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Votre avis sur The Woman King ?
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Inspiré d'une histoire vraie, ce film relate bien la tribu Agojie en nous montrant leurs coutumes et leurs techniques de combat. Dès l'instant, on nous fait décourir l'ambiance, l'ethnie de l'Afrique du 19ème siècle.
Bien que le fil conducteur ait l'air classique, d'un déjà-vu, on est intrigués par le contexte et on aimerait rester jusqu'au bout (c'est ce que j'ai ressenti en tout cas). Les costumes sont bien faits, la musique a un côté tribal correspondant à l'ethnie et les hémorragies sont très bien faites et en deviennent vraies.
Le casting est en général très bon : Viola Davies est un bon choix pour incarner la cheffe du clan, John Boyega fait un bon roi et a un bon caractère et Lashanna Lynch, depuis "Mourir peut attendre" et "Captain Marvel", reste une très bonne nouvelle tête qui sait s'encrer à l'écran et son personnage reste un des meilleurs du film spoiler: malgré sa mort.
"The Woman King" est ainsi une petite surprise qui marche bien, un "anti-Marvel" de "Black Panther" et je trouve qu'il mérite une meilleure reconnaissance que son flop au box-office et un peu plus de prix.
Bien que le fil conducteur ait l'air classique, d'un déjà-vu, on est intrigués par le contexte et on aimerait rester jusqu'au bout (c'est ce que j'ai ressenti en tout cas). Les costumes sont bien faits, la musique a un côté tribal correspondant à l'ethnie et les hémorragies sont très bien faites et en deviennent vraies.
Le casting est en général très bon : Viola Davies est un bon choix pour incarner la cheffe du clan, John Boyega fait un bon roi et a un bon caractère et Lashanna Lynch, depuis "Mourir peut attendre" et "Captain Marvel", reste une très bonne nouvelle tête qui sait s'encrer à l'écran et son personnage reste un des meilleurs du film spoiler: malgré sa mort.
"The Woman King" est ainsi une petite surprise qui marche bien, un "anti-Marvel" de "Black Panther" et je trouve qu'il mérite une meilleure reconnaissance que son flop au box-office et un peu plus de prix.
magnifique , traditionnel, spirituel, lien familiaux, puissance féminine, tout est réuni dans ce film
The Woman King raconte l’incroyable destin d’une tribu et son armée de femmes qui lutte pour l’indépendance de l’Afrique, la fin de l’esclavage et les droits des femmes. Nanisca, cheffe de la tribu forme ainsi les nouvelles guerrières et va rencontrer Nawi. Une rencontre qui va réveiller des souvenirs douloureux. C’est un très beau film, captivant et avec une réalisation efficace.
Un film de guerrières assez classique dans son ensemble mais porté par un casting principal très solide. The Woman King, sans révolutionner le genre, reste un divertissement efficace et assez nerveux pour tenir le spectateur en haleine. La réalisatrice sait parfaitement pousser ses personnages féminins dans l'émotion mais peine tout de même à diriger et écrire correctement ses protagonistes masculins.
Film divertissant très bien conçu à part quelques bizarreries dans le scénario
spoiler:
(une dent de requin dans le bras? sérieux)
.Bonnes actrices et scènes de combat bien réalisées.
.Bonnes actrices et scènes de combat bien réalisées.
Très crédible, puissant, bien joué, vraiment super! Qu'est-ce qu'elles sont belles et fortes ces femmes! Ca fait plaisir de voir des gros costaud se faire botter les fesses par elles :)
"La dernière survivante connue des Mino est une femme du nom de Nawi. En 1978, lors d'un reportage dans le village de Kinta, un historien béninois rencontra Nawi, qui disait avoir combattu les Français en 189210. Nawi est morte en novembre 1979, âgée de plus de 100 ans10. "
"L'historien béninois Arthur Vido a montré que les femmes enrôlées dans les troupes n'étaient pas toutes vierges. Des Mino en fonction ont eu des rapports sexuels dans le cadre d'une mission royale ou pour simplement assouvir leur désir. Les rapports sexuels semblent avoir été punis de mort. Ceci étant, la prononciation d'un vœu de célibat devant la divinité Dewin qui était censée provoquer une grossesse certaine chez les amazones ayant enfreint la règle de chasteté, la pratique de l'excision pour prétendument ôter leur attrait aux relations sexuelles et la décision de leur faire prendre des liqueurs contraceptives ne les ont pas toujours empêchées d'avoir des amants".
"La dernière survivante connue des Mino est une femme du nom de Nawi. En 1978, lors d'un reportage dans le village de Kinta, un historien béninois rencontra Nawi, qui disait avoir combattu les Français en 189210. Nawi est morte en novembre 1979, âgée de plus de 100 ans10. "
"L'historien béninois Arthur Vido a montré que les femmes enrôlées dans les troupes n'étaient pas toutes vierges. Des Mino en fonction ont eu des rapports sexuels dans le cadre d'une mission royale ou pour simplement assouvir leur désir. Les rapports sexuels semblent avoir été punis de mort. Ceci étant, la prononciation d'un vœu de célibat devant la divinité Dewin qui était censée provoquer une grossesse certaine chez les amazones ayant enfreint la règle de chasteté, la pratique de l'excision pour prétendument ôter leur attrait aux relations sexuelles et la décision de leur faire prendre des liqueurs contraceptives ne les ont pas toujours empêchées d'avoir des amants".
