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Cinephile
2 abonnés
14 critiques
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0,5
Publiée le 25 décembre 2022
TRES TRÈS DÉCEVANT !! pas de surprise, que du vu et revu. Il serait temps de retrouver le Disney de l'époque qui savait faire ... ou sinon, arrêter de faire du film d'animation tout simplement
Franchement en bruit de fond ça passe mais rien d'autre très dessus de Disney par ce dessin animé même l'histoire trop tiré par les cheveux pour les enfants
Un nouveau Disney pour Noël 2022, mais décevant sur bien des plans. Certes c'est tout joli, tout coloré et l'idée globale, quand on connaît enfin le secret, est pas mal. Mais c'est gâché par des personnages peu travaillés, souriant niaisement du début à la fin. On a davantage l'impression d'une commande où l'on coche des cases (des couleurs, beaucoup d'inclusion, des dialogues pas trop compliqués, un peu d'humour). Rien qui ne marquera les esprits, et ce n'est pas plus mal qu'Avalonia ne soit pas sorti en salles.
Film joli a regarder malgré le surdosage de rose et vert. Une histoire sans fond aucun but on suis un adolescent gay dans sont histoire d'amour, en se demandant pourquoi cela ne fait aucunement avancée l'histoire. A éviter surtout pour les plus jeune d'après moi.
Encore un Disney très mal noté a cause du racisme et de l'homophobie des gens. J'ai bien aimé, le film dénonce beaucoup de sujets : l'impact de notre consommation énergétique sur la nature et les animaux, la relation père fils (ce qu'on veut pour son fils n'est pas forcément ce que lui souhaite etc), une belle histoire, des beaux décors... Cela méritait une sortie cinéma.
Un des pires Disney. Scenario vraiment nul. Mais où est donc passé la magie Disney. Rendez-nous nos ancien disney qui nous faisait rêvez et que l'on attendait chaque année avec impatience.
Après avoir dissipé toute magie dans « Encanto » et d’accentuer cette désertion des salles dans les projets d’animation Disney et Pixar, il n’est pas étonnant d’avoir le souffle coupé. Il ne s’agit aucunement d’une stupéfaction, mais bien d’un aveu d’échec de la part de l’industrie à rêves, qui préfère compter ses billets au lieu de nous en faire profiter à l’écran. Don Hall et Qui Nguyen ne sont donc plus que des artisans, à la solde d’une triste expédition que le studio mène en parallèle d’une nouvelle intrigue, nous éloignant de plus de l’émerveillement. L’intention est toute autre, bien évidemment, mais que faire lorsqu’il n’y a plus aucune issue ? Que faire lorsque le goût de l’inconnu ne suffit plus ?
L’aventure est une utopie, autant pour la maison Mickey que pour le héros fatigué qu’est Jeager Clade, ne connaissant que la marche avant, sacrifiant ainsi l’éducation de son unique enfant. Ce dernier nous dévoile toutes les contradictions de sa famille, qui est incapable de rompre son héritage culturel ou bien de la diversifier. Mais voilà que ces deux-là se séparent et nous laissent sur le palier d’Avalonia, une cité dépendante d’une agriculture verte et fossile, dont les enjeux environnementaux ne seront finalement pas le sujet du film, qui se tourne essentiellement sur la parentalité d’une famille assez peu ouverte d’esprit. L’adrénaline et la patience ne font pas bon ménage apparemment, en revanche, il faut croire que la question d’orientation sexuelle semble avoir été résolue, car il n’y en a pas. Et pourtant, ce sont tout un tas de détails qui font que les personnages traversent l’œuvre, sans conscience et sans l’admirer ne serait-ce que par curiosité, chose que le public pourra aussi bien accepter et rejeter.
Un petit remontant à base d’humour bon enfant pourrait faire l’affaire. Malheureusement, ce nouveau monde est loin d’être aussi étrange qu’il n’y paraît. C’est là que le bât blesse, entre la représentation des formes de vie rencontrées et cette histoire de famille qui ne rebondit sur rien pour se rendre un minimum poignante. Le schéma père-fils est alors en train de se reproduire, c’est pourquoi Searcher et Ethan cherchent désespérément à exister devant la bienveillance et la négligence de leur paternel. Le recyclage a ses limites et le film les a rapidement atteints, diluant ainsi les merveilles de son univers dans des séquences de transitions, au plus anecdotiques, au mieux artificielles. Et il en va de même pour le rythme, sans tension, qui bascule son audience dans l’ennui.
