Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Culturopoing.com
par Eléonore Vigier
Leonie Krippendorff dessine le paysage d’un été à la fois si chaud et si mélancolique, où le soleil tape, ce sont les vacances, l’été est aride, fougueux et transperçant, mais où la lumière exaltante n’est pas sans empreinte de mélancolie et de nostalgie.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Libération
par Camille Nevers
Admirablement écrit, le deuxième long métrage de la cinéaste allemande brosse avec une rare délicatesse le coming out d’une jeune Berlinoise dans la torpeur estivale.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Séverine Danflous
Un film d’adolescence solaire et poignant.
Voici
par La Rédaction
Derrière un pitch un peu convenu de la chronique estivale d'apprentissage, une radioscopie sans démagogie d'une jeunesse occidentale en plein flou identitaire.
L'Obs
par François Forestier
Mélange de vues en iPhone, de saynètes amusantes, de balades dans des quartiers en béton, ce film est un classique récit d’apprentissage, qui n’évite pas toujours la lourdeur (on a compris la métaphore des chenilles assez vite), mais qui possède une fraîcheur sympathique, grâce à des actrices inspirées.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
D’abord séduisant quand il esquisse, à travers une dérive psycho-urbaine, la conscience troublée d’une adolescente dans la moiteur de l’été, Kokon tend ensuite vers un récit d’apprentissage nettement plus écrit, et troque sa jolie errance pour un final calibré.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Une chronique adolescente emballante.
Première
par Estelle Aubin
C’est là toute la grâce du film : restituer un été, un fragment d’adolescence, ensoleillé et tumultueux, vu et revu, sans nous ennuyer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Récit solaire d’une émancipation, le film oscille entre situations crues (menstruation, masturbation) et poésie ouatée. La métamorphose de la jeune actrice, Lena Urzendowsky, que l’on voit mûrir et s’épanouir au fil des séquences, traduit joliment la réussite de l’ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Kokon n’est pas seulement un récit initiatique. C’est un portrait vivant et touchant d’une jeunesse prête à tout pour trouver un sens à son existence de demain.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ce film faussement cash, filmé avec la joliesse insipide d’une publicité, se concentre pourtant sur la timide cadette du groupe, Nora, rétive à la dictature des réseaux et du paraître, et lui offre un roman de formation lesbien soporifique, à l’issue duquel la vilaine petite chenille se sera métamorphosée en beau papillon au contact d’une fille plus âgée, bien dans sa peau, libre et insoumise.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Culturopoing.com
Leonie Krippendorff dessine le paysage d’un été à la fois si chaud et si mélancolique, où le soleil tape, ce sont les vacances, l’été est aride, fougueux et transperçant, mais où la lumière exaltante n’est pas sans empreinte de mélancolie et de nostalgie.
Libération
Admirablement écrit, le deuxième long métrage de la cinéaste allemande brosse avec une rare délicatesse le coming out d’une jeune Berlinoise dans la torpeur estivale.
Transfuge
Un film d’adolescence solaire et poignant.
Voici
Derrière un pitch un peu convenu de la chronique estivale d'apprentissage, une radioscopie sans démagogie d'une jeunesse occidentale en plein flou identitaire.
L'Obs
Mélange de vues en iPhone, de saynètes amusantes, de balades dans des quartiers en béton, ce film est un classique récit d’apprentissage, qui n’évite pas toujours la lourdeur (on a compris la métaphore des chenilles assez vite), mais qui possède une fraîcheur sympathique, grâce à des actrices inspirées.
Les Fiches du Cinéma
D’abord séduisant quand il esquisse, à travers une dérive psycho-urbaine, la conscience troublée d’une adolescente dans la moiteur de l’été, Kokon tend ensuite vers un récit d’apprentissage nettement plus écrit, et troque sa jolie errance pour un final calibré.
Ouest France
Une chronique adolescente emballante.
Première
C’est là toute la grâce du film : restituer un été, un fragment d’adolescence, ensoleillé et tumultueux, vu et revu, sans nous ennuyer.
Télérama
Récit solaire d’une émancipation, le film oscille entre situations crues (menstruation, masturbation) et poésie ouatée. La métamorphose de la jeune actrice, Lena Urzendowsky, que l’on voit mûrir et s’épanouir au fil des séquences, traduit joliment la réussite de l’ensemble.
aVoir-aLire.com
Kokon n’est pas seulement un récit initiatique. C’est un portrait vivant et touchant d’une jeunesse prête à tout pour trouver un sens à son existence de demain.
Le Monde
Ce film faussement cash, filmé avec la joliesse insipide d’une publicité, se concentre pourtant sur la timide cadette du groupe, Nora, rétive à la dictature des réseaux et du paraître, et lui offre un roman de formation lesbien soporifique, à l’issue duquel la vilaine petite chenille se sera métamorphosée en beau papillon au contact d’une fille plus âgée, bien dans sa peau, libre et insoumise.