la pedophile dans l'eglise. Un bon realisateur traite des scenarios audacieux .
    velocio
    velocio

    1 321 abonnés 3 153 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 février 2019
    Est-il besoin de s'attarder sur l'histoire elle-même dans la mesure où elle est dorénavant bien connue, ne serait-ce que grâce aux efforts faits par certains pour empêcher la sortie du film ! On se contentera de dire qu'il s'agit d'une représentation qui semble très honnête du combat mené par un groupe de personnes contre un prédateur sexuel et contre sa hiérarchie, manifestement au courant de ses agissements et qui n'a rien fait. Des personnes qui, comme le dit l'un d'eux, ne se battent pas contre l'église mais pour l'église. Qui se battent aussi contre la prescription, particulièrement dommageable dans les affaires sexuelles et plus encore lorsque les victimes sont des enfants, le besoin d'en parler et de demander justice intervenant très souvent bien longtemps après les faits.
    Le film, Grand Prix du Jury au dernier Festival de Berlin, démarre assez lentement avec le cas d'Alexandre, interprété par Melvin Poupaud dont on aurait souhaité davantage d'expressivité : une habitude chez ce comédien ! Heureusement, le film monte dans les tours avec les arrivées de François (excellent Denis Ménochet), puis de Emmanuel (non moins excellent Swann Arlaud). Le reste de la distribution est de "qualité supérieure", nul besoin d'en dire plus. Une dernière interrogation : s'agit-il d'un film de François Ozon ? Bien évidemment, mais un film de François Ozon qui s'écarte beaucoup de tout ce qu'il avait fait jusqu'à présent.
    L_huitre
    L_huitre

    86 abonnés 357 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 février 2019
    Emouvant au point que les larmes me sont venue aux yeux devant le personnage d'Emmanuel. Une victime en révolte qui tourne comme un fauve en cage. Une des victimes de ce prêtre pédophile lyonnais qui a sévi plusieurs décennies sans susciter de réactions appropriées de l'église. Alors quelques-unes de ses victimes ont fini par se réunir en association pour l'attaquer en justice et dénoncer l'inqualifiable, à savoir le mal incarné chez un prêtre censé apporter le bien et communiquer la parole de l'évangile. François Ozon s'attaque à un sujet douloureux avec "Grâce à Dieu". Mais Dieu Merci, il le fait avec une humanité, une honnêteté et une subtilité qui l'honorent. Point de généralisation hâtive, pas d'envie de casser une institution, de lyncher des curés.... Ozon ne fait que dénoncer. Il raconte juste les souffrances des victimes pour faire éclater la vérité. Même le prêtre pédophile paraît être un homme malade, victime de ses pulsions et pas trop mauvais bougre dans le fond. Cette absence de manichéisme - étonnante dans notre époque noir et blanche qui adore clouer au pilori - rend le propos plus profond. Une approche tout en nuances, à l'image des courriers échangés entre les protagonistes, et lus en voix off en début du film. Certes, cela peut donner l'impression de mettre le film sur un registre "documentaire". Mais, sans ce contexte, la charge contre l'Eglise n'aurait pas la même puissance. Sans ce contexte, la révolte vingt ans après les faits de jeunes garçons devenus adultes serait difficile à comprendre. Ozon a construit son film avec le canevas imposé de la réalité, loin des fantasmes de scénario inventés. Mais il a trouvé le ton juste pour parler de chacun : Alexandre, le toujours croyant, qui veut préserver les générations à venir ; François le révolté qui rejette tout le barda et veut se payer tous ces faux-jetons de curés ; Emmanuel enfin qui retrouve sa dignité et une raison d'exister dans ce combat qu'il n'a dans un premier temps pas voulu. Par ce délicat jeu d'acteurs, "Grâce à Dieu" est bien un film. Un très bon même, de ceux qui vous marquent et qui suscitent le débat plusieurs heures après la sortie de salle. Sans la moindre invective, sans la fureur déchaînée des débats sur les réseaux sociaux. "Grâce à Dieu" est une météorite bienveillante, tout en débusquant le mal où il se cache. Une telle honnêteté mérite 5 étoiles. Pas moins...
    Selingues G
    Selingues G

    77 abonnés 956 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 janvier 2020
    François Ozon frappe fort avec ce récit se basant sur l'affaire Barbarin.
    On suit le parcours de trois hommes marqué par des événements horribles survenus pendant leur jeunesse mais aussi des motivations différentes.

    Le premier jouait tout en retenu par Melvil Poupaud souhaite simplement avoir des explications et de comprendre ce qui a motivé le cardinal dans ses gestes. Il n'arrivera à rien et on lui demandera même d'arrêter de faire ses recherches.

    Le second jouait par Denis Ménochet qui après jusqu'à la garde montre une nouvelle tout son talent et sa présentence en jouant une seconde victime décidant de tout dire au public. Il est parfait dans le rôle de rassembleur.

    Le troisième et le plus perturbé reste le personnage jouait par Swann Arlaud qui a encore des séquelles. Sa confrontation avec le cardinal reste la plus forte du film.

