AlloCiné
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Votre avis sur Alerte rouge ?
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Bon ba.... pour ne pas changé je suis une énième fois conquis et bluffé par un long métrage de Pixar qui ne fait que confirmer une fois que le studio est un label de qualité pour ne pas dire d'excellence.
Car "Alerte Rouge" est encore une pépite à rajouter aux palmarès du studio. Et pourtant j'avais des doutes, des craintes que le métrage soit exclusivement réservé à un public féminin et prépubère et l'introduction joue clairement là dessus. Mais, à ma grande satisfaction, le reste de l'œuvre prouve qu'elle est ouverte à tout le monde. Petit et grand, garçon où fille. L'adolescence et la puberté racontées façon Pixar.... et c'est une belle réussite qui fait un message très fort sur l'éducation, sur l'émancipation et surtout sur le choix de ce que l'ont veut être.
Bref... j'ai adoré.
Car "Alerte Rouge" est encore une pépite à rajouter aux palmarès du studio. Et pourtant j'avais des doutes, des craintes que le métrage soit exclusivement réservé à un public féminin et prépubère et l'introduction joue clairement là dessus. Mais, à ma grande satisfaction, le reste de l'œuvre prouve qu'elle est ouverte à tout le monde. Petit et grand, garçon où fille. L'adolescence et la puberté racontées façon Pixar.... et c'est une belle réussite qui fait un message très fort sur l'éducation, sur l'émancipation et surtout sur le choix de ce que l'ont veut être.
Bref... j'ai adoré.
Jai adoré se nouveaux chef d'œuvre signé Pixar qui est a la fois tellement inédit niveau scénario et parle tellement a la génération d'aujourd'hui, se film aidez a comprendre les jeune la puberté et l'adolescence avec une petite touche d'animation très agréable!
J'adore je recommande fortement
J'adore je recommande fortement
Shawn777
Ce vingt-cinquième long-métrage d'animation Pixar, réalisé par Domee Shi et sorti tout récemment sur Disney+ (tout comme les deux précédents films du studio), n'est pas mal du tout ! C'est ici l'histoire d'une jeune fille de treize ans qui se transforme en panda roux géant lorsque ses émotions sont trop fortes. Parabole par excellence de l'adolescence, nous sommes enfin devant un Disney qui ose véritablement parler des "choses de la vie" sans langue de bois, comme de la sexualité ou des menstruations, tout en restant, bien évidemment, accessible aux enfants. Bon déjà, à la différence des classiques d'animation Disney, Pixar a toujours mis en scène des messages beaucoup plus adultes et surtout plus complexes. Et ici, c'est une nouvelle fois le cas, même si toute l'analogie autour du passage à l'âge adulte est peut-être un peu grosse et peu subtile (notamment la "discussion" entre la mère et la fille à la fin dans le stade qui s'éternise un peu). Mais néanmoins très bien écrite ! Effectivement, même si le trait est grossi, cela n'empêche pas au film d'aborder le sujet de l'adolescence de manière relativement originale mais surtout avec pertinence. Le film aborde en effet ici le conflit générationnel et le transfert des propres angoisses et désirs de la mère que cette dernière opère sur sa fille. Cette dernière veut alors plaire à ses parents à tout prix mais se rebelle peu à peu en faisant passer ses propres désirs avant ceux des autres. Et cette émancipation passe majoritairement par son groupe de potes mais également par des premiers émois amoureux et sexuels qui passent au travers d'un jeune vendeur et d'un boys band volontairement calqué sur les Backstreet Boys. Nous pouvons également noter que l'animation est impeccable, comme d'habitude chez Pixar. Sans en être extraordinaire pour autant, "Alerte rouge" reste donc un Pixar très appréciable.
Une expérience exténuante doublée d’une débauche de sucre aussi insipide que débilitante. A fuir absolument!!!
Une catastrophe... j'apprécie énormément le travail des studio Pixar mais alors là j'ai cru voir un film de TV qui passe à 17h sur Gulli...
le scenario : vide
les personages : fades et sans personnalité
une montagne de clichés et un film sans aucun fil directeur
le scenario : vide
les personages : fades et sans personnalité
une montagne de clichés et un film sans aucun fil directeur
Pour une grande fan de Disney je suis tellement déçue !
Rien ne va dans ce long-métrage, les personnages sont insupportables, l'histoire est médiocre, tellement de clichés, le thème est trés mal abordé.
J'attends avec hâte le prochain, celui-là ... à oublier.
Rien ne va dans ce long-métrage, les personnages sont insupportables, l'histoire est médiocre, tellement de clichés, le thème est trés mal abordé.
J'attends avec hâte le prochain, celui-là ... à oublier.
