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jaja77
61 abonnés
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3,0
Publiée le 25 avril 2019
sans plus ni moins, pas le meilleur film d'horreur mais pas le pire non plus de ses quelques mois passées, "la nonne " par exemple que j'avais pas trouvé super. un bon début dans la première partie mais dans la seconde par moments j'ai eu des petits ennuies, mais comme le film dure à peine 1h30 cela m'a pas paru vraiment long. il ne restera pas gravé dans ma mémoire, pour ma part dans le même style j'ai préféré le précédent film" simetierre" vu il y a 1 semaine.
"La malédiction de la dame en pleurs" aurait sans doute été moins vendeur pour cet opus de la saga "Conjuring", mais sans doute plus proche de la réalité. Ah si, le fantôme porte une robe blanche, comme la fameuse dame blanche que l'on pourrait trouver sur le bord de nos routes nationales. Ne vous y fiez pas, on en est très loin, car il s'agit ici plutôt d'un mythe mexicain présenté dans ce film. Bref, passé ce point de détail, il faut reconnaître que ce petit objet d'épouvante donne son lot de frissons, surtout dans la première moitié du film. Le reste peine à tenir la route, notamment dans une dernière partie qui lasse un peu, et peine à trouver un second souffle là où on aurait pu attendre un feu d'artifice d'épouvante. Disons que le film fait le taf, avec quelques bons moments, sans plus.
Inscrit dans la franchise des "Conjuring" et complétant ainsi les spin-off après "La Nonne" et "Annabelle", "La Malédiction de la Dame Blanche" sent le vu, vu et revu ! Bien que produit par James Wan, l'histoire manque totalement d'originalité et peine à nous faire frissonner... Cette malédiction, bien que s'apitoyant sur le sort des enfants, a recours à tous les ressorts horrifiques connus, des jumpscares assourdissants aux rituels prévisibles dans l'obscurité. Pour un amateur du genre, ce film est l'exemple même d'un pur produit de consommation, redondant et ennuyeux, où même les motifs du méchant nous échappent et nous paraissent incohérents. Au début, on laisse une chance à ce fantôme suite une scène d'exposition étrange et violente, mais on réalise bien trop vite que le film se contentera bêtement de faire sursauter les ados en manque de sensations à défaut de créer un scénario plus dense et atypique. D'une banalité affligeante dans son avancée, cette "Dame Blanche" est néanmoins servi par de bons acteurs, notamment les enfants, qui se confrontent à une série d'effets réchauffés, bien que parfois efficaces. Le scénario tourne donc en rond autour d'une seule et même famille victime de ce fantôme et pour un film d'une heure trente, c'est long ! J'ai eu l'impression qu'il a fait effet auprès de plus jeunes et des plus inexpérimentés en matière de film d'horreur mais, quant à moi, j'ai rarement ressenti un tel ennui. "La Nonne", au moins, avait pour particularité un cadre atypique et une ambiance gothique. Ici, le rapport à la religion et à la maternité se confondent dans une abysse scénaristique des plus inintéressante. Et le final en devient presque drôle tellement les clichés s'accumulent. Bref, anecdotique et déjà-vu.
La malédiction de la dame blanche raconte l’histoire d’une femme trompée par son mari qui, par désarroi et par orgueil, a noyé ses 2 garçons dans une rivière avant de se donner la mort. Errant dans les limbes, elle revient dans le monde réel périodiquement pour enlever des enfants à leurs mères et leur faire connaître le même sort tragique.
La malédiction de la Dame Blanche est un film d’horreur américain de Michael Chaves de 2019.
Le film s’inscrit dans l’univers des produits dérivés de la saga Conjuring, aux cotés des aventures pathétiques de la nonne ou d’Anabelle la poupée (1 et 2) qui voudrait faire peur….mais qui n’y arrive pas .
La malédiction de la dame blanche, c’est l’adaptation très libre d’une légende aux variantes multiples dénommée la llorana (la pleureuse), célèbre au Mexique et au Vénézuela.
L’adaptation de Michael Chaves est un produit horrifique standard peu effrayant. Le film ancre son scénario à Los Angeles dans les années 70. Le film essaie, à mon avis en vain, de créer l’angoisse au moyen de nombreux "jump scares", on ne comprend pas bien l’intérêt à agir du spectre et l’ensemble du film s’avère vraiment prévisible.
J’ai également trouvé que le casting n’était pas trop convaincant, notamment l’expérimenté Raymond Cruz qui interprète le chamane exorciste avec un ton vraiment décalé qui sied mal au fait que ce ne soit pas, à priori, une comédie horrifique. On retrouve également Linda Cardellini (Green Book) dans le rôle d’Anna Tate Garcia, la mère de famille.
La malédiction de la dame blanche constitue un nouveau film horrifique qui ne remplit pas ses objectifs, par manque d'audace et de folie et qui renouvelle l'impression de déjà vu, ressentie avec de nombreux films d'horreur sortis sur les écrans ces dernières années.
Un film qui ne renouvelle pas du tout le genre et qui fait que surfer sur la vague des films d'horreur depuis l'arrivée de Conjuring. Les acteurs sont assez lambdas, l'histoire est absente. Il y a quelques moments certes effrayants mais qui ont été facilement mis en scène. Une simple série B.
