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Un visiteur
4,5
Publiée le 4 juillet 2019
un très bon moment. une histoire intéressante bien que déjà vu ailleurs "que serait notre monde sans avoir connu ceci". Des revisites intéressantes et pleines d'emotions avec des succès des Beatles. Et une réflexion de fond sur le succès et le plagiat.
Un duo de comédiens au top , réalisation et intrigue intéressante .. Danny Boyle signe un feel good movie tout en subtilité respirant la bonne humeur ! Ma note : 14/20
idée de départ plutôt pas mal et qui a au final pas grand intérêt si ce n'est de donner une petite comédie romantique et une pseudo moral sur le start système. les fan des beattle devraient eux si retrouver.
Une jolie petite romance à l'humour so british. L'idée de départ est originale et bien exploitée. Caser la bonne chanson des Beatles au bon moment dans le film a dû être un sacré casse tête, mais c'est très très bien fait. On s'attache facilement aux sympathiques acteurs, qui sont très bons. Au passage, le film fait aussi réfléchir aux rapports humains à travers l'amitié, l'amour, la sincérité, etc... Sacré bonus, un rôle très très sympa pour Ed Sheeran, qui visiblement a le sens de l'autodérision. Evidemment, c'est un régal d'entendre quelques uns des plus grands airs des Beatles. Simple, efficace et drôle, un très bon film.
Poussif, plat, surjoué. Quel ennui.. on est loin d'un "New York Melody". Seul réel intérêt, le film redonne envie d'écouter les Beatles, en particulier le générique de fin.
L'idée du film est géniale.... un monde sans Beatles ! Rien à dire. Mais l'amourette, la manager Cruella, etc etc c'est trop caricatural, trop nunuche. Dommage je m'attendais à mieux de la part de ce réalisateur... Ceci dit,les chansons des Beatles restent magiques, mais ça, il n'y est pour rien ;-)
Et si les Beattles n’avait jamais existé ? Jack Malik, chanteur sans sucés, se réveille après un accident avec un bus et une coupure de courant mondiale dans un monde où les Beattles ont été complètement oubliés. Il décide de s’approprier leurs chansons et va connaître un sucés mondial aussi fulgurant qu’inattendu.
Il est difficile de ne pas faire le lien pour nous Français avec JEAN PHILIPPE où Fabrice Luchini se réveillait également dans un monde où Johnny n’existait pas. Alors qu’il retrouvait Jean Phillipe Smet pour le transformer en Johnny, Jack Malik va complément plagier les Beatlles qui n’existe pas. La question du plagiatspoiler: (avec deux personnages dont on se demande ce qu’ils font là ), tous comme celle de la musique buisness est largement éludé au profil d’une comédie d’été qui se doit d’être légère à l’image de la romance entre les deux personnages principaux.
Le touche-à-tout Danny Boyle (qui ne touchera néanmoins pas à l’agent 007 suite à des différents artistiques) à qui l’on doit des œuvres aussi différentes que « Slumdog Millionnaire », « Trainspotting » ou « Sunshine » s’associe à l’un des cinéastes les plus reconnus outre-Manche, Richard Curtis (« Love Actually », « 4 mariages et un enterrement », …) pour revisiter sous la forme d’une comédie très légèrement mâtinée de fantastique le répertoire du plus connu des groupes de rock, leurs compatriotes les Beatles bien sûr. On y voit donc un jeune musicien raté se réveiller après un accident et découvrir qu’il est le seul à se souvenir des chansons du groupe. Il va les utiliser pour les ajouter à son répertoire et ainsi connaître le succès. Il est clair qu’avec un tel postulat, original et musical, « Yesterday » mettait toutes les chances de son côté pour être le feel-good movie de l’été comme savent si bien le faire les anglais, entre rires et émotion. Mais si on passe un relativement bon moment, force est de constater que cette merveilleuse idée de base n’est pas toujours exploitée comme il le faudrait. Le potentiel, surtout comique, d’un tel pitch est vite remisé de côté pour s’attarder sur une romance sympathique mais qui n’est pas le sujet premier du film et sur une success story dans l’industrie musicale déjà vue et revue. Pourtant il y avait matière à de nombreux gags avec chacune des chansons du riche répertoire des quatre garçons dans le vent. Et les rires provenant du décalage entre le protagoniste principal et le reste des personnages qui ne connaissent pas du tout les Beatles n’est pas vraiment au rendez-vous. Le plus drôle reste la disparition d’autres choses dont on vous laisse la surprise ainsi que quelques clins d’oeil. Et c’est plus amusant que véritablement drôle. On est donc mitigé sur l’entière réussite de ce film qui avait pourtant tout pour lui au démarrage et on ne peut s’empêcher d’être déçu.