Roub E.
Il y a de l aventure, du grand spectacle et des actrices talentueuses. Ces aspects font que Woman King n est pas un échec malgré son aspect factice. J ai tout le long du film eu l impression que c était une vision fantasmée et américanisée de l Afrique au 18e siècle. Je prendrais l exemple de la musique qui ne m a pas du tout paru correspondre au récit. Le film a visiblement des moyens mais il manque cruellement de singularité, son scénario paraît tout le long cousu de fil blanc, et l ensemble fini par devenir quelconque.
elriad
Tourné en Afrique du sud, ce survol du royaume du Dahomey, aujourd'hui Bénin, se regarde sans déplaisir même si l'on est clairement dans " le Dahomey made in Hollywood". La réalisation semble avoir voulu cocher toutes les cases d'un cahier des charges: Danse, chant, batailles, féminisme, sentimentalisme, filiation, confrérie.
Ne pas s'attendre donc à un pan d'histoire revisitée, ni encore moins à une étude psychologique approfondie de ce qui fait une amazone. Plutôt décevant.
Ne pas s'attendre donc à un pan d'histoire revisitée, ni encore moins à une étude psychologique approfondie de ce qui fait une amazone. Plutôt décevant.
Ma critique se base uniquement sur ma propre perception de l'histoire, sur les décors, sur le casting, sur la beauté de la réalisation. Car je ne connais en aucun cas la réelle histoire de ces femmes guerrières. Les scènes de combat, la musique et les actrices sont excellentes.
shindu77
Film intéressant dans son ensemble. L'histoire est bonne et le casting est très bon dans son ensemble. Mon seul bémol se situe au niveau de la mise en scène car un peu trop de longueurs ce qui ne permet pas de meilleur mettre une meilleure note.
Très bon film d'action ou on ne s'ennuie pas une seule seconde. Viola Davis, excellente comme d'habitude à la fois puissante et blessée. On s'attache à cette équipe de guerrières. J'ai vraiment passé un très bon moment.
Film d'aventure efficace , à la mise en scène discrète, classique et élégante , bine interprété : on passe un bon moment, avec en toile de fond un contexte historique original . Néanmoins Hollywood ne peux s'empêcher d'accumuler les clichés et les fantasmes quand il traite de l'Afrique. En filigrane , c'est bien sûr un film sur l'Amérique contemporaine , rongée par ses démons .
Il fautécrire 100 caractères pour publier :) juste écrire alors que ce fil est un grand film humain. J ai tout aimé. En fait je n ai rien à dire sauf allez le voir.
Audrey L
The Woman King, c'est l'Histoire de l'Afrique, revue et corrigée par Hollywood, aussi ne pensez pas voir une histoire vraie, on a bien affaire à une intrigue très (très très) romancée. On débute par un petit carton qui nous résume la guerre civile en 1823 entre le peuple des contrées Oyo (aidé des Mahi) et le peuple du Dahomey (et ses guerrières Agodjiés menées par Nanisca), avec cette sensation dérangeante que l'on a déjà pris parti pour le Dahomey (mais cette vision manichéenne nous étonne : dans le sac de nœuds que sont les relations de peuples africains, il est impossible de donner raison ou tort à quiconque). Mais The Woman King est malin, très malin, et va jouer sur tous les mots qu'il prononce, pour ne pas sembler mentir à son spectateur : il distille une petite scène de rapt d'esclaves "en représailles de leurs propres agresseurs" au début du film, il fait dire à Nanisca tout le propos bienpensant sur l'arrêt de ce commerce (pour éviter de le généraliser à tout le Dahomey, ce n'est que l'avis d'une guerrière)... Dans les faits, nulle Nanisca n'a été générale de guerre et encore moins "Femme-Roi" (trahison !), le Dahomey était le premier exportateur d'esclaves, et devinez qui étaient les "cueilleurs d'hommes"...les Agodjiés. L'image des femmes du film est égratignée. Mais voilà, après qu'on a lâché l'affaire sur le côté "pas tout à fait menteur" (il ne dit que l'inverse de la vérité par petites gouttes distillées dans un océan de divertissement qui fonctionne), on remarque que Viola Davis est à fond dans son rôle, qu'on aime la vision (même totalement fausse) de femmes guerrières fortes qui tuent pour mieux préparer la paix, que la mise en scène est bonne, que les combats à la machette sont un retour aux sources (si l'on peut dire) qui nous tapent dans l'oeil (coincé entre deux films de superhéros à gros effets numériques), que les guerrières sont des gueules impassibles qu'on aime revoir de bataille en bataille, et que l'on n'a pas vu le temps passer. L'oeuvre se permet de rajouter un drame familial qui s'insère bien dans l'ensemble, ce que l'on n'attendait pas. Au final, The Woman King n'est pas bien malveillant, il n'est qu'une superposition des fantasmes américains modernes sur un peuple africain. Mais son divertissement est vraiment réussi, son actrice est l'incarnation de son personnage (pour une fois que Viola Davis tire la tronche tout le film, pour un rôle qui le lui demande ouvertement), les combats sont violents juste ce qu'il faut pour asseoir la puissance de ces femmes guerrières, et même si l'on sait qu'on nous ment, on aime bien la fin.
Un bon film d'action avec un bon jeu des actrices principales. Dommage que les scènes de combat soient si exagérées et que l'histoire soit si prévisible...
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