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    Yesterday
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    499 critiques spectateurs

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    katmde
    katmde

    5 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 juillet 2019
    J'ai adoré ce film du début à la fin,pour la musique, les acteurs, l'humour. Que de bons ingrédients pour faire un film excellent.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 14 juillet 2019
    un très bon "feel good movie", dans la tradition british, avec le grand Richard Curtis au scénario et Boyle aux manettes...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 14 juillet 2019
    Si vous souhaitez écouter les chansons des Beatles il vous suffit d'écouter leurs albums. Le film n'apporte rien de plus d'intéressant.
    Nancy B.
    Nancy B.

    5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juillet 2019
    Excellent moment! Scénario tellement original et qui nous enchante du début à la dernier réplique! 😮 Je mets au défi quiconque sort de ce film et qui ne se jette pas sur les tubes des Beatles!
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    52 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 juillet 2019
    L’idée de départ est séduisante, à savoir un monde où Les Beatles n’existeraient pas. Cette uchronie démarre avec la conjonction d’une coupure électrique de 12 secondes à l’échelle mondiale et l’accident d’un magasinier cariste, Jack Malik (Himesh PATEL), renversé à vélo par un bus, spoiler: lui occasionnant un coma temporaire et la perte de 2 incisives
    . Cela lui permet de se faire passer pour le compositeur des chansons des Beatles [dont le nom tapé sur le moteur de recherche Google aboutit à scarabée (beetle en anglais)] et d’accéder au succès grâce à sa prise en charge par le chanteur britannique Ed SHEERAN (dans son propre rôle). Malheureusement, l’uchronie est « parasitée » par l’histoire d’amour ultra-conventionnelle entre Jack Malik et son manager, Ellie Appleton (Lily JAMES), professeur de mathématiques dans un lycée du Suffolk. Il est vrai que le scénariste, Richard CURTIS, a déjà fait ses preuves dans « Quatre mariages et un enterrement » (1994) de Mike Newell et « Coup de foudre à Notting Hill » (1999) de Roger Michell et a voulu continuer dans la comédie romantique ( spoiler: Jack voit Ellie comme une sœur alors que cette dernière lui reproche de ne jamais lui avoir déclaré son amour en 10 ans
    ), pleine de bons sentiments (dont le sentiment de culpabilité de Jack qui subit ce qui lui arrive, d’un air effaré), ce qui affadit le film. Certes, difficile de développer l’uchronie en l’absence des Beatles ( spoiler: mais John Lennon, 79 ans, est toujours vivant !
    ), spoiler: du groupe Oasis, de Harry Potter, du Coca Cola et des cigarettes
    sur 1h57 (un court métrage aurait suffi) ; on est bien loin de « La vie est belle » (1946) de Frank Capra où Georges Bailey (James Stewart) découvre, avec effroi, sa ville s’il n’avait pas existé. D’où la facilité de faire dériver la réalité alternative vers la comédie alors que les thèmes de la solitude et de l’échec chronique ne sont pas assez développés. Le film se laisse quand même voir sans déplaisir, musique des Beatles oblige (seul le moment où Jack interprète « Yesterday » constitue un moment de grâce), les spectacles étant bien filmés. Sans oublier la satire du monde actuel avec la dictature d’internet, des réseaux sociaux, des foules incultes et du téléphone portable intrusif (nombreuses scènes interrompues par sa sonnerie).
    tupper
    tupper

    132 abonnés 1 378 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 juillet 2019
    On prend plaisir à réentendre les tubes des Beatles en fil rouge d’un scénario un peu convenu malgré l’originalité de l’idée de départ. Humour, une pointe de bashing du système et une mignonne histoire d’amitié / amour complètent le tableau. En résumé un agréable feel good movie d’été.
    Véronique P.
    Véronique P.

    44 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juillet 2019
    Vu en VO, bonne histoire, music, acteurs, à voir sans regret.
    Pas de rapport avec Jean-Philippe bien qu’on puisse y songer.
    Viviane C.
    Viviane C.

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 juillet 2019
    Grosse déception. Le seul intérêt du film est la bande son qui nous fait vibrer avec le répertoire des Beatles. Ed Sheran est le meilleur acteur du film. Scénario un peu simpliste. ´Jean Philippe’ avec Luchini et Johnny Hallyday, bien que film français , était nettement plus intéressant et mieux traité que Yesterday, film léger qui ne laissera pas un souvenir impérissable dans la filmographie de Dany Boyle.
    lavie44
    lavie44

    50 abonnés 431 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juillet 2019
    Une très belle revisite des titres les plus célèbres des Beatles. L’histoire peut paraître décousue mais je me suis laissé prendre. J’ai adoré.
    mat niro
    mat niro

