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    Unfriended: Dark Web
    Note moyenne
    3,0
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    152 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 janvier 2019
    Histoite incroyable. Un tres bon film qui plaira au passionné d'informatique (egalement aux autres) ou de cyber-criminalité . Ce type de film qui se passe a 90% du temps sur ecran est innovant. Une tres bonne experience que je recommande .
    Paul B
    Paul B

    48 abonnés 999 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 novembre 2020
    Un film indépendant, un parti pris artistique, un bon jeu d'acteur, une ambiance à la tension qui monte sans arrêt...

    Qu'importe, on a tous une (ou plusieurs) bonne raison d'aller voir ce chef d’œuvre !
    Greg A.
    Greg A.

    49 abonnés 455 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 janvier 2019
    Un deuxième volet plutôt intéressant et captivant dans l'ensemble , plus thriller que film d'horreur ! l'histoire s'immisce et s'enfonce dans les profondeurs dangereuse de la toile et la façon de filmer a travers l'écran est toujours efficace et rend le tout une nouvelle fois très réaliste .. c'est plutôt pas mal au final même si je pense que ce serait bien de s'arrêter là afin de ne pas tuer la franchise ! Ma note : 6.5/10
    Pierre &
    Pierre &

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 décembre 2018
    Un bon long à démarrer mais bon thriller par la suite.
    Filme de façon originale et déroutante
    Néanmoins je recommande
    Ricco92
    Ricco92

    227 abonnés 2 153 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 décembre 2018
    Unfriended était une belle surprise due à l’originalité de sa mise en scène (le film est au final uniquement constitué d’une capture d’écran où l’ouverture de différents réseaux sociaux et d’autres logiciels compense le découpage cinématographique classique). Toutefois, cette dernière semblait pouvoir rapidement tourner en rond si elle était développée sur plus d’un film. L’apparition d’une suite pouvait donc laisser craindre le pire. Le résultat est donc meilleur que ce que l’on pouvait imaginer (on ne s’ennuie pas) mais le film souffre du manque d’originalité qui caractérisait le premier volet et offre un scénario présentant de nombreuses failles, en particulier une résolution d’intrigue peu claire (pourquoi le clan des Charon a-t-il choisit d’établir un plan aussi tarabiscoté pour s’offrir de nouvelles victimes ?) et des personnages plus lisses que dans le premier. Au final, Unfriended : Dark Web est un film plutôt agréable à suivre mais qui laisse souhaiter que la franchise s’arrête ici afin d’éviter une inévitable redite.
    Rosalie C.
    Rosalie C.

    13 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 décembre 2018
    une tres bonne surprise !!! je n'en attendais rien, et je dois dire qu'il est bien conçu, rythmé, à part les dix minutes du début. je vous le recommande !
    Brf9591a
    Brf9591a

    5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 décembre 2018
    GÉ-NIAL ! l'un des meilleurs films que j'ai vu en 2018, et j'ai un abonnement illimité au gaumont donc j'en ai vu ! XD juste dingue, très bien pensé, la réalisation est géniale avec cette vue "ordinateur" comme si on prenait nous aussi part à cette histoire, tout est très fluide, pas de temps mort... À voir absolument !
    PLR
    PLR

    468 abonnés 1 564 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 décembre 2018
    Sur un registre assez similaire, j’avais déjà également apprécié « Searching, portée disparue » (2018), découvrant pour ma part cette manière de raconter un thriller au travers des fenêtres de la navigation sur un ordinateur. Le plaisir que j’avais eu, aimant aussi à l’occasion traquer dans les fichiers et les identités cachées, s’émousse toutefois un peu ici. Car si ce film a des qualités (de par l’originalité de sa mise en scène et de sa technique narrative essentiellement), il a aussi des défauts qui sont d’ailleurs un peu la conséquence des premières. Malgré une version réputée être originale, les images qui font appel à beaucoup de texte puisqu’il s’agit de conversations en ligne sont en français. Heureuse adaptation car il y a beaucoup à lire et d’ailleurs on n’y arrive pas toujours à temps quand les fenêtres de dialogues se multiplient et se succèdent rapidement. D’autant que, parallèlement, il faut bien que le spectateur francophone lise les sous-titres. Difficile d’avoir les yeux partout. On en perd donc nécessairement. Combien ? Par définition, pas aisé à évaluer puisque c'est autant de perdu. Des éléments essentiels ? Plus ou moins certainement. D’ailleurs, même si on ne perd pas le fil complètement, l’histoire finit un peu par s’embrouiller. Jusqu’au rebondissement final dans la plus pure tradition des thrillers, spoiler: nous faisant retomber sur nos pieds
    . Bien sûr, ça ne marche qu’une fois. C’est un film qui sera apprécié par un public passionné de technologie, d’informatique, de jeux de rôle. L’aspect épouvante est sur-vendu puisqu’il ne s’agit que de traque et de faits divers sanglants.
    Marc R
    Marc R