Avec « Avalonia, l’étrange voyage » (Strange World), Disney nous montre qu’il est bien tombé au fond du trou et peine encore à encaisser une chute qu’il n’a sans doute pas vu venir. Ou pire tout ce sacrifice sur l’autel du streaming servirait à ne pas voiler le triomphe d’une autre exploration, qui a bien lieu en salle et sur Pandora. Hélas, ce sera aux dépens d’un projet plutôt ambitieux, qui aurait aimé pasticher les récits d’aventures, de Jules Verne aux « Aventuriers de l’Arche Perdue ». Cependant, tout échappe au contrôle de ce fastidieux voyage, où l’on court après un souffle visuel que l’on atteint que très rarement. Et du côté émotionnel, on aura beau chercher, il faut croire que le pillage technologique de Pixar a bien fini d’enterrer toute la magie des créateurs, des auteurs et des animateurs.
"Avalonia, l'étrange voyage" peu apprécié par les spectateurs, directement sortie en VOD sur Disney+ m'a laissé un peu sur ma faim. En effet malgré la beauté visuelle de ce film d'animation, quelques moments émouvants et le premier personnage gay présent dans un Disney, l'histoire principale est guère transcendante voir ennuyante, parfois même sans intérêt, les personnages sont mal exploités et j'aurais aimé que Disney prenne plus de risque pour exploiter l'homosexualité de Ethan Clade, c'est la déception qui l'emporte au final.
Voir un film produit par Disney diffusé sur une plate-forme, c'est vraiment dommage et c'est un manque de respect pour les salles de cinéma. Bref, en ce qui concerne le film en lui-même ; je le trouve globalement moyen et décevant malgré de très bonnes idées.
La réalisation du film mise tout sur la contemplation, je trouve qu'il y a énormément de plans qui servent juste pour nous en mettre plein la vue. Malheureusement, il y en a trop et ça entache trop l'histoire et la plupart des plans perdent en utilité. En ce qui concerne la composition des plans, elle est assez jolie, les jeux de lumière sont clairs mais la mise en scène a tendance à trop prendre le spectateur pour un idiot. Par rapport à la musique, elle est presque plus importante que l'image car elle dirige le film, mais je la trouve un peu puéril et presque envahissante. Par contre, je trouve que Disney pourrait tenter de se renouveler sur leur esthétique qui commence à être trop redondante, d'autant plus que parfois, les transitions me font penser à celle de "Star Wars" mais en moins bien.
J'ai beaucoup de mal à avoir un avis arrêté sur ce scénario ; tantôt trop caricatural, tantôt très moderne. Globalement l'histoire est plutôt cool mais je trouve l'univers drastiquement peu développé ; les personnages sont un peu nombreux mais l'inclusion dont il fait preuve est naturelle. Le récit en lui-même oscille entre des idées originales et des péripéties trop classiques ; malgré tout, c'est assez intéressant. En fait, c'est trop prévisible pour être appréciable, mais la dernière demie heure est très cool et intelligente. En ce qui concerne l'inclusion dans le film, elle est faite de manière très naturelle mais l'intrigue amoureuse n'est pas du tout utile et est oubliable. L'aspect générationnel est rapidement chouette mais le choc est beaucoup trop stéréotypé avec des dialogues simples écrits par des octogénaires. Sans oublier que les séquences d'humour sont trop enfantines et frôlent la stupidité.
Malheureusement, je ne recommande pas ce film, ni pour son histoire, ni pour sa mise en scène. Par contre, je pourrai le conseiller pour sa volonté d'inclusion et un peu pour son esthétisme.
Malgré une histoire qui décolle vers la fin et un message plus qu’actuel, les péripéties de ce nouveau Disney s’enchaînent sans saveur, tellement les moindres aspects de son scénario semblent déjà vu dans les différentes productions du studio
Après le succès très relatif de « Encanto » l’an passé, notamment outre-Atlantique, et le flop de « Buzz l’éclair » cet été, Disney semble payer la note de ses choix très discutables de distribution qui nuisent aux salles et favorisent sa plateforme de streaming, Disney +. Des décisions telles que priver des films d’animation importants et attendus comme « Soul », « Alerte rouge » ou « Luca » de sortie en salles ou sortir en simultané « Black Widow » en streaming et dans les cinémas (un peu comme HBO Max a pu le faire flinguant des bombes comme « The Suicide Squad »). Les mesures délirantes touchant enfin et vraisemblablement à leur fin, on ne peut que constater les changements structurels profonds dans le comportement des spectateurs. Et pour les films d’animation estampillés par la firme, il semblerait que le public préfère attendre de les voir à la maison. Et c’est légitime mais bien triste pour les salles surtout quand la qualité du film est là. Car oui, « Avalonia, l’étrange voyage » est une petite pépite du genre, une réussite sur bien des points mais bel et bien un bide au box-office qui ne sortira même pas au cinéma en France mais uniquement sur Disney + à une date encore indéterminée à cause de notre chronologie des médias.
