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PaulGe G
108 abonnés
607 critiques
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3,0
Publiée le 12 juillet 2019
comme il y avait un monde sans Johnny il y a aujourd'hui un monde sans les Beatles c'est un film qui se regarde avec plaisir, sans plus, pas a s'ennuyer, pas a s'exclaffer. l on y "découvre" le monde sans pitié et vorace de la chanson avec ses traits coutumiers, les caractères sans caractères ce n'est pas le meilleur du réalisateur, c'est un film de vacances qui ne fera sans doute pas les anales.
Rom Com sympathique a défaut d'être originale. C'est frais enjoué et l'hommage aux beatles est assez malin finalement. Dommage que l'histoire d'amour soit au premier plan dans ce film car on aurait aimé qu'ils creusent un peu plus sur le monde sans les Fab Four.
Evidemment, au vu du speech on pense forcément à un autre film uchronique, "Jean-Philippe" (2006)... Mais là où "Jean-Philippe" explore les différentes facettes de la célébrité le film du duo Boyle-Curtis s'avère presque hors sujet puisqu'ils signent avant tout une comédie sentimentale classique. En vérité, l'uchronie n'est pas le sujet qui nous a été vendue, elle ne sert que de prétexte à une comédie romantique tout ce qu'il y a de banale, d'autant plus qu'elle est traitée comme une une histoire d'amour adolescente alors que les protagonistes ont tout de même le trentaine. Un hors sujet frustrant que les amateurs de romance excuseront forcément. Site : Selenie
le scenario est sympa, l'idee est bonne, mais tout est tellement telephone, ah la la et sa copine manager, elle en fait trop, j'ai prefere la manager americaine, et son bungalow au bord de l'eau par contre l'acteur principal est tres bon
La bande annonce était très alléchante mais au final un peu déçue du film. Je trouve l'idée originale mal exploitée avec une histoire d'amour un peu nunuche sous-jacente. Pas mal quand même.
Dès les premières minutes, on retrouve l'esprit british, on savoure cet humour, fin, légèrement décalé, sans une once de grossièreté. Il faut dire que l'idée de départ - un monde sans Beattles - offre de magnifiques opportunités, tant pour l'intrigue que pour les situations comiques. Malheureusement, au bout d'une heure, l'intrigue patine ; le héros louvoie entre l'amour et la célébrité, entre le succès et la vérité, et on se désespère que l'histoire soit si raisonnable et ne se permette pas d'aller plus loin dans le surréalisme. C'est agréable mais il y avait vraiment moyen de faire mieux en évitant la nunucherie mielleuse... et en mettant davantage de tubes des Beattles dans la bande-son !
Alors que Laurent Tuel avait fait disparaître Johnny Hallyday dans "Jean-Philippe", Danny Boyle, lui, efface les Beatles des mémoires. Pas la même histoire ni les mêmes circonstances, mais un point de départ assez similaire. Jack Malik ne va pas se mettre à la recherche du groupe, mais plutôt profiter de leur absence pour percer dans la musique grâce à leurs tubes légendaires. Une aubaine pour ce chanteur qui n'avait jamais réussi à faire son trou dans ce milieu. Si Danny Boyle dresse un portrait critique sur ce milieu avec les labels et agents qui sont un peu des rapaces avec leurs proies que sont les jeunes artistes, "Yesterday" est surtout et avant tout une fable romantique sur les rêves d'un jeune artiste et sur sa relation avec Ellie qui n'attend qu'une chose. S'il rend hommage aux Beatles avec ce film en mettant en avant leurs musiques et en montrant leur impact sur la société, le réalisateur aurait pu les mettre encore plus au centre de son histoire. Tout tourne autour d'eux, c'est vrai, et on retrace plus ou moins leur parcours à travers leurs chansons, mais je trouve que l'histoire d'amour prend un peu trop place. C'est mignon, amusant et les acteurs sont convaincants, mais cela manque un peu de consistance en plus d'être un peu longuet. Sans être extraordinaire ou inoubliable, ce feel good movie parvient quand même à nous faire passer un agréable moment.