    L'ensemble de ces portraits font le succès de Grâce à Dieu.
    Bouleversant de vérité
    max7_13
    max7_13

    29 abonnés 156 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 février 2019
    Un très bon film au cœur de l actualité, belle réalisation, bon choix d acteurs. Les 2h17 passent très vite
    lionelb30
    lionelb30

    446 abonnés 2 606 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mars 2019
    Sujet pas facile qui meritait une certaine austerite et sobriete dans la narration. Reussi de ce point de vue la , des acteurs tous tres bon , des faits qui semblent proche de la realite et pas de parti pris moral. A la justice de faire son travail , peut etre...et a l'eglise de faire le sien , encore moins sur...
    Ricco92
    Ricco92

    231 abonnés 2 156 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mars 2019
    Sorti 15 jours avant le jugement du cardinal Barbarin (ce qui a entraîné une demande judiciaire de la part de l’Église de report de la sortie du film), Grâce à Dieu est une description du travail de l’association La Parole libérée pour faire éclater la vérité sur les agissements du Père pédophile (qui a toujours avoué ses comportements et a même alerté sa hiérarchie sur ce qu’il juge être une maladie) et surtout du silence de l’Église catholique sur le sujet. Pour ne pas faire oublier son sujet, François Ozon traite cette histoire d’une manière sobre malgré une structure assez rare au cinéma spoiler: (chaque fois qu’un membre important de l’association fait son apparition, on se concentre sur son histoire en laissant de côté les "héros" précédents qui ne réapparaissent que lorsqu’ils sont en interaction avec le nouveau protagoniste)
    . Malgré cela, Ozon arrive parfaitement à passionner un spectateur effaré par le manque d’écoute dont les victimes font souvent l’objet et par l’omerta des autorités religieuses. Cette réussite est notamment due à une interprétation sans fausse note des personnages principaux (Melvil Poupaud, Denis Ménochet et Swann Arlaud) et secondaires (Josiane Balasko est véritablement excellente). Un très beau film sur un sujet délicat qui est hélas toujours d’actualité.
    patosud26
    patosud26

    109 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 février 2019
    Grâce à Dieu est un film important, et même indispensable de part son sujet. Il est violent, car il dénonce une réalité tellement répugnante qu'elle en est malheureusement taboue. Il est indispensable, justement parce qu'il lève ce tabou, en mettant des mots sur les actes et des noms sur ceux qui les ont commis et sur ceux qui les ont subits. Dans ce film, on apprend beaucoup de choses, sur les réactions des familles, qui parfois peuvent être aussi violentes que les actes de pédophilie, et même sur le désir du prêtre de vouloir être écarté des enfants, car il connaît son penchant. C'est horrible de ce dire qu'il savait, qu'il a prévenu sa hiérarchie, que tout ça aurait pu être évité, mais que, ses supérieurs ne jugeant sans doute pas les actes pédophiles suffisamment traumatisant pour protéger les enfants, n'ont rien fait. Alors, maintenant, est-ce que c'est un bon film ? Oui, parce qu'il n'est pas larmoyant, parce qu'il est sobre et pudique, tout en mettant de mots sur les actes et parce qu'on apprend des choses. Même si ce n'est pas un documentaire, il en fait presque office. C'est un film à voir pour ouvrir les yeux, car la pédophilie est malheureusement présente ailleurs que dans l'église et que là aussi, elle est totalement taboue. Si le film peut en plus permettre de délier les langues de toutes les victimes que les actes aient eu lieu dans les familles, le sport ou la culture..... Ça serait la meilleure des récompenses.
    Dora M.
    Dora M.

    67 abonnés 507 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 septembre 2019
    Très intéressant, film retraçant la chronologie d’une affaire d’actes de pédophilie commis par un prêtre, et dont l’Eglise avait connaissance mais sans les dénoncer. Le film est un peu long, toutes les scènes n’étaient peut être pas nécessaires.
    J’ai aimé le fait que l’on suive un à un les 3 personnages principaux, de manière individuelle d’abord (comment ils revivent le traumatisme, comment ils vivent avec aujourd’hui, comment ils ont construit leur vie autour, etc.), puis de manière collective, en se rassemblant, en discutant ensemble, en confrontant leurs points de vue. C’est aussi ça qui est intéressant : tous n’ont pas le même avis sur la question aujourd’hui, cela permet d’avoir les différents points de vue, et de se faire peut être le sien.
    C’est très bien interprété, crédible, sans chercher à tirer les larmes du spectateur, ce qui aurait pourtant pu être facile vu le sujet. Le film est ancré dans le réel, sans fioriture, on sent la volonté de vérité du réalisateur.
    Ufuk K
    Ufuk K

    523 abonnés 1 486 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 février 2019
    " grâce à dieu " ours d'argent au dernier festival de Berlin, plébiscité par la critique et tire d'un fait authentique est un film puissant mais décevant. En effet le film qui a faillit ne pas sortir suite à une décision de justice souffre de quelques longueurs et un côté un peu téléfilm qui s'avère gênant cependant François Ozon réalise un véritable plaidoyer contre les silences de l'église sur la question de la pédophilie et son hypocrisie avec des acteurs investit dans leur rôle.
    Elisabeth G.
    Elisabeth G.

    185 abonnés 1 086 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 février 2019
    Un film dur mais nécessaire, émouvant sans essayer de faire pleurer dans les chaumières, avec des acteurs formidables.
    Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
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