Pourtant, ce film d’aventures à l’ancienne, lointain croisement entre « L’Aventure intérieure » et les vieux films du genre d’antan comme « 20 000 lieues sous les mers », est bel et bien un très bon cru. D’abord, il est visuellement époustouflant de beauté. On sait bien que les standards actuels dans le domaine de l’animation sont devenus très élevés avec le progrès technique. Et bien « Avalonia, l’étrange voyage » parvient tout de même à nous impressionner avec la texture des cheveux ou de la barbe de ses personnages ou encore l’incroyable majestuosité de ces décors. De la plus classique ville d’Avalonia aux tréfonds du monde qu’ils vont découvrir, c’est stupéfiant de beauté et d’inventivité. Les créatures et les décors imaginés sont tout à fait sublimes et jouent pour beaucoup dans l’émerveillement ressenti et donc le plaisir du film. On a les yeux écarquillés tout du long à admirer chaque détail et tenter de n’en louper aucun.
Mais ce n’est pas tout. Outre un rebondissement parfaitement étonnant et très bien vu dans la dernière partie, qui rebat les cartes de leur mission avec beaucoup d’intelligence et de logique, les valeurs et la morale édictées ici sont intéressantes à défaut d’être originales. En effet, suivre ses rêves ou la force de la famille sont des points plutôt communs dans le domaine de l’animation. En revanche, de faire d’un personnage principal un jeune homme gay n’est pas courant. Cela surprend et c’est tellement bien amené et pleinement assumé que c’est très plaisant et progressiste dans le bon sens, loin des dérives wokes actuelles. Enfin, l’écologie devient une justification facile à beaucoup de films mais la métaphore mise en branle ici entre le corps et la Terre est de toute beauté. Bref, un long-métrage d’animation beau à regarder en plus d’avoir un fond admirable ce n’est pas si souvent. Et en plus c’est rythmé, drôle et malin, alors courez-y!
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Nullité sans nom! On y retrouve toutes les références du wokisme et de la cancel culture si cher a Disney ces derniers temps. Un père déconstruit qui quitte le monde des aventuriers pour devenir agriculteur bio ,qui a un fils homosexuel. Le grand père que l'on fait passer pour un beauf car aventurier et portant trop de masculinité en lui! J'ai coupé au bout d'une heure indigeste et il est sûr que je ne le ferai jamais voir a mes enfants .... Disney devenu un monstre de propagande wokisme et loin très loin de sa grande époque . Je vais les fuir à partir de maintenant ....
2,5, je comprends pas. Ça montre l'hypocrisie générale. De la représentation ? oui bien sur, mais si y a pas de blancs, et que les homos n'ont pas droit à leur scène déchirante avec les parents qui ne vont pas les accepter, alors c'est une daube, on en fait trop, c'est encore un coup des wokistes. Qu'est-ce qu'on s'en fou ! À aucun moment la couleur de peau et l'orientation sexuelle des personnages fait de l'ombre au plot : ces thématiques ne sont tout simplement pas abordées. Parce qu'en effet, on ne devrait pas, c'est le principe de la représentation. Et à côté, on a un film magnifique, des couleurs splendides et une créativité incroyable pour l'écosystème des créatures du film. L'histoire est bien rythmée, on a un beau retournement de situation. Vous oubliez que c'est un film familial à vous lire, parce qu'il n'y a pas de philosophie assez profonde ? Vous les philosophes, questionnez-vous sur l'importance que vous accordez à cette diabolique mixité sociale représentée. Si ça vous gâche le film parce que vous voyez pas assez de gens comme vous, c'est vous le problème
Enfin un Disney qui se démarque autre que de son aspect féerique. Les décors sont magnifiques, l'histoire est intéressante et traite de l'écologie. J'ai adoré.
Ce n est tout simplement pas ce qu on attend d'un Disney. Mon fils de 3 ans a décroché très rapidement car aucun personnage attachant, marquant et mon fils de 9 ans est resté très perplexe. Il est sûr que cela ne fera pas partie des dessins animés qui seront revisionnés 10 fois avec plaisir. Très dommage car le côté inclusif est appréciable.