Faire revivre les Beatles avec un scénario qui semble copié sur le film français "Jean-Philippe" dans lequel Johnny n'aurait pas existé. "Yesterday" est un hommage aux Beatles joué avec sympathie. J'ai du mal à croire que la discographie soit aussi facilement reproductible par un jeune chanteur, mais pour les besoins du film, why not ? Pas mal, on passe un bon moment grâce aux nombreux titres en partie repris. Mais dans l'ensemble, rien de sensationnel, pour moi.
Jack est un musicien à la carrière quasi-inexistante, et s'apprête à abandonner la chanson. Jusqu'au jour où il reçoit un choc, et à son réveil semble être le seul au monde à se souvenir des Beatles. L'occasion pour lui de briller dans le domaine ! Le pitch de "Yesterday" a déjà été traité auparavant (on pense à "Jean-Philippe", entre autres), aussi on attendait de voir ce que Danny Boyle allait faire du sujet. Le résultat est étonnement classique, avec un scénario et une romance plutôt prévisibles, et une mise en scène plus sage que d'habitude chez le metteur en scène. Ainsi, si quelques questions intéressantes sont soulevées sur le fait de sortir aujourd'hui des chansons qui auraient été composées dans les 60's, le film se focalise surtout sur son protagoniste, culpabilisé entre autre par son "plagiat". Néanmoins, le tout est mené avec énergie, les acteurs sont très convaincants (on note la présence d'Ed Sheeran qui fait preuve d'une certaine auto-dérision), et la critique de l'industrie musicale, certes primaire, est tout de même amusante. Signalons enfin qu'il n'est pas nécessaire d'être amateur ni de connaître grand chose aux Beatles pour apprécier le film.
Il faut reconnaître à ce feel-good movie pas mal de charme et de bons moments ! Cette comédie uchronique propulse Jack Malik, un musicien plutôt médiocre mais néanmoins passionné, dans un monde parallèle dans lequel les Beatles n'ont jamais existé. Avec l'aide de sa manager et amie de longue date, il va alors reprendre à son nom quelques grands succès mondiaux de ce groupe de légende et ainsi gravir les échelons vers le succès et la popularité. Le pitch de départ est très original et hyper accrocheur, on sourit très souvent tant cet anti-héros est attachant. Les nombreux tubes des Beatles font plaisir à réécouter, la présence de Lily James et d'Ed Sheeran rajoute une touche délicieuse à tout l'ensemble, on aurait juste aimé une histoire d'amour un peu moins mièvre et prévisible. Séduisant. Site www.cinemadourg.free.fr
Danny Boyle se fait plus sage en s’affranchissant de ses tics de mise en scène. À l’énergie pop-rock qu’il aurait pu insuffler, il préfère la douceur d’une romance un peu mièvre et ennuyeuse. Plus "Yesterday" que "Twist and shout" en somme.
Un peu dans la veine du Jean-Philippe de Laurent Tuel, Yesterday imagine un monde où les Beatles (mais également le Coca, les cigarettes et Harry Potter) n'ont jamais existé. Sur cette idée de départ, le scénario tourne autour d'un musicien qui se souvient des tubes planétaires et les régurgite à la demande. Comédie romantique, Yesterday se regardera tout à fait en amoureux un dimanche soir sous la couette, en chantant les tubes des Beatles, mais également d'Ed Sheeran (qui joue son propre rôle) et d'Oasis.
Un film sympa sans plus. On prend plaisir à suivre la surprise de ce personnage devant l'inexistence du groupe. Les petites touches distillées au fur et à mesure d'absence de produits dérivés est amusante. PLV : Dany Boyle reste toujours efficace
Un feel good movie au scénario ultra convenu malgré une bonne idée de départ et quelques bonnes scènes, mais qui a surtout le mérite de donner envie de réécouter les Beatles en boucle, c'est déjà pas mal !