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Bel L
2 abonnés
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0,5
Publiée le 27 décembre 2022
Franchement en bruit de fond ça passe mais rien d'autre très dessus de Disney par ce dessin animé même l'histoire trop tiré par les cheveux pour les enfants
Ce soixante-et-unième classique d'animation Disney, qui est le second à sortir directement sur Disney+ après "Raya et le dernier dragon", réalisé par Don Hall, n'est pas mal du tout ! J'avoue d'ailleurs avoir été surpris par les avis plutôt négatifs, aussi bien venant de la presse que des spectateurs. Néanmoins, je peux tout à fait comprendre ces points de vue car il est vrai que nous ne sommes pas dans un Disney des plus original ! C'est effectivement ici l'histoire d'un père et de son fils qui partent explorer la terre d'Avalonia pour tenter de la sauver. C'est donc clairement un film très convenu qui ne prend une nouvelle fois aucun risques. Effectivement, Disney déballe ici un discours des plus écologiques mais également des plus progressistes, notamment avec le personnage gay. Ceci-dit, cette partie est plutôt bien incorporée dans l'intrigue car elle n'empiète pas sur l'intrigue principale et puis surtout, le personnage est traité exactement de la même manière que s'il avait été hétérosexuel, contrairement à beaucoup de productions faussement progressistes qui mettent l'accent là-dessus afin d'être bien vues et de remplir un cahier des charges (ce qui est aussi le but de Disney, on ne va pas se mentir). En revanche, toute la partie écologique est beaucoup moins subtile ! Nous avons en effet un discours très balourd dont la morale est, en gros, de protéger notre monde au lieu d'en chercher un autre. Cette morale met également en avant le fait de devoir faire des sacrifices qui chambouleront certes toute la société telle qu'on la connait mais qui permettraient de protéger la planète. Alors même si c'est un discours très convenu auquel on a du mal à croire en la sincérité, j'ai beaucoup apprécié l'univers ! Univers qui rappelle d'ailleurs beaucoup celui de "La Planète au trésor", Disney steampunk bien trop sous-côté à mon goût mais également, notamment dans le design des créatures ainsi que dans la construction de certains plans, "Jurassic Park". Et puis, j'ai également beaucoup apprécié l'histoire qui est, encore une fois, assez simpliste dans le fond, mais reste très bien rythmée et divertissante ! "Avalonia, l'étrange voyage" n'est donc clairement pas le meilleur classique d'animation Disney mais reste un film devant lequel on passe un bon moment !
Un très bon film d'animation d'aventure et de science-fiction des studios Disney avec les voix de Jake Gylleenhaal, Dennis Quaid, et Lucy Liu réalisé par Don Hall.
Un Disney "moderne" , où on fait du wokisme une priorité au detriment de l'histoire et des musiques (0 chanson, musiques insipides, persos fades, intrigue simpliste avec de la morale insérée au forceps)
spoiler: L'histoire de ce couple mixte qui a un chien handicapé et un fils ouvertement gay, (bien que ça fasse partie intégrante du film , le dire suffit apparemment a se faire censurer, ce qui prouve la psychose sur ces sujets), sur fond de message pseudo ecolo et de conflit generationnel ne va jamais au bout des choses et se contente d'effleurer timidement son sujet sans jamais prendre de risques.
Dommage car niveau technique c'est plutôt joli, et bien animé, meme si le charac design est special (mon dieu ce nez.. ), mais l'inclusivite ne remplacera jamais une bonne histoire ce qui rendra ce film oubliable.
Après avoir dissipé toute magie dans « Encanto » et d’accentuer cette désertion des salles dans les projets d’animation Disney et Pixar, il n’est pas étonnant d’avoir le souffle coupé. Il ne s’agit aucunement d’une stupéfaction, mais bien d’un aveu d’échec de la part de l’industrie à rêves, qui préfère compter ses billets au lieu de nous en faire profiter à l’écran. Don Hall et Qui Nguyen ne sont donc plus que des artisans, à la solde d’une triste expédition que le studio mène en parallèle d’une nouvelle intrigue, nous éloignant de plus de l’émerveillement. L’intention est toute autre, bien évidemment, mais que faire lorsqu’il n’y a plus aucune issue ? Que faire lorsque le goût de l’inconnu ne suffit plus ?