    354 abonnés 1 824 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 juillet 2019
    A la suite d'une coupure d'électricité entraînant pour lui une chute de vélo, Jack va se réveiller dans un monde qui, entre autres, ne connait pas les Beatles. Ce pitch m'a rappelé le film français "Jean-Philippe" où Fabrice Lucchini avait fait le même constat sur Johnny Hallyday à l'époque. Ici, la situation est moins comique, elle retrace l'ascension du jeune Jack Malick qui va reprendre avec succès les tubes du groupe de Liverpool. Malheureusement cette comédie musicale est bien terne, malgré la qualité de chant d'Himesh Patel. Cependant, il y a le plaisir de retrouver Ed Sheeran dans son propre rôle, plein d'autodérision. Pour le reste, ce n'est qu'un film plat, sans saveur, flirtant avec le ridicule concernant cette histoire d'amour "fleur bleue". Bref, le tout part d 'une excellente idée mais se casse les dents comme son acteur principal. Grosse déception!
    hawke1
    hawke1

    1 abonné 38 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 juillet 2019
    Film déroutant pas facile d imaginer une autre vérité mais bien fait et laisse réfléchir sur ce que nous serions prêts à faire pour avoir la célébrité comme changer les paroles d un monument musical agréable d entendre les musiques célèbres des Beatles et amusant de voir ed sheeran dans son rôle enfin presque
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 juillet 2019
    Une comédie musicale estivale rythmée au son des vacances. Été, chaleur, musique, aucun risque en courrant au cinéma pour taper des pieds sur le tempo des mythiques chansons des Beatles avec le sourire aux lèvres. Je recommande !
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 331 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 août 2019
    Alors oui – c’est vrai – parfois je râle peut-être un peu trop. Et parmi ces cibles qui ces derniers temps ont pu recevoir les saintes foudres de mon légitime courroux se trouvent tous ces films qui – derrière un prétexte de biopic – se réduisent souvent qu’à de vastes clips promotionnels pour la ressortie d’un album collector. Alors oui, je râle parce que je trouve ça facile. Je râle parce que la plupart du temps je trouve qu’on oublie de faire un film et on se contente juste de passer un album best-of en boucle. Et enfin oui, je râle parce qu’à chaque fois j’ai eu l’impression qu’il y avait mieux à faire, ne serait-ce que pour rendre hommages aux stars qu’on cherchait à mettre en avant… Alors après, c’est vrai que je peux encore bien entendre que des « Bohemian Rhapsody » ou autres « Rocketman » ne sont pas si désagréables que ça à regarder, mais franchement, maintenant qu’on a ce « Yesterday » sous la main, prenons la peine de comparer un peu les démarches et observons ce qu’on est capable de faire quand deux gars prennent VRAIMENT la peine de rendre hommage aux œuvres musicales qu’ils entendent mettre sur un piédestal. Parce qu’oui, « Yesterday » ce n’est pas seulement ce pitch assez marrant que la bande-annonce a su fort bien mettre en avant. « Yesterday » c’est aussi une autre façon de découvrir les Beatles et surtout c’est aussi une autre façon d’aborder la question de la création artistique. « Yesterday » c’est déjà ce film qui arrive à te rappeler la force primaire d’une chanson, avec notamment cette scène superbe – au début du film – où Jack chante presque au débotté ce titre éponyme. spoiler: Lui le fait comme celui qui (comme nous) a toujours connu cette chanson. Il lui reconnait sa beauté certes, mais il la fredonne comme une habitude, avec justesse mais sans passion car tout le monde connait « Yesterday ». Mais voilà soudainement que dans cette scène, on se retrouve dans la position de celui ou de celle qui la découvre pour la première fois. Et là, soudain, parce que le film nous invite à nous projeter dans la peau du primo-écoutant, toute la singularité de la chanson ressort. La pureté de la mélodie. La justesse des paroles. D’un seul coup on saisit toute la portée du génie de ces quatre garçons dans le vent que furent les Beatles. Car au fond, comme Jack, ils n’ont qu’une guitare et une voix. Mais avec eux, soudain, les choses deviennent limpides, évidentes, touchantes. Et moi c’est justement ça que j’attends d’un film. J’attends qu’il m’offre autre chose que ce que le seul plaisir que la chanson originale apporte. J’attends qu’il m’offre une approche nouvelle, ce que cette scène fait simplement mais avec brio.
    Et pour le coup, cette scène n’est pour moi qu’un exemple parmi tant d’autres. Car l’air de rien, le simple fait de faire se percuter l’un des répertoires musicaux les plus dingues jamais créés d’un côté et de l’autre un simple quidam qui n’a pas forcément grand-chose à faire valoir, cela permet d’arpenter le rapport d’un auteur à son œuvre totalement autrement. Car en procédant ainsi, toute la lecture prophétique disparaît. On ne regarde plus une destinée s’accomplir, réinterprétant le début au regard de cette fin qu’on connait déjà tous. Non : on voit juste un gars normal – ce que tout auteur est – se demander que faire avec cette œuvre qu’il a en lui. Et l’air de rien ce simple postulat permet d’aborder un paquet d’angles intéressants. La frustration de l’auteur convaincu de la qualité de son œuvre mais qui ne parvient pas à convaincre les autres. La frustration aussi de ne plus savoir trouver les justes paroles afin que l’œuvre soit parfaite. L’idée que de nombreux chefs d’œuvre ont peut-être échappés à l’humanité faute de relais pour les faire connaître. Le sentiment de dépossession de ses œuvres, qu’on accepte de voir lacérées par des producteurs qu’on ne veut pas vexer, de peur de louper la seule possibilité qu’on a de tout livrer au monde entier. Le sentiment de dépossession de soi, aussi, car se consacrer à son art c’est parfois accepter de renier d’autres aspects de son existence. Mais enfin et surtout le sentiment d’imposture. Mérite-t-on vraiment autant d’adulation juste pour quelques chansons ? Et sommes-nous vraiment les auteurs de ce qu’on a produit, au fond ? Peut-on vraiment prétendre qu’on a subi aucune influence lors de notre processus de création ? Mieux encore : est-on vraiment à la hauteur de ce qu’on veut atteindre ; de ce qu’on veut transmettre ? ( spoiler: En cela le personnage d’Ed Sheeran est beaucoup plus intéressant et subtil qu’il n’y parait, notamment dans sa capacité à reconnaître qu’il n’est pas capable d’aller au même niveau que Jack et qu’il va falloir qu’il accepte de ne pas être à la « hauteur ».
