BOX OFFICE 805 476 "La malédiction de la dame blanche"... Une mère jalouse (son mec la trompé) décide de tuer ses enfants mais son chagrin est tel après ce drame qu'elle va devenir un démon...et un cauchemar pour une famille monoparentale américaine. Bonne dose de flippe que voilà! Pas de gore, de monstre défiguré, elle a une sale tête en effet mais les bruits et ses put...d'apparitions m'ont donné plusieurs fois des frissons et pourtant on sait où elle va être cette biiiiip!!! Hum...désolé d'être si grossier, bref même si l'histoire est assez semblable à d'autres, je trouve que le film met de la bonne tension jusqu'au bout et que les situations mette mal à l'aise en tous cas j'ai aimé et ma Choupinette malgré une 2e fois ben elle a frissonné aussi!lol NOTE: 7.25/10
J'en attendais peut être un peu beaucoup d'une production de mon "chouchou" James Wan, toujours dans le coup avec l'univers "Conjuring" notamment. Hélas dans l'ensemble le film m'a déçu. Peut être que ma culture "vieille suisse" est trop à des années-lumières de cette fiction tout droit issue du folklore mexicain, culture à laquelle je me considère pourtant ouverte, et toujours la première curieuse quand il y a des histoires d'esprits démoniaques. Cette légende de la "Llorona" était pourtant fort intéressante et avait du potentiel. Hélas, ce film ne sera pas pour moi mémorable.
On remonte le niveau ! Ce film se déroule dans l'univers de Conjuring avec comme histoire : la dame blanche (pas celle de la France mais celle de La Llorona).
Dans l ensemble dans le film est correct et suis une bonne ligne narrative ! C est un bon point ! L'histoire est accrocheur. Néanmoins, on ressort avec beaucoup de regrets car le film aurait pu être mieux. C est souvent le defaut des films d'horreurs comme celui-ci, ils sont sous développé et mal exploité. Et comme souvent, le film prend son temps sauf sur la fin où tout s accélère trop rapidement. Les dernières minutes font perdre beaucoup de points et c est dommage car en réalité, le film est pas si mal.
Bonne surprise mais film moyen tout de même. Il aurait pu être mieux...
Angoissant à souhait ! J'ai découvert Linda Cardellini dans la série Netflix "Dead To Me" dont je suis complétement tombé sous le charme. Et moi qui espérer la revoir dans un film d'horreur car j'étais persuadé qu'elle serait convaincante dans ce genre de rôle : mère prête à tout pour sauver ses enfants, on peut dire que j'ai été servis ! Pareil pour les petits qui sont assez impressionnants. Mon dieu toutes ces légendes que j'ai pu entendre au sujet de la dame blanche, et qui je dois dire me fond bien flipper… Dès que j'ai su qu'ils allaient sortir un film, je me suis précipité le voir à sa sortie en 2019. Ce film n'est en aucun cas plat, comme beaucoup l'ont trouvé. Pour moi il n'y a aucun temps mort, c'est dynamique. Concernant l'ambiance, c'était vraiment angoissant. Il y a des séquences d'horreur vraiment bien travaillées, que ce soit l'originalité des scènes, les décors ou bien le son… Les 30 dernières minutes sont excellentes, je me suis régalé à l'époque de sa sortie, et en le revoyant aussi !
Et bien voilà un mauvais film de plus pour le Conjuring Verse. On y retrouve les mêmes défauts que l'on avait dans Annabelle et la Nonne : des jumpscares inefficaces, une écriture fainéante ainsi qu'une mise en scène d'une pauvreté absolue. Les décors sont vides ou déjà vu (comme cette maison trop grande pour une famille comme ça uniquement pour rappeler Conjuring) et tout est ultra cliché. Pour rajouter à cela, les acteurs jouent mal, particulièrement les deux enfants présents du début à la fin ce qui rend le visionnage vraiment insupportable. Comme cerise sur le gâteau, le démon et son histoire sont d'un ridicule tel que son apparition ne suscitera que le rire ou l'indifférence. En conclusion, si vous n'êtes pas un grand fan de cet univers, passez votre chemin...