La dame blanche mexicaine émigrée transportante sa malédiction des siècles bannis aux États-Unis 🇺🇸ne me dit rien, elle ne m’effraie pas, je suis attentive aux incohérences inhérentes à l’intrigue incantatoire. C’est une évidence d’attirer le diabolique comme des mouches par la terre d’eucalyptus démarcation où elle a été enterré. Il n’y a pas aucun moyen de l’échapper mais de cette réalisation, c’est possible, enfin un ouf de soulagement.
Un film d'épouvante dépourvu d'originalité qui porte tous les clichés du genre. Pas de séquence flippante. Les acteurs ne sont pas convaincant et les personnages sont creux même Raymond Cruz ni peut rien. La stupidité remporte la palme même parfois, parfois trop. Scénario pas epais. Pas de rebondissements. Foutu gamine qui veut absolument sa poupée !
James swan a inventé les films d horreurs pour enfants.... apres les tres mediocres conjuring, annabelle, et le moyen La none, la malediction de la dame blanche est le nouvel ennuis de cette fabrique a jump scare (le seul mecanisme de la peur apparemment pour la boite a james swan).
L ambiance est pas mauvaise, mais c est vraiment pas terrible. Il faudrait serieusement qu ils songent a arreter les films d horreurs ces gens.
Mouais, pas mauvais mais tellement balisé que c'en est presque barbant dans la seconde moitié du film. Le début réussit pourtant à mettre quelques jump scares bien sentis, mais c'est à peu près tout. Le scénario est vu et revu, le déroulement aussi, le look du spectre itou, la fin est expédiée, et puis voilà, rien à dire à vrai dire...
Zéro originalité, check-liste des clichés du film du genre intégralement pointée, un énième représentant de la liste de films d'épouvante classés 12 ans classiques. Mais. Si le film ne surprends pas, là où il fait fort par rapport aux aînés c'est que contrairement à beaucoup il démarre dès la première seconde et n'installe non pas l'histoire dans deux premiers tiers où il ne se passe rien pour ensuite avoir l'action au troisième tiers, mais installe l'histoire au milieu d'action. Très rythmé, images agréables, il prend une identité propre quant-à certaines idées de situations d'apparitions et ne laisse pas s'ennuyer, si bien que durant le film, les spectateurs dans la salle ont, dans la globalité, passé un moment sympa. Le film, durant la séance, en faisant abstraction du fait qu'il est cliché, peut arriver à faire passer un bon moment.
Pourquoi avoir cassé ma note? tout le long du film je me suis dit qu'il était bon jusqu'à l'avant dernier instant: l'élément de solution spoiler: trop simple spoiler: (spoiler: la dame blanche censée être "un être surpuissant que rien ni personne n'arrête" disparaît après un simple crucifix enfoncé au calme dans son ventre puis tout le monde est en sécurité) ), 30 minutes de plus après un feinte conclusion aurait sauver la note spoiler: ,mais là c'est beaucoup trop facile . Ainsi si toute sa durée le film a globalement plu, beaucoup des gens avaient changés d'avis une fois le film fini brutalement.
Ce film issu de l’univers Conjuring souffre d’un scénario assez banale du genre et d’un sentiment de déjà vu ; les effets de frayeurs sont pas mal dans l’ensemble malgré quelques facilités et les acteurs s’en sortent plutôt bien .. dommage que l’histoire ainsi que son déroulement , loin d’être inintéressant , ne sortent pas des sentiers battus habituel . Ma note : 5,5/10
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1,5
Publiée le 14 février 2023
Ah, la lègende de la dame blanche, celle qui pleure avec une grande robe blanche! Ces larmes et ces pleurs n'ont plus rien d'èmouvant aujourd'hui! Protègez cependant vos enfants sinon vous pourriez en dècoudre car on y sent ici la brûlure de ses mains! Mais quand Michael Chaves est aux commandes, les productions « New Line Cinema » peuvent se rèvèler ultra codifièes! Un schèma classique de chez classique (pot-pourri de "The Exorcist" et "Poltergeist") avec des jump scares en veux tu en voilà, et des plans d'intèrieur souvent sombres et peu lumineux! Dans le « Conjuring Universe » , on lui prèfère nettement "The Conjuring" (2013) et sa suite! Seule Linda Cardellini tire son èpingle du jeu dans ce produit d'èpouvante alimentaire et sans surprise. "The Curse of La Llorona" (2019) n'est finalement qu'un substitue de "The Nun" (2018), dont Chaves signera la suite prèvue pour 2023! Vous vous y retrouvez ?
Pas le grand film d'horreur que j'espérais visionner, néanmoins "La Malédiction de la Dame Blanche" m'a fait passer un moment de cinéma plutôt agréable. La mise en scène est globalement réussi, notamment en ce qui concerne les apparitions de la fameuse Dame Blanche qui font bien sursauter, le casting s'en sort honorablement et la musique signée Joseph Bishara apporte une bonne dose d'angoisse. Mais malheureusement, il manque à ce long-métrage un véritable scénario car le script se limite a peu de chose et possède pas suffisamment de rebondissements.
On pioche dans le folklore sud-américain et sa légende de la Llorona pour cette énième histoire de fantôme. En dehors de cette particularité culturelle, on reste face à un film d'horreur ultra classique au schéma narratif vu et revu ainsi que des ficelles usées jusqu'à la moelle. Et pourtant, globalement, le frisson est bien là, sporadiquement mais présent tout de même. Simple et efficace mais ne se distingue pas de la masse de films de genre déjà existants.