Mais quelle déception! Le pire pixar que j’ai pu voir… entre des idées enfoncées a coup de marteau piqueurs dans la tête et les choses que je ne voulais simplement pas voir ou entendre dans un Disney :
spoiler:
du twerk, des serviettes hygiéniques, des photos de son panda (qui est rappelons le directement lié à sa sexualité), …
je suis tellement déçu…
Il n’y a donc plus aucune subtilité a attendre dans les films d’animation pixar. Ça ne donne pas envie pour l’avenir
je suis tellement déçu…
Il n’y a donc plus aucune subtilité a attendre dans les films d’animation pixar. Ça ne donne pas envie pour l’avenir
C'est la première fois qu'un personnage Pixar m'énerve, ça traine en longueur.
spoiler: Mei se transforme en panda lorsqu'elle déborde d'émotions positives ou négatives, émotions qu'elle apprend rapidement à maitriser pour ne se transformer en panda roux qu'à sa guise. Mei et son groupe de copines veulent aller à un concert de boys band en catimini sans l'autorisation des parents. Pour se payer tout de même ce concert les filles font des spectacles de panda à l'école et invitent leur camarades à payer 2 balles le tour de manège à dos de panda roux géant ...
voilà voilà ... l'histoire est simplement nulle : spoiler: tout tourne autour du fait que la mère de Mei est ultra conservatrice et trouve que les boys band intellectuellement c'est zéro, fi-fille est hautement trop intelligente pour aimer ce genre de trucs. la matriarche débarque ultra colère en panda GEANT et écrase toute la scène, les boys band pour récupérer Mei par la peau des fesses, et là hop réconciliation dans le monde parallèle des pandas roux intergénérationnel des femmes de la famille - le père est un peu plus cool et décontracte même si il paraît effacé
C'est tout tracé, il manque vraiment trop de subtilité, c'est pas un Pixar pour moi, je ne sais pas ce que je viens de voir. Je suis très étonnée en fait que ce soit si pauvre en fantaisie et si grossier dans le message qui ne regroupe que des clichés.
On est à l'opposé de Zootopie ou ratatouille, ma fille n'a pas aimé. Mon ami a coupé au bout de 6 minutes "ça me gonfle je peux pas".
Moi je l'ai regardé jusqu'au bout car je trouvais les couleurs belles et j'imagine que les colorscripts doivent être superbes.
Les dialogues sont nuls, les ados n'ont pas de répartie percutante ou fun - ados OK, idiotes OK mais au moins par pitié elles auraient pu être attachantes, là c'est du social-chiant. Dans moi moche et méchant, la petite dernière n'est pas QUE mignonne. bref... des beaux visuels pour quelque chose de creux, les employés ont apparemment pestés car le film n'est pas sorti au ciné : heureusement.
spoiler: Mei se transforme en panda lorsqu'elle déborde d'émotions positives ou négatives, émotions qu'elle apprend rapidement à maitriser pour ne se transformer en panda roux qu'à sa guise. Mei et son groupe de copines veulent aller à un concert de boys band en catimini sans l'autorisation des parents. Pour se payer tout de même ce concert les filles font des spectacles de panda à l'école et invitent leur camarades à payer 2 balles le tour de manège à dos de panda roux géant ...
voilà voilà ... l'histoire est simplement nulle : spoiler: tout tourne autour du fait que la mère de Mei est ultra conservatrice et trouve que les boys band intellectuellement c'est zéro, fi-fille est hautement trop intelligente pour aimer ce genre de trucs. la matriarche débarque ultra colère en panda GEANT et écrase toute la scène, les boys band pour récupérer Mei par la peau des fesses, et là hop réconciliation dans le monde parallèle des pandas roux intergénérationnel des femmes de la famille - le père est un peu plus cool et décontracte même si il paraît effacé
C'est tout tracé, il manque vraiment trop de subtilité, c'est pas un Pixar pour moi, je ne sais pas ce que je viens de voir. Je suis très étonnée en fait que ce soit si pauvre en fantaisie et si grossier dans le message qui ne regroupe que des clichés.
On est à l'opposé de Zootopie ou ratatouille, ma fille n'a pas aimé. Mon ami a coupé au bout de 6 minutes "ça me gonfle je peux pas".
Moi je l'ai regardé jusqu'au bout car je trouvais les couleurs belles et j'imagine que les colorscripts doivent être superbes.
Les dialogues sont nuls, les ados n'ont pas de répartie percutante ou fun - ados OK, idiotes OK mais au moins par pitié elles auraient pu être attachantes, là c'est du social-chiant. Dans moi moche et méchant, la petite dernière n'est pas QUE mignonne. bref... des beaux visuels pour quelque chose de creux, les employés ont apparemment pestés car le film n'est pas sorti au ciné : heureusement.