    17 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 décembre 2018
    Ayant apprécié le précédent, ce nouvel opus axé sur le Dark Web et présenté comme réaliste promettait une bonne expérience.

    Malheureusement, ce film m'a énervé et déplu au plus haut point. En particulier, ce film soit disant réaliste est envahi du début à la fin de totales inepties / choses impossibles. Par exemple, le héros principal reçoit des notifications Facebook alors même qu'il est déconnecté de son compte. Franchement ? ! Les mots de passe sont pré-saisis dans le navigateur Internet, ce qui est strictement impossible (l'utilisateur doit effectuer une action, mesure de sécurité mise en place dans les systèmes Apple précisément pour éviter que des tiers personnes se connectent à vos compte). Une recherche de dossier ne fonctionne pas, sous prétexte que le dossier est caché. Mais un dossier caché signifie simplement qu'il n'est pas visible de l'utilisateur via l'application par défaut. Les autres applications n'ont aucun mal à le trouver. La liste des absurdités est longue, je m'arrête là.

    Au delà des totales inepties techniques -un comble pour un film sensé être réaliste / accès sur le Dark Web-, le scénario est totalement grotesque et peu crédible, tout comme les réactions des personnages à ces évènements inattendus et très dramatiques. Par exemple, la personne qui possédait l'ordi volé utilise des messageries et autres ultra encryptées (logique), mais ne protège absolument son compte de monnaies virtuelles qui contient pourtant plus de 10 million de $. Sérieusement ??? !!! Qui ne protégerait pas un compte avec autant d'argent ??? C'est totalement absurde et peu crédible. Les réactions des acteurs sont aussi grotesques et pas du tout convaincantes. Les acteurs sont-ils très mauvais, ou est-ce simplement le jeu qui leur est demandé ? Le précédent Unfriended avec du surnaturel était bien plus crédible, convaincant et marquant !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 30 décembre 2018
    Une grande déception.
    Tout était réuni sur le papier pour un film reussi. Il en ressort un démarrage mou, des lenteurs à n’en plus finir.
    Ou est l’epouvante dans ce film?
    De nombreux specteurs ont quitté la salle durant la projection.
    J’ai officiellement perdu 1h30 de ma vie.
    Beaucoup de regrets.
    rogerwaters
    rogerwaters

    144 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 décembre 2018
    N’ayant pas vu le premier Unfriended que tous mes amis m’ont déconseillé, je me suis finalement déplacé pour cette fausse suite puisqu’aucun lien ne rattache vraiment les deux films si ce n’est le procédé – devenu un cliché – de ne montrer qu’un ordinateur durant toute la projection. Ici, cela fonctionne plutôt bien même si la première demi-heure est quand même bien longue. Par la suite, le film emprunte le chemin de films comme The Game ou Nerve sur un mode assez glauque. C’est globalement bien foutu, assez tortueux et plutôt bien joué, mais je ne reverrai jamais un tel film qui ne tient qu’à une nouvelle mode après celle des found footage, à savoir celle de se servir des réseaux sociaux pour en dégager l’aspect anxiogène. Apparemment on n’a pas fini de se taper ce genre de film. Celui-ci fait plutôt partie du haut du panier, mais attention, la lassitude risque de vite s’installer face à ces non-films.
    RedArrow
    RedArrow