Histoire de se mettre un peu en jambe avant The Conjuring 3, Michael Chaves se lance pour la première fois dans la réalisation d'un long métrage, le tout chapeauté inévitablement par James Wan.
Tout d’abord je pense qu'il n'est pas nécessaire de s’épancher sur le fait que le titre La malédiction de la dame blanche est tout simplement commercial car rare sont ceux connaissent la légende de La Llorona, c'est un détail plutôt logique mais tout juste bon à savoir.
6ème film de l'univers Conjuring et là par contre c'est anecdotique, on ne peut s'en rendre compte que grâce à deux scènes expédiées rapidement et ça ne change absolument rien à l'ensemble du film, enfin on peut toujours prendre ça comme un clin d’œil.
Pour être honnête, je m'attendais à pire, malgré le fait que le personnage de La Llorona n'est pas apporté très finement et a un bagage très peu développé il reste que la réalisation est vraiment sympa, la photographie est belle et quelques idées sont vraiment surprenantes, je pense au parapluie, à la baignoire et d'autres petits détails qui valent le coup d'oeil, les acteurs ne déméritent pas non plus.
Ce qui pèche réellement, c'est le scénario, on va du point A à Z directement, rien n'est surprenant à ce niveau, ça ne prend pas le temps de mettre en place quelque chose, ni une atmosphère ni une suite logique d’événements, les moments de frayeurs sont la majorité du temps anticipés et les jumps scare s'enchaînent soit sans faire peur, soit juste pour le plaisir de mettre un jump scare, et il y en a beaucoup trop.
En résumé et comme je le répète, je m'attendais à pire, mieux que la saga Annabelle, que La Nonne aussi mais loin d'être à la hauteur d'un Conjuring, La Llorona est une espèce de sous Valak qui fonctionne à quelques reprises mais dans l'ensemble, on reste sur sa faim, ça enchaîne trop les jumps scare, ça veut aller trop vite pour au final ne pas réussir à établir une réelle atmosphère de terreur.
ben c'est pas du tout l'histoire de notre dame blanche sur le bord de la route... plutot un mix entre poltergeist et l'exorcisme, mais assez loin quand meme.. sur 1h30,; j'ai rigolé pendant 1h, seul la fin procure , un peu, de frisson, d'attention ... mais tout est si previsible... une simple histoire de fantome tout tout est fait pour faire sursauter le spectateur, sans y arriver vraiment ... mais tout est si previsible...
Alors les CONJURING sont des films d’horreur de très bonne qualité, par contre ses spin-offs, dont celui-ci, ne sont clairement pas bons. Déjà, pour ceux qui connaissent la légende urbaine de la Dame Blanche (fantôme qui longe les routes), ici ça n’a rien à voir. Le film va s’inspirer d’une légende urbaine Mexicaine : la Llorona (la femme qui pleure). Merci à la traduction pour être aussi mauvaise. Pour une fois, je trouvais ça pas mal de partir sur un esprit qui ne soit pas estampillé USA. Mais entre la joie de la théorie et ce que j’ai ressenti en le voyant, il y a un fossé. L’histoire n’est pas terrible du tout. Quitte à choisir un esprit maléfique, il y en avait peut-être des plus palpitants. Surtout que sa mise en scène est maladroite. Dans un film d’épouvante, ce qui est génial c’est l’effet de surprise. À n’importe quel moment l’esprit peut surgir. Dans celui-ci, tout est très cadré. Les différents effets comme la musique nous annoncent « Attention la séquence qui fait peur arrive », il ne manque que les panneaux. Et cela se répète à chaque fois sauf pour le grand final qui est un peu bordélique et qui m’a conforté dans mon opinion négative. Pour ne rien arranger, les acteurs sont assez fades surtout Linda Cardellini. Il n’y a que Raymond Cruz qui sort des sentiers battus et apporte du dynamisme. Afin de nous montrer qu’il y a un rapport avec l’univers Conjuring, on nous balance Tony Amendola dans le rôle du Père Perez avec un flashback de 5 secondes où il tient ANNABELLE.
