Train de vies ou les voyages d'Angélique : Critique presse
Train de vies ou les voyages d'Angélique
Note moyenne
3,6
9 titres de presse
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
Libération
Positif
Télérama
Le Monde
Les Inrockuptibles
L'Obs
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
(...) le dispositif radical et l’effet grisant de la parole produisent un vrai vertige - grâce notamment aux acteurs, Astrid Adverbe en tête.
Critikat.com
par Florian Guignandon
La forme ne joue pas avec elle-même, et demeure en définitive au service de l’humain et des aléas du cœur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
En quelques plans fixes et un cadre unique, une femme voyage à travers ses désirs et ses émois en toute liberté. Tourné en deux temps et trois mouvements, un huis-clos ferroviaire où la vie se voit prise en filature.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Anne Diatkine
(...) [il agit] dans la mémoire comme un rêve, qui se transforme et s’efface au fur et à mesure qu’on y songe. Ce qui tient en haleine, c’est le visage des acteurs - et surtout des actrices -, leur expressivité un brin outrée, leur voix et le texte, qui semble être dit au cordeau et très écrit, avec des expressions d’un autre temps.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Alain Masson
Débauchée ? Dépravée ? Nymphomane ? Ce n’est pas seulement l’évolution des mœurs qui nous empêchent de songer à accabler Angélique de ces insultes, c’est plutôt l’élégance de la conversation.
Télérama
par Jacques Morice
Paul Vecchiali fait du sentiment un bercement permanent, ne cessant de déserter les conventions pour nous transporter ailleurs, avec un minimalisme souverain.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Si ce dénuement et cette frontalité peuvent rebuter, ils n’en confèrent pas moins aux deux films une beauté particulière, qui consiste à inventer à partir de trois fois rien leurs propres codes de représentation. Ainsi peuvent-ils être vus comme des pièces de théâtre, mais dont la théâtralité serait façonnée par les outils du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
L’épure de "Train de vies" accueille élégamment la trajectoire sinueuse de son personnage.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Obs
par Nicolas Schaller
Théâtralité, esprit libertaire, amour du dialogue qui renvoie au cinéma des années 1930 : on aime ou on rejette en bloc.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cahiers du Cinéma
(...) le dispositif radical et l’effet grisant de la parole produisent un vrai vertige - grâce notamment aux acteurs, Astrid Adverbe en tête.
Critikat.com
La forme ne joue pas avec elle-même, et demeure en définitive au service de l’humain et des aléas du cœur.
Les Fiches du Cinéma
En quelques plans fixes et un cadre unique, une femme voyage à travers ses désirs et ses émois en toute liberté. Tourné en deux temps et trois mouvements, un huis-clos ferroviaire où la vie se voit prise en filature.
Libération
(...) [il agit] dans la mémoire comme un rêve, qui se transforme et s’efface au fur et à mesure qu’on y songe. Ce qui tient en haleine, c’est le visage des acteurs - et surtout des actrices -, leur expressivité un brin outrée, leur voix et le texte, qui semble être dit au cordeau et très écrit, avec des expressions d’un autre temps.
Positif
Débauchée ? Dépravée ? Nymphomane ? Ce n’est pas seulement l’évolution des mœurs qui nous empêchent de songer à accabler Angélique de ces insultes, c’est plutôt l’élégance de la conversation.
Télérama
Paul Vecchiali fait du sentiment un bercement permanent, ne cessant de déserter les conventions pour nous transporter ailleurs, avec un minimalisme souverain.
Le Monde
Si ce dénuement et cette frontalité peuvent rebuter, ils n’en confèrent pas moins aux deux films une beauté particulière, qui consiste à inventer à partir de trois fois rien leurs propres codes de représentation. Ainsi peuvent-ils être vus comme des pièces de théâtre, mais dont la théâtralité serait façonnée par les outils du cinéma.
Les Inrockuptibles
L’épure de "Train de vies" accueille élégamment la trajectoire sinueuse de son personnage.
L'Obs
Théâtralité, esprit libertaire, amour du dialogue qui renvoie au cinéma des années 1930 : on aime ou on rejette en bloc.