    ) Certes, en soi, tout ça n’a rien d’original, mais c’est là et ça permet non seulement à « Yesterday » d’être un film dense, mais surtout d’être un film qui parvient à incarner cette simplicité ; à la rendre sensible, palpable, vibrante… Et sur ce point le talent du duo Boyle / Curtis sait quand même bien mener son office… Enfin, quand je parle de duo, en fait je parle surtout de Richard Curtis car je trouve quand même que l’essentiel de la plus-value de ce film vient de son écriture. Pour le coup on retrouve tous les motifs habituels de l’auteur de « Love Actually » ou de « Il était temps » : l’amour innocent à fleur de peau, la valorisation des instants vrais et simple au dépend du faste et de l’artifice, et surtout cette vision particulièrement bienveillante des gens. D’ailleurs, plus qu’un biopic ou qu’un film sur les Beatles, ce film est avant tout une romance comme Richard Curtis sait les faire. Une histoire d’amour ; pour les gens et / ou pour la musique. Dans ce film tout le monde est reconnaissant pour ce qu’il donne et tout le monde est récompensé dès qu’il sait faire l’effort de donner ( spoiler: …jusqu’à Gavin qui se fait piquer sa meuf mais qui, parce qu’il a été bon prince, sait la « céder » pour récupérer derrière une autre nana toute aussi choupi.
    ) Et pour vous dire : ç’en est à tel point que tous les éléments qui m’ont frustré dans ce « Yesterday » sont au final les mêmes que ceux qui m’ont frustré dans le dernier film de Richard Curtis : « Il était temps ». Il y a d’abord l’excès évident de mièvrerie. Je veux bien que Lily James soit trop choumimi et qu’elle doit rappeler à l’ami Richard les débuts de Keira Knighley dans son « Love Actually », mais au bout d’un moment, il faut tout de même savoir mettre des limites. Surtout qu’à contrario l’ami Himesh Patel n’est quant à lui pas si choumimi que ça, la faute à son personnage qui – certes est volontairement tête à claque au départ – mais qui à la fin devient carrément creepy ( spoiler: Eh ! Super ta prise d’otage à la fin du film, Jack ! Tu filmes la meuf que tu kiffes contre son gré ! Tu créés tout un dispositif de pression de masse lors de ta déclaration d’amour et – pire – tu fais ça alors que la nana est engagée auprès d’un autre gars et que ce gars est SPECTATEUR de ladite scène ! Alors OK, peur-être que pour certains c’est #soromantik mais moi, quelqu’un me fait un coup comme ça, je peux te jurer que je déboule sur la scène et que je lui fous ma main dans la face !
    ) Et puis l’autre frustration concernant l’écriture de ce « Yesterday » vient de cet effet de gâchis que déclenche à chaque fois cette floraison d’idées propre aux films de Richard Curtis. Car à côté des pistes intelligemment traitées il y a toutes celles qui sont à peine ébauchées – qui auraient presque pu mériter qu’on en fasse un autre film – mais qui au final finissent comme des lettres mortes. spoiler: Dans ce « Yesterday », la championne des lettres mortes toute catégorie revient notamment à cette piste concernant l’inspiration des auteurs. A un moment, on voit Jack en baver pour retrouver les paroles de la chanson d’Eleanor Rigby. Il cherche et cherche encore mais il ne se souvient plus des paroles. Il se sent même obligé d’aller sur place pour trouver l’inspiration qui lui permettra de retrouver le sens de cette chanson. Or c’est justement à ce moment là qu’Ellie débarque ; qu’il se rend compte qu’il est amoureux d’elle, que quelque-chose se passe et lui échappe. Et là – bim – tout devient évident. Jack va abandonner Eleanor Rigby et compléter les paroles avec ce qu’il ressent pour Ellie. Et là va dès lors se poser la question : cette chanson nouvelle – si elle devient un carton – qui en devient l’auteur ? Les Beatles ? Jack ? Les deux ? A ce moment là vient la possibilité de questionner les sources mutuelles d’influence, l’idée que la musique est un art collectif d’influence mutuelle et difficile à circonscrire en un seul individu ! …Sauf que non. Jack ne va pas recomposer « Eleanor Rigby ». Richard passe à autre chose. Snif.
    Franchement, ce film sent tellement le Richard Curtis à plein nez qu’on m’aurait dit que c’était lui qui avait réalisé le « Yesterday » que je l’aurais cru sans problème. Parce qu’oui, en définitive, moi je trouve que la patte de Danny Boyle ne se ressent pas trop. Certes il a toujours ce sens du rythme inégalable, notamment dans le montage, dans les moments de suspension, mais aussi dans cette capacité qu’il a parfois à donner provoquer de vrais décharges sensorielles (J spoiler: e pense notamment à ce climax lors du concert final. D’un coup, toutes les lumières de téléphone se rallument, les cris s’enflamment, tout s’embrase très vite, comme pouvait le faire par exemple le jardin botanique dans « Sunshine ». Pour ce genre de petits montages frénétiques, je dois bien avouer que je suis très criant de Boyle.
    ) Le problème c’est qu’il y a aussi des fioritures que je ne comprends pas, notamment ces dutchs angles qui popent un peu n'importe quand et n'importe comment ou bien encore ces noms de lieux ou titres musicaux qui s’incrustent dans le décor d’une manière assez hideuse. Non seulement je ne comprends pas l’esthétique assez hideuse de la chose, mais en plus – à bien y réfléchir – je trouve vraiment que ça n’apporte rien ; seulement de l’information très superficielle et clairement dispensable. Mais bon, l’un dans l’autre je pense que vous l’aurez malgré tout compris : moi ce film je l’ai beaucoup apprécié. Et je l’ai beaucoup apprécié parce que, bien qu’au fond assez simple, il est parvenu à trouver cette petite idée de génie qui lui permet d’être bien plus qu’un simple spot promotionnel pour un énième album collector. D’ailleurs, à bien y réfléchir : n’est-ce justement pas à ça qu’on reconnait les vrais artistes ? Ceux qui, avec peu de choses, sont justement capable de faire quelque-chose qui sort du lot ? …N’est-ce pas Bryan Singer ? Mais bon… Après, ça ne reste que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    Nat Torres
    Nat Torres