Les seconds rôles sont souvent prompts à être les vecteurs principaux d’humour dans les comédies anglaises qu’elles soient romantiques ou non. Ici, ils ne sont pas assez dessinés, pas assez nombreux et surtout pas vraiment marrants. On ne retiendra que Kate McKinnon en agent opportuniste et sans pitié qui, si elle n’est pas vraiment à mourir de rire, évite la caricature et se dote des meilleures répliques du film. La partie comédie romantique n’est pas la plus palpitante qui soit mais elle réussit à sortir un peu des ornières du genre et des sentiers battus. Quant à la satire de l’industrie de la musique, il faudra repasser, c’est bien trop niais et surtout balisé comme jamais. Mais ce qui est le plus regrettable c’est qu’on n’a pas l’envie de chanter et danser quand Jake reprend les tubes des Beatles. Un comble pour un film comme celui-ci. Si on se rappelle bien, il y à peine un an, « Bohemian Rhapsody » nous faisait remuer nos fesses sur les sièges des salles de cinéma alors que c’était juste un biopic musical. Il y a donc un problème au niveau de ce qui se passe (ou pas) entre l’écran de cinéma et le spectateur. On peut trouver de bonnes idées de-ci de-là comme les quelques personnes qui se souviennent aussi ou encore l’incursion d’Ed Sheeran et de son univers. Mais du dénouement prévisible à une réalisation plutôt plate pour un bonhomme comme Danny Boyle, on ne pouvait qu’attendre mieux de « Yesterday ». Malgré tous ces défauts majeurs, on ne peut s’empêcher de passer un bon moment et les deux heures du film passent plutôt bien. Peut-être davantage destiné aux inconditionnels des Fab Four.
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Partant d'une idée originale et réalisé par Dany Boyle, Yesterday avait beaucoup d'atouts dans sa manche pour faire un bon film. Mais voila, trop de bonnes intentions nuisent au propos. Le developpement du couple prend beaucoup de place, au détriment du reste, à savoir comment le personnage principal ressent ce plagiat éhonté mais néammoins "légal". Les acteurs jouent bien, le film bénéficie, sujet oblige, d'une BO "Beatlelesque", on apprécie ou pas. Le film est bien, on passe un bon moment mais encore une fois certains sujets sont survolés alors que d'autres sont poussés à l'excés. Certains personnages ne servent pas à grand chose, le copain qui est la notion comique en tête. Reste une curiosité, à défaut d'une nouvelle référence dans le genre.
Un divertissement léger, qui fait sourire, moralisateur et qui surf sur la nostalgie des Beatles ou de l’époque des Beatles. Il se laisse voir avec plaisir. Cependant j’ai été déçu par une promesse non tenue. Critiques, bandes annonces et autres vous parlent d’un homme dont la renommée se construit sur la bande son des Beatles qui n’existent pas (plus) dans son monde et l’on a l’impression que le film sera une immersion dans cette bande son. En fait, tout va rapidement et de manière bien trop succincte à mon goût pour ne laisser place finalement qu’à la véritable histoire de fonds : sa flamme pour son manager. De fait c’est plutôt une histoire d’amour sympa rythmée Beatles qu’un film sur la création d’une star qui exploite la bande son des Beatles.
Ce film se partage entre moments très moyens et moments franchement médiocres. Malgré tout, Lily James arrive à tirer son épingle du jeu dans le rôle de Ellie.Appleton.
"Shape of you" aurait été un bien meilleur titre pour ce film... On entend autant (plus ?) d'Ed Sheeran que de Beatles. Étrange choix que de caser du Sheeran pendant deux heures dans Yesterday, un film dans lequel un petit chanteur (très sympathique) se réveille dans un monde sans Beatles (équivalent du film "Jean-Philippe" avec Johnny Hallyday). Marketing ? Sûrement, vu les hordes de fans qui gloussaient toute la séance... Au final, on s'étonne que ce film soit de Danny Boyle, réalisateur qui a autrefois été époustouflant (ne serait-ce que Slumdog Millionnaire), car ici la forme-même du film fait défaut : aucune émotion, la transition entre le monde normal et le monde "anormal" est mal amenée, jamais expliquée (s'il y en a qui se demandaient pourquoi cela était arrivé à cet homme, pourquoi les Beatles... On vous dira juste "c'est comme ça. Point."), il y a très peu de chansons des Beatles (à peine quatre ou cinq chantées plus d'une minute... les autres sont juste citées pour les connaisseurs, et la chanson complète du générique nous fait nous apercevoir qu'on n'en avait pas eu une seule entière jusque-là, un fiasco). Les acteurs ne sont pas tous bons (désolée pour Sheeran qui n'est utilisé que pour un fan-service gênant, sans rancune j'écouterai toujours ses tubes, dans un vrai bon contexte... Et Kate McKinnon en fait des tonnes, son rôle hystérique est épuisant), les moments de tendresse sont presque toujours interrompus par un gag lourd (l'ami qui s'incruste, le bouche-trou Kevin qui est en arrière-plan...), et le final me semble (pour ma part) assez triste :spoiler: il se contente d'un monde incomplet et qu'il ne comprend pas, un défaitisme qu'on masque par deux adorables bambins et une musique joyeuse . L'acteur Himesh Patel est tout de même attachant et chante bien, les rares fois où on l'entend. Malgré ce sympathique acteur principal, "Yesterday / Shape of You" est un film maladroit qui ravira surtout les groupies d'Ed Sheeran.
comme il y avait un monde sans Johnny il y a aujourd'hui un monde sans les Beatles c'est un film qui se regarde avec plaisir, sans plus, pas a s'ennuyer, pas a s'exclaffer. l on y "découvre" le monde sans pitié et vorace de la chanson avec ses traits coutumiers, les caractères sans caractères ce n'est pas le meilleur du réalisateur, c'est un film de vacances qui ne fera sans doute pas les anales.