    1 674 abonnés 1 535 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 décembre 2018
    Le found footage est mort, vive le screen life ! Associé à une sous-catégorie du premier à ses débuts par sa rareté, le screen life (ou film d'écran) paraît de plus en plus avoir pris le pas sur le grand frère dont il est issu tant les films nous installant devant un écran d'ordinateur connaissent une poussée de croissance ces dernières années. Hormis le fait que le format parle évidemment par sa modernité en priorité à un public jeune en s'adaptant à des genres qu'il affectionne plus particulièrement (horreur/thriller), le screen life offre, narrativement parlant, un champ de possibilités bien plus large (notamment par la multiplicité des fenêtres sur l'écran synonyme d'une donne spatio-temporelle importante à son intrigue et d'un moyen parfait pour en maintenir le rythme) que le found footage condamné à laisser tourner sa caméra en temps réel dans l'attente d'un événement. Avec "Open Windows", "The Den" ou encore le récent "Searching - Portée Disparue" (un thriller plus dramatique), le premier "Unfriended" faisait bien entendu figure de pionnier de ce sous-genre amené, on l'imaginait déjà, à se développer au vu du succès rencontré. Pourtant, malgré l'indéniable efficacité de sa forme qui transcendait à peu près tout sur son passage, le premier opus signé Levan Gabriadze était handicapé par une intrigue surnaturelle terriblement banale héritée du found footage adolescent, comme une sorte de prétexte scénaristique facile condamnant presque d'office toutes velléités d'envergure du long-métrage en le réduisant à sa seule notion de film-concept. Trois ans plus tard, comme son titre l'indique, sa suite a l'idée bien plus heureuse de bâtir une histoire ancrée dans la réalité de son propre format informatique en en appelant à tous les fantasmes véhiculés par le dark web. Brrr...

    Avec son nouvel ordinateur, Matias a enfin pu élaboré une application lui permettant de reconquérir le coeur de sa bien-aimée sourde et muette. Mais, au cours d'une soirée jeux avec ses amis via Skype, il découvre que l'ancien propriétaire de l'ordinateur s'adonnait à des activités plus que louches en lien avec le dark web et, pire, qu'il est prêt à tout pour récupérer ses précieuses données laissées sur l'appareil, même à mettre en danger la vie de Matias et ses proches...

    Finies donc les intrigues fatiguées de fantômes revanchards et place à une menace bien plus tangible mais tout aussi mystérieuse ! En effet, à l'instar de ses héros jeunes mais plus mûrs que dans son prédécesseur, "Unfriended: Dark Web" va clairement naviguer dans des eaux plus adultes en jouant avec les zones d'ombres d'Internet sujettes à tous les marchés les plus malsains. Finalement assez proche de "The Den" par la boîte de Pandore aux dangers qu'elle ouvre, cette direction scénaristique vers un mal se basant sur des ramifications technologiques bien réelles se révèle un choix très malin aussi bien dans son traitement que sur sa force de frappe assez perverse envers ses malheureuses victimes.