Michael Chaves aime tout simplement se percher dans les seventies pour suivre aux mieux le même tempo que son prédécesseur James Wan : le père de la saga The Conjuring. On arrive à un moment où on devrait se poser la question à savoir jusqu'où peut aller cette franchise, si on sait par la seule information que les épisodes sont tous reliés à un noyau fondamental : The Conjuring qui, me semble t'il devrait être l'atout majeur qui donne du sens à tout ce qui en dérive à savoir : La Nonne, Annabelle, La dame Blanche... Jusqu'ici la connexion à ses films est à peine visible dans ce que cette franchise semble être dans toute sa totalité. Les épisodes s'enchaînent et ne dévoilent rien sur cet aspect. Au contraire elle présente des épisodes tous aussi indépendant les uns aux autres sans dévoiler rien de concret dans ce qui advienne quant à leur viabilité dans l'univers de The Conjuring. À croire que le seul but de la Warner est d'épuiser toute la licence pour nous contenter uniquement d'un enchaînement de suites épisodiques (pour chaque thème) qui, me semble-t-il (encore une fois) ne mènent guère à des ambitions ultimes amenant les époux Warren à croiser le chemin d'autres arcs préexistants comme se fut le cas dans Annabelle 3. Mis à part Annabelle, La Dame Blanche dans son aspect formel n'a rien de neuf à proposer si ce n'est de calquer le même langage visuel que les deux épisodes originaux de The Conjuring. Michael Chaves essaye tant bien que mal de se hisser à la hauteur du maître sans opter pour une inventivité visuelle qui égale ou qui surpasse celui de James Wan. Tel un James Wan en version fatigué, il restaure les mêmes concepts chers à ce dernier, avec une dame blanche qui n'est rien d'autre qu'un substitue de la Nonne. Et pour tout dire, cela n'est pas tant un défaut pour un film de ce genre du moment où les idées sont bien exploitées dans un scénario qui opte pour de nouvelles perspectives, en plus d'être habillement mené par une capacité inventif à transcrire cela dans un langage visuel adéquat pour créer une réelle adhésion. Malheureusement le scénario ne sachant pas trop quoi parler, ni trop quoi dire de cette dame blanche, n'assume pas les enjeux qu'il soulève : il préfère à notre insu toujours ! retarder l'inévitable, pour nous bénéficier de scènes de frayeur dont la platitude n'éveille aucun sursaut de frisson : on est à des années lumières de ce que faisait James Wan. Les personnages semblent se livrer à eux même dans ce grand déluge de flots horrifiques incompréhensibles pour l'œil qui les voient et convoque plutôt la bêtise (pour le respect de l'intelligence) que le bon sens. Michael Chaves préfère nous tourmenter encore et encore de son savoir faire pas si inspiré que ça, faisant plutôt office de pub pour son CV que d'aller dans la direction souhaitée. Et le plus grand point faible de cette franchise c'est dans sa manière de toujours traiter le sujet de la même façon. Car lorsque James Wan traite de ce genre horrifique, il n'y va pas de manière frontale : il le traite sous le prisme de la possession, laissant en arrière plan le caractère fantomatique (énigmatique) de la chose (l'entité en question) sans trop l'exposé et ne l'utilisant qu'à des fins qui conviennent à la sauce : on se rappelle des apparitions esthétiquement troublantes (pour l'œil) de Valak dans le deuxième épisode de The Conjuring. Ce qui permet de donner lieu à une liaison, une proximité (affective) émotionnelle entre les différents personnages avec une dramaturgie soutenue sans tomber dans une répétition de scènes horrifiques inutiles qui peuvent pourtant céder la place à un développement de personnages plus approfondie. Et c'est ce qui faisait la charme des deux premiers chapitres de The Conjuring. Hélas ! James Wan pose les bases de la cinématographique de l'univers de The Conjuring en sachant bien à l'avance que le seul antidote nécessaire pour garder une certaine pérennité toujours aussi réjouissant, était de prêter attention à ce que les Warren professaient dans leur manière de concevoir le mal sous toutes ses formes, en s'inspirant de leur vécu assez singulier tel une nouvelle façon (historique) de raconter l'épouvante sous de nouveaux traits. Et le génie de Chavez et compagnie n'aura fait que désacraliser la formule pour opter un style de film d'épouvante toujours noyé dans le fantomatique. Le bougre se débattant tant bien que mal avec un scénario d'un vide abyssal ! qu'il aura de quoi envier à La Nonne. Car même si le film aura de quoi nous retenir de notre siège jusqu'à la fin, avec quelques promesses visuelles qui méritent qu'on s'attarde sur le futur de ce réalisateur (James Wan 2.0) qui aura le privilège de prolonger les histoires du couple Warren dans The Conjuring 3 : il ne fait malheureusement pas le poids en donnant l'impression d'être le film le moins abouti de la franchise.