Quelle bouse sérieusement c'est sûrement le pire pixar jamais creer . Ça aurait du rester un court métrage et encore. Entre la mixité forcer a outrance, le féminisme, le pseudo engagement féminisme a deux balle , sérieux Quelle perte de temps c'est insupportable qu bout de 15 minutes j'ai du faire une pause telle c'est cringe et l'humour zero franchement je sais pas ce qu'ils ont essayer de faire mais c'est complètement raté
Et bien, moi qui suis fan de Pixar, je dois avouer que ce film m'a déçu au plus haut point.
Pourquoi ?
Le scénario déjà.
Encore une histoire d'ado tiraillé avec sa famille. Il faut croire que Vice-versa, Coco, Rebelle, ... n'avaient pas suffit à faire le tour du sujet.
Bref, c'est pauvre. Aucune surprise à attendre. Dès le début, vous saurez comment ça va finir.
La direction artistique ensuite.
C'est ni terrible de loin, ni loin d'être terrible. Le style est bébé. Ça ne fait pas rêver.
La double lecture Pixar.
Pixar nous avait habitué à une double lecture dans ses films. Souvent touchante et originale. En somme, un moyen de combler les enfants qui y voient un film d'animation pour ce qu'il est et les adultes avec un message fort.
Là, on retrouve, comme pour le scénario, un message déjà entendu. Cette magie disparaît donc et l'émotion s'en va.
L'humour.
Il se voulait drôle. Il ne l'est pas. Tout est prévisible et sommaire. Raté là aussi.
En conclusion, je dirais que s'il n'est pas à mettre à la poubelle, il ne restera pas sur l'étagère non plus. Dommage. Pixar, c'était pourtant si bien.
Pourquoi ?
Le scénario déjà.
Encore une histoire d'ado tiraillé avec sa famille. Il faut croire que Vice-versa, Coco, Rebelle, ... n'avaient pas suffit à faire le tour du sujet.
Bref, c'est pauvre. Aucune surprise à attendre. Dès le début, vous saurez comment ça va finir.
La direction artistique ensuite.
C'est ni terrible de loin, ni loin d'être terrible. Le style est bébé. Ça ne fait pas rêver.
La double lecture Pixar.
Pixar nous avait habitué à une double lecture dans ses films. Souvent touchante et originale. En somme, un moyen de combler les enfants qui y voient un film d'animation pour ce qu'il est et les adultes avec un message fort.
Là, on retrouve, comme pour le scénario, un message déjà entendu. Cette magie disparaît donc et l'émotion s'en va.
L'humour.
Il se voulait drôle. Il ne l'est pas. Tout est prévisible et sommaire. Raté là aussi.
En conclusion, je dirais que s'il n'est pas à mettre à la poubelle, il ne restera pas sur l'étagère non plus. Dommage. Pixar, c'était pourtant si bien.
Cinememories
Alors que Disney continue de noyer les créations Pixar dans le flux de streaming, il sera d’autant plus difficile à croire qu’il reste un semblant de liberté chez ce studio, qui a su convoquer tant d’émotions. Outre le fait que les plus grands dérivés et suites de franchises auront droit aux salles obscures (Buzz l’Éclair), nous devons nous contenter de cette dernière sucrerie à domicile. Après l’efficacité et la sensibilité de Domee Shi sur le court-métrage « Bao », la réalisatrice revient avec un morceau culturel de choix, sous l’égide d’une écurie qui n’a désormais plus rien à perdre. Et c’est en partant de ce principe même, que l’on parvient à mêler étroitement la culture orientale et occidentale, dans un chaos juvénile et déjanté, comme on l’aura rarement vu dans une autre production du studio.
Si cela semble démarrer par l’approche la plus convenue et la moins risquée des thématiques liées à l’adolescence, détrompons-nous rapidement pour se laisser emporter par l’animation, qui déborde d’énergie. Il s’agirait presque d’une rencontre opportune entre la famille Mitchell de Netflix et la spiritualité de « Vice-Versa », où la jeune Meilin Lee commence à explorer de profondes émotions, de même qu’un changement corporel conséquent. Mais avec la finesse et l’ingéniosité de la cinéaste, cela devient une leçon d’apprentissage, qui file vers la réconciliation absolue, car les relations humaines seront sollicitées dans cette aventure fantastique et indéniablement familiale. La jeune sino-canadienne devra alors tout faire pour écrire sa propre histoire et se débarrasser du joug d’une mère trop protectrice. C’est là qu’on en vient à diriger tout l’attirail comique et barré vers un récit d’amitié, qui n’hésite pas à piocher dans la culture populaire nipponne et les super-héros américains.