    D'abord, "Unfriended: Dark Web" ne coupe pas tout à fait les ponts avec le volet précédent, les personnages conversent à nouveau en groupe sur Skype et des clins d'oeil formels y renvoient assez directement (l'intrusion d'un profil anonyme dans la discussion notamment), mais, surtout, si la menace revêt cette fois une forme bel et bien humaine, elle reste abordée comme une force se servant d'un lexique occulte pour conserver son anonymat et agir dans la pénombre informatique. En effet, les adeptes du dark web auxquels vont se confronter le groupe de héros manient aussi bien les références mythologiques (Charon et le Styx comme moyen de rejoindre la face obscure d'Internet) qu'un piratage très poussé (les hackers presque invisibles devant une webcam, un Messenger corrompu par leurs manipulations, etc) et deviennent ainsi des espèces de fantômes à la frontière d'une réalité très contemporaine que le film a l'intelligence de traiter comme tels en en faisant une présence omnisciente grâce à l'outil informatique. Les fantasmes autour d'organisations tentaculaires avides de sang n'ont rien de nouveau et restent un ressort classique au cinéma mais, comme pour "The Den", leur intrusion par un écran d'ordinateur dans le quotidien de protagonistes auxquels tout le monde peut s'identifier véhicule une dose supplémentaire de réalisme qui, ici, puise son énergie à la lisière de la paranoïa des technologies modernes et une violence primaire intimement liée aux instincts de l'Homme et renforcée par une aura de mystère en lien étroit avec l'utilisation de mythes antiques
    Des instincts dont "Unfriended: Dark Web" va d'ailleurs s'amuser à en exprimer habilement toute la perversité. Cela ne passera pas forcément par la nature des fichiers tant convoités par l'organisation qui ne surprendront pas tant que ça les amateurs de cinéma d'horreur (d'autant plus que "Unfriended: Dark Web" se refuse catégoriquement à montrer toute violence explicite comme son prédécesseur, cela en est presque frustrant vu la nature de son sujet) mais plutôt par le sadisme bien pensé dont vont faire preuve les utilisateurs du dark web vis-à-vis de leurs innocentes victimes lorsque le jeu de massacre commence dans la deuxième partie du film. En les repoussant à chaque fois un peu plus dans leurs derniers retranchements à travers des choix terribles ou des mises en scène qui ne reculent devant rien, les méthodes de ces adeptes vont vraiment faire tout le sel de ce "Unfriended: Dark Web" jusqu'à une révélation finale très bien pensée en forme de miroir déformant entre les deux camps en présence et donnant encore une dose de perversité supplémentaire à leurs agissements depuis le début du long-métrage.

    Le screen life en est encore à ses balbutiements et quelques points méritent d'être encore travaillés comme, ici, la relation amoureuse du héros bien trop superficielle (dur de rendre crédible une histoire sentimentalement compliquée avec quelques dialogues et une courte vidéo idyllique, "Searching - Portée Disparue" se montrait bien plus convaincant sur le terrain de l'émotion par exemple), notre attachement assez relatif à lui et à ses amis ou encore la manie qu'a la film d'aseptiser toute forme de violence en la cachant par des artifices à l'écran ("The Den" était, lui, généreux sur ce point). Mais, contrairement à son prédécesseur, l'efficacité dont fait preuve "Unfriended: Dark Web" à utiliser toutes les possibilités offertes par son format si particulier rencontre cette fois un sujet bien plus passionnant et qui, surtout, est lié intrinsèquement à sa structure même. Il en ressort un terrain de jeu assez jouissif, toujours diablement prenant et agrémenté d'un mauvais esprit plutôt pertinent pour mêler les facettes humaines les plus sombres aux bas-fonds d'Internet.
    "Unfriended: Dark Web" fait donc partie de ses rares suites à faire mieux que leur modèle et nous laisse penser que le screen life a de beaux jours devant lui s'il parvient à se rebooter pour gommer ses défauts. À vrai dire, il vaut mieux, le producteur de ces deux "Unfriended", Timur Bekmanbetov, nous promet 14 longs-métrages du genre à venir. En espérant qu'on ne frise pas l'overdose... comme le found footage.
    Bruno d
    Bruno d

    15 abonnés 97 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 décembre 2018
    la belle surprise de cette fin d'année que ce thriller numérique particulièrement efficace et glaçant avec un certain réalisme avec un scénario bien foutu avec ce dark web terrifiant et inquiétant,une vraie pépite ce film de l’écurie blumhouse
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 30 décembre 2018
    Ce film n’étant pas top, j’ai plutôt été déçu par rapport au premier.. film plutôt ennuyeux.. je m’attendais à plus de surprise ..
    scrabble
    scrabble

    34 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 décembre 2018
    une catastrophe à éviter sous peine d’avoir perdu votre temps. un scénario bancal. des sous-titres illisibles. une rapidité dans les textos vitesse grand V et illisibles tellement c’est écrit tout petit. une mise en scène inexistante. vous trouverez le même style et en nettement mieux dans des boutiques de jeux vidéos.
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