L’aventure est une utopie, autant pour la maison Mickey que pour le héros fatigué qu’est Jeager Clade, ne connaissant que la marche avant, sacrifiant ainsi l’éducation de son unique enfant. Ce dernier nous dévoile toutes les contradictions de sa famille, qui est incapable de rompre son héritage culturel ou bien de la diversifier. Mais voilà que ces deux-là se séparent et nous laissent sur le palier d’Avalonia, une cité dépendante d’une agriculture verte et fossile, dont les enjeux environnementaux ne seront finalement pas le sujet du film, qui se tourne essentiellement sur la parentalité d’une famille assez peu ouverte d’esprit. L’adrénaline et la patience ne font pas bon ménage apparemment, en revanche, il faut croire que la question d’orientation sexuelle semble avoir été résolue, car il n’y en a pas. Et pourtant, ce sont tout un tas de détails qui font que les personnages traversent l’œuvre, sans conscience et sans l’admirer ne serait-ce que par curiosité, chose que le public pourra aussi bien accepter et rejeter.
Un petit remontant à base d’humour bon enfant pourrait faire l’affaire. Malheureusement, ce nouveau monde est loin d’être aussi étrange qu’il n’y paraît. C’est là que le bât blesse, entre la représentation des formes de vie rencontrées et cette histoire de famille qui ne rebondit sur rien pour se rendre un minimum poignante. Le schéma père-fils est alors en train de se reproduire, c’est pourquoi Searcher et Ethan cherchent désespérément à exister devant la bienveillance et la négligence de leur paternel. Le recyclage a ses limites et le film les a rapidement atteints, diluant ainsi les merveilles de son univers dans des séquences de transitions, au plus anecdotiques, au mieux artificielles. Et il en va de même pour le rythme, sans tension, qui bascule son audience dans l’ennui.
Avec « Avalonia, l’étrange voyage » (Strange World), Disney nous montre qu’il est bien tombé au fond du trou et peine encore à encaisser une chute qu’il n’a sans doute pas vu venir. Ou pire tout ce sacrifice sur l’autel du streaming servirait à ne pas voiler le triomphe d’une autre exploration, qui a bien lieu en salle et sur Pandora. Hélas, ce sera aux dépens d’un projet plutôt ambitieux, qui aurait aimé pasticher les récits d’aventures, de Jules Verne aux « Aventuriers de l’Arche Perdue ». Cependant, tout échappe au contrôle de ce fastidieux voyage, où l’on court après un souffle visuel que l’on atteint que très rarement. Et du côté émotionnel, on aura beau chercher, il faut croire que le pillage technologique de Pixar a bien fini d’enterrer toute la magie des créateurs, des auteurs et des animateurs.
Le film respecte un cahier des charges strict qui ne manquera pas de vous sauter à la figure dès les premières minutes de celui-ci. Devant la platitude des personnages et la production sans âme, je me suis même surpris à m'endormir au bout de 30 minutes, sûrement car mon subsconscient s'est dit que le scénario étant convenu, il était de toute façon capable de le reconstituer à partir de tout ce qui a déjà été fait auparavant dans de bien meilleurs films d'animation et que le besoin primaire de dormir l'emportait donc.
1,5 étoiles pour ne pas m'avoir réveillé tout de même grâce à une bande-son toute aussi plate, note confirmée par la fin que j'ai réussi à voir. Heureusement qu'il n'est pas sorti au cinéma celui-là, effectivement Disney, ça vous fait économiser des frais et ça économise le temps et argent des spectateurs.