    7 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 juillet 2019
    Imaginez un monde dans lequel vous seriez seul à vous rappeler de l’existence des Beatles ! Yesterday est une comédie romantique dans laquelle, Jack Malik, un musicien sans succès va réussir à percer en s’appropriant les titres du légendaire groupe de rock. Va s’en suivre un réel dilemme moral pour le personnage. A-t-il le droit au succès malgré cette imposture ?
    Les acteurs principaux sont très bons. L’alchimie entre Himesh Patel et Lily James fonctionne très bien. Les personnages secondaires sont beaucoup plus clichés, certainement dans le but d’ajouter un impact comique.
    La réalisation est plutôt osée avec notamment les gros titres en couleur qui se baladent au milieu des scènes. Les plans sont originaux, particulièrement ceux qui filment les personnages en biais.
    Quel dommage que le film nous ait montré 75% du scénario dans la bande annonce ! Les 25% restant concernent la romance avec Ellie dont nous imaginons l’issue dès le début du film. Ce point négatif créait inévitablement des longueurs et un sentiment de déjà vu omniprésent.
    Vous passerez certainement un bon moment devant cette comédie qui a le mérite d’oser des choses, d’autant plus si vous êtes nostalgique des Beatles.
    Damien H.
    Damien H.

    13 abonnés 344 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 juillet 2019
    A la fois drôle, humain et touchant, ce film est un pur régal.
    L'humour so british est omniprésent, notamment par la présence toute en auto-dérision de Ed Sheeran.
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