Il n’aura fallu que quelques années pour que le franchises ‘Conjuring’ qui, à défaut d’originalité, faisait tout de même preuve d’un relatif savoir-faire, s’effondre sous le poids de ses spin-off merdiques. Ici, l’objectif est encore plus clair que pour ‘Anabelle’ ou ‘La nonne’ : draguer le public latino-américain en capitalisant sur un des croque-mitaines locaux. La recette du “Dossiers Warren-multiverse” semble encore plus inamovible que celle des productions Marvel : même concept de la bonne âme qui vient aider la famille désemparée, même obsession pour l’explication des rituels magiques (à refaire chez soi, sous la supervision des parents) mêmes jump-scares moisis, même spectre tout gris qui brame à la moindre occasion, même absence dommageable de toute atmosphère oppressante digne de ce nom...d’ailleurs, c’est simple : flanquez un voile de mariée à la Nonne à la place de la cornette, et vous obtiendrez la Llorona. Qu’un film d’horreur ne soit ni futé ni original n’est pas dramatique, on ne peut pas trop leur en demander non plus : qu’on baille alors qu’on devrait sursauter est beaucoup plus problématique. L’auteur-réalisateur guatémaltèque Jayro Bustamante a lui aussi tiré un film cette année baptisé du surnom de la Dame Blanche : même s’il ne renfermera sans doute aucun élément fantastique, il ne pourra que s’avérer plus stimulant que ce pur produit d’exploitation raté.
En 1973, une assistante sociale s'occupe d'une femme seule élevant ses deux garçons. Un jour, elle découvre les deux enfants enfermés dans un placard, avec des marques sur les bras, et place les enfants dans un hôpital. Le soir même, ils sont attaqués par l'esprit de la "Dame-Blanche" (la pleureuse, plutôt) et leurs corps sont retrouvés dans la rivière. Cet esprit vieux de 300 ans va alors se tourner vers l'assistante sociale et ses propres enfants. Difficile de s'intégrer dans l'univers Conjuring, et de ne pas souffrir de la comparaison. Rien de nouveau pour ce genre de film, qui joue avec le volume et la surprise pour nous effrayer, mais qui ne propose rien de bien intéressant en terme de scénario ou de réalisation. La Dame-Blanche est trop présente à l'écran, trop physiquement réaliste pour faire peur, d'autant que plus on la regarde, plus son maquillage ressemble à un cosplay bon marché. Un film monté à l'envers, qui se dégrade en suspense, en maquillage et en effets spéciaux au fur et à mesure de l'histoire.
En ce moment entre simetierre et ça je choisirai sans aucune hésitations celui là. Il est vraiment meilleur. Le scénario tient la route les acteurs aussi. J’ai passé un bon moment malgré le manque de frayeur.
L'histoire est basique, rien ne fait peur, il n'y a quasiment aucune intrigue. C'est juste un esprit qui tente de prendre le contrôle d'enfants sans rien de plus. Il n'y a aucune scène marquante, le film est mou du début à la fin.
Nouveau volet de l'univers Conjuring, ce dernier commence par une magnifique mélodie religieuse sur fond visuel morbide, comme pour nous mettre dans la parfaite atmosphère. Niveau mise en scène j'avais peur au début de ne pas retrouver l'esprit des "Conjuring" mais ça s'est finalement vite rattraper à mesure que le contenu se découvrait face à nous. Niveau interprétation, c'est pour cela que je suis fan de la franchise, sincérité et crédibilité des réactions, tout y était et chaque scène de tension et de cris fut parfaitement orchestrer. spoiler: Visuellement pour commencer, la formation des logos Warner/New Line est devenu un petit rituel bien sympathique nous montrant ensuite un maquillage funeste de la dame très blanche même pâle. Une version moins glauque quand même de Valak vu qu'elle est blanche et en robe de mariée. Ses apparitions sont très bien mise en scène et la qualité de travail de production de Wan se voit une fois de plus dans les coins techniques. Chaque passage tendu ou de vide laisse plané le doute et l’incertitude même s'il on sait qu'au final on finira par sursauter et se marrer de cette belle frousse. Le final lui est dantesque mais globalement, j'aurais préféré encore plus de jeu de notre mariée morbide et un peu plus de longueurs sur la conclusion. Pour son premier "Conjuring Universe", Michael Chaves nous livre une très bonne version du mythe hantée féminin. Pour conclure car je ne peut simplement pas m'en empêcher, j'ai lu plusieurs critique avec 1 ou 2 étoiles. Certes ça ne plait pas à tous le monde et je respecte cela mais par pitier, s'il ne vous plait pas, n'aller simplement pas le voir et surtout si le CCU en général vous à perdu en route. Vous aurez l'aire moins neuneu dans vos mots et vous perdrez moins votre temps. Moi par exemple, Deapool 3 se fera sans moi et idem pour Shazam s'il revient. CQFD
Vu en avant première ca ce laisse regarder on sursaute bien ça reste un bon divertissement en plus on a droit à spoiler un clin d’œil de Annabelle. Vu que l’action du film se passe en 1973
Après les conjuring, les annabelles et la none, voici un film qui peut être classé comme suite, car c'est les mêmes réalisateur et il y a des clins d'oeil aux films énoncés plus haut,
Linda cardellini est partout en ce moment (green book, avenger endgame, et bloodline) elle se retrouve encore dans un rôle de mere de famille, la elle doit protéger ses enfants, de la terrible dame blanche, on sursaute souvent, mais le souci ce film se révèle un peu désordonné, et la fin est un peu brouillonne, ce film apporte rien a la conjuring saga.
Bien c'est tout ce qu'on peut dire de ce film qui est bien efficace dans son genre. La mise en scène est bien, les acteurs sont convaincants voire très bon et les enfants se débrouillent super bien ! L'image est aussi très belle et les effets de caméra sont très bien trouvé mais on les connait déjà, c'est du copié collé sur James Wan mais on ne va pas s'en plaindre. Malheureusement, les jumps scares sont rarement surprenant, pratiquement à chaque fois je savais quand on allait sursauter environ deux secondes à l'avance. Mais visiblement certaines personnes dans la salle ont sursauté donc ils étaient efficaces pour la plupart. L'angoisse est présente ainsi que le malaise et le son est excellent ! Un moment j'ai vraiment cru qu'il y avait quelqu'un qui démontait le mur de gauche de la salle. Un bon film d'horreur en somme mais sans plus n'y allez pas avec beaucoup d'attente et vous en ressortirez satisfait !
Une mise en scène intéressante, un style de réalisation qui mélange la réalisation de James Wan et Sam Raimi (époque « evil dead ») des plans assez propre et jolie mais une tension inexistante ce qui est bien dommage pour un film d’horreur ! Et si je peux le permettre le doublage des enfants est très mauvais (mais ça c’est seulement optionnel mais privilégier la VO à la VF) !
Les jumpscare pour certains était sympa mais il ne font pas peur! Le film ce fait passer pour un blockbuster avec ces effets spéciaux trop présent ! Et la Llorona fait trop fausse ! Je suis inquiet pour le reste du conjuring universe je pense que Conjuring 3 risque d’être en dessous de ces prédécesseurs... Et je trouve ça dommage qu’en France Warner a décider d’appeler le film « La malediction de la dame blanche » car la dame blanche fait sûrement plus d’entrée il y a tellement d’incohérence à cause de ça !
Histoire peu intéressante et cela ne fait pas du tout peur à part 1 ou 2 screameurs c’est nul pas de profondeur d’histoire et faire toute une histoire d’horreur pour que la dame blanche se fasse tué à coup de couteau cela n’a aucun sens car elle aurait pu mourrir des le début.
Il est vrai que le résultat est très codifié, comme si le réalisateur avait suivi le cahier des charges du parfait thriller d'horreur avec porte qui grince, spectre qui surgit de la pénombre, gens qui volent à travers des pièces et musique sinistre. Il se joue cependant de ces clichés pour mieux les rafraîchir, jusqu'à parfois prendre délicieusement le public à contrepied.
Un film sans surprise, avec un schéma classique : une famille au prise avec une malédiction, et les conséquences qui s'ensuivent. On a donc évidemment les jumpscares qui sont de mise, et le prêtre / exorciste qui aide les pauvres infortunés. C'est là le problème de The Curse of the Llorona : c'est du vu et du revu , et même si l'ensemble est correct, on a peine à s'immerger dedans. La Llorona fait immanquablement penser à la Nonne, ce qui est, il faut bien l'avouer, un peu gênant car elles font partie du même univers et fait donc doublon. Dernière critique sur le nom français du film : je ne comprends pas cette décision, la dame blanche n'a rien à voir avec la Llorona: ce sont deux légendes différentes, autant du point de vue géographique que de l'histoire.