Un film clairement pas aussi mauvais que ce que j’ai pu lire. Disney a le mérite de parler d’un sujet actuel et important, incluant un personnage gay qui n’est pas la juste pour faire bonne figure, on le sait c’est tout. Des décors magnifique une superbe animation et un style graphique tout aussi beau. Bref un très bon film avec quelques défauts mais un beau message.
Prônant la différence avec une large tolérance, écartant tout cliché et aprioris terrestre; Célébrant la nature telle Moana (2016) avec le cœur qui ravivera la nature, cette aventure feint de révéler son individualité avant de trouver sa propre voie et de nous embarquer. Il y a des personnages laissés pour compte... mais finalement le plus grand personnage n'est pas toujours celui auquel on pense. Il Etait Une Fois La Vie... version Disney.
Encore un Disney très mal noté a cause du racisme et de l'homophobie des gens. J'ai bien aimé, le film dénonce beaucoup de sujets : l'impact de notre consommation énergétique sur la nature et les animaux, la relation père fils (ce qu'on veut pour son fils n'est pas forcément ce que lui souhaite etc), une belle histoire, des beaux décors... Cela méritait une sortie cinéma.
J'ai du mal à comprendre le "bashing" que se prend ce film, que ce soit au niveau critique ou succès commercial (le film a bidé lors de sa sortie en salle aux Etats Unis).
Bien sûr, le film n'est pas parfait et sans doute parfois un peu trop caricatural, on aurait sans doute souhaiter plus de rebondissements et de scènes marquantes.
Malgré ça, je préfère saluer la prise de risque de Disney, de proposer un monde original, fourmillant de bonnes idées, un univers coloré, vivant, en se permettant même un petit Twist vers la fin qui donnera une tout autre lecture lors d'un éventuel 2nd visionnage.
J'ai également apprécié les musiques, faisant parfois penser à du StarWars ou du Indiana Jones (pour lesquels l'inspiration depasse le côté musical). Et enfin, j'ai apprécié la relation entre les 3 personnages principaux, bien que pas toujours subtile, elle a fonctionné sur moi et trouve une conclusion satisfaisante en fin de film.
Je m'attendais à une bouse au vue des critiques et j'en suis ressorti agréablement surpris. Disney est encore capable de proposer des choses intéressantes et différentes !
Ce n est tout simplement pas ce qu on attend d'un Disney. Mon fils de 3 ans a décroché très rapidement car aucun personnage attachant, marquant et mon fils de 9 ans est resté très perplexe. Il est sûr que cela ne fera pas partie des dessins animés qui seront revisionnés 10 fois avec plaisir. Très dommage car le côté inclusif est appréciable.
Contrairement à Pixar qui a arrive à garder un certain standard qualitatif au fur et à mesure de ces films, Disney a beaucoup de mal à garder le cap. Déjà Encanto était très convenue et peu marquant, mais ce Avalonia est tout simplement insipide, pas de réel scénario, des personnages pour la plupart sans relief ni caractères et une aventure peu intéressante. En terme d'animation c'est correcte mais le studio a déjà fait nettement mieux, bien sûr le renouveau Disney inclus automatiquement des personnages adoptants les codes standards, à croire qu'a une certaine époque chez Disney le concept d'homosexualité leurs étaient inconnus. Bref les plus jeunes apprécieront peut-être, mais il clair est qu'aucun personnage de ce film n'aura de réel impact sur eux ni dans l'histoire de la firme.
Nouveau Disney à gros potentiel gâché par son inclusivité forcée qui, à mon sens, n'a rien à faire dans un film pour enfant et n'apporte strictement rien à une histoire déjà bancale. A en juger l'avis général, le Wokisme ne fait plus recette auprès de la majorité. Que Disney revienne aux valeurs qui sont les sienne, avec les univers qui nous ont fait rêver. Qu'il arrête de nous marteler ses discours bien-pensants et progressistes, Netflix est déjà maitre dans la catégorie et la nouvelle génération n'en a pas besoin.