Un film d angoisse réussi à la différence de récent Simetierre . Au moins le cahier des charges est rempli et l ambition de faire frémir fonctionne. La réalisation abuse sans doute un peu de certains effets pour faire sursauter mais c est le but dans ce genre .
Je commence sur ma première impression : ce film suit le courant des films d'horreur modernes tels que Annabelle, Conjuring, La nonne, etc... et ce n'est pas ce que je préfère, avec la photographie terne, trop numérique, des effets de peur faciles, et j'en passe. Mais je dois avouer que celui-ci se démarque des autres de par une peur plus présente le long du film (un peu beaucoup de jumpscares quand même, faut l'avouer...), un humour pour une fois comique qui ne plombe pas l'ambiance horrifique et des acteurs qui sont convaincants. Après, nous n'étions pas à l'abri du côté niais de l'esprit de famille, religion et tout le toutim. Aussi, je me serais bien passé du clin d'œil grossier à un film bien connu de l'univers BlumHouse qu'un certain prêtre devrait vous inspirer. Comme quoi, le business n'a pas de limites. Il faut s'attendre à un univers Marvel horrifique, comme avec les Universal Monsters.
Là j'ai pas compris !!! Un film très mauvais avec que des jumps scare mais tout le temps qui ne fonctionnent pas!!! Le film est grotesque à certains moments (Comme dans la nonne) et les acteurs jouent horriblement très mal et le film ne fait pas peur. Certains de mouvements de caméra sont cool. Bref très décevant.
Nouvelle proposition de l'univers étendu de la saga "Conjuring", "La Malédiction de la Dame blanche" est un film globalement plus que raté. Pourtant, au départ, je me suis dit que l'idée de faire un projet sur une légende aussi mythique que celle de la Dame Blanche pouvait vraiment réussir à inspirer l'équipe du film. Sauf que malheureusement pour nous, en tant que pauvre français, nous nous faisons déjà bien berner avant même d'avoir vu le film. En effet, ce long-métrage n'a rien à voir avec la légende de la Dame Blanche, c'est juste une traduction vite fait pour espérer attirer un peu plus de monde en salles, j'imagine. Une première déception donc, qui va venir s'ajouter à longue liste de points négatifs du film. Clairement, nous avons affaire à un long-métrage d'horreur trop long et complètement ridicule. Et sur ce point, je vise les scènes horrifiques en particulier, celles-ci étant vraiment très tchip pour un film de ce calibre. Rien que l'entité principale est montré comme un démon ridicule et peu impressionnant. On n'avait déjà eu ce même problème avec "La Nonne", où la source de peur faisait bien plus rire que peur au final. Par conséquent, il est donc très compliqué de s'investir dans cette histoire tant tout semble mal géré. Même en dehors de cela, on essaye de nous faire peur avec la recette classique des jumpscares clichés ou une ambiance "glauque", mais qui n'offre aucune surprise. De la même manière, on va suivre des personnages clichés et sans intérêt, au sein d'une histoire vite oubliable. Encore un film d'horreur bien banal et bien classique à souligner ! En bref, le film n'arrive jamais vraiment à convaincre. Il ne fait que se perdre dans des scènes horrifiques toutes plus ridicules les unes que les autres, ce qui donne un résultat extrêmement tchip et déjà vu. Moi qui pensais voir des choses intéressantes au sein de cet univers, je commence de plus en plus à me raviser. Pour conclure, un film a évité.