Il y a des pouvoirs et des responsabilités à dompter. Cela commence par l’acceptation et c’est une chose qui sera possible, à coup de girl power ou simplement une ode à la féminité. Tandis que les désirs d’adolescentes montent, au crochet de boys band, qu’elles idolâtrent jusqu’à fantasmer sur l’idéal masculin, on prend un certain plaisir de retomber dans ces années de collège, riches en découvertes. Qu’il s’agisse de soi ou d’autrui, le panda qui s’exprime est une manœuvre habile et au discours limpide, qui discute les limites du contrôle parental. Il y aura de la place pour explorer au mieux cette complicité, là où « Encanto » s’est perdu dans sa propre turbine traditionnelle. Quitte à laisser quelques personnes sur le carreau, côté goût musical, cela servira aussi bien la vision des parents que de la jeunesse, pas toujours conscient de la vulgarité que cela puisse dégager. Mais là encore, ce sera davantage une rupture intergénérationnelle, qu’il convient d’apaiser, à l’aide de plats succulents ou d’une présence paternelle plus incisive.
Ce n’est donc pas le sujet qui est mis au centre de la table, mais bien l’émotion, de nature bestiale et infantile, à l’image d’un tamagotchi, qu’il faut savoir entretenir, nourrir et chérir. « Alerte Rouge » (Turning Red) évoque déjà beaucoup, par ses significations multiples et son authenticité dans l’approche d’une maternité toxique. Dans « Bao », nous avions déjà pu goûter à cette mélancolie, qui touche chaque foyer, où la quête de liberté et d’identité viendra fracturer une harmonie qui n’a plus lieu d’être. Il s’agit d’un film qui grandit en même temps que ses personnages, qu’importe leur âge ou leur sensibilité, pourvu qu’ils s’écoutent un peu plus pour se laisser une magnifique part de magie et de tendresse.
Si cela semble démarrer par l’approche la plus convenue et la moins risquée des thématiques liées à l’adolescence, détrompons-nous rapidement pour se laisser emporter par l’animation, qui déborde d’énergie. Il s’agirait presque d’une rencontre opportune entre la famille Mitchell de Netflix et la spiritualité de « Vice-Versa », où la jeune Meilin Lee commence à explorer de profondes émotions, de même qu’un changement corporel conséquent. Mais avec la finesse et l’ingéniosité de la cinéaste, cela devient une leçon d’apprentissage, qui file vers la réconciliation absolue, car les relations humaines seront sollicitées dans cette aventure fantastique et indéniablement familiale. La jeune sino-canadienne devra alors tout faire pour écrire sa propre histoire et se débarrasser du joug d’une mère trop protectrice. C’est là qu’on en vient à diriger tout l’attirail comique et barré vers un récit d’amitié, qui n’hésite pas à piocher dans la culture populaire nipponne et les super-héros américains.
Il y a des pouvoirs et des responsabilités à dompter. Cela commence par l’acceptation et c’est une chose qui sera possible, à coup de girl power ou simplement une ode à la féminité. Tandis que les désirs d’adolescentes montent, au crochet de boys band, qu’elles idolâtrent jusqu’à fantasmer sur l’idéal masculin, on prend un certain plaisir de retomber dans ces années de collège, riches en découvertes. Qu’il s’agisse de soi ou d’autrui, le panda qui s’exprime est une manœuvre habile et au discours limpide, qui discute les limites du contrôle parental. Il y aura de la place pour explorer au mieux cette complicité, là où « Encanto » s’est perdu dans sa propre turbine traditionnelle. Quitte à laisser quelques personnes sur le carreau, côté goût musical, cela servira aussi bien la vision des parents que de la jeunesse, pas toujours conscient de la vulgarité que cela puisse dégager. Mais là encore, ce sera davantage une rupture intergénérationnelle, qu’il convient d’apaiser, à l’aide de plats succulents ou d’une présence paternelle plus incisive.
Ce n’est donc pas le sujet qui est mis au centre de la table, mais bien l’émotion, de nature bestiale et infantile, à l’image d’un tamagotchi, qu’il faut savoir entretenir, nourrir et chérir. « Alerte Rouge » (Turning Red) évoque déjà beaucoup, par ses significations multiples et son authenticité dans l’approche d’une maternité toxique. Dans « Bao », nous avions déjà pu goûter à cette mélancolie, qui touche chaque foyer, où la quête de liberté et d’identité viendra fracturer une harmonie qui n’a plus lieu d’être. Il s’agit d’un film qui grandit en même temps que ses personnages, qu’importe leur âge ou leur sensibilité, pourvu qu’ils s’écoutent un peu plus pour se laisser une magnifique part de magie et de tendresse.
le nouveau PIXAR et comment dire bizarre oui destinée un public enfant mais aussi un peu adulte mais là c'est trop dans l'absurde même pour les enfants cercle l'histoire était très original et très bien trouvé de la part de toute l'équipe qui a travaillé sur le scénario mais franchement le film en est presque ennuyeux malgré ma formation pour l'Asie et le cinéma asiatique qui est mis en avant ici dans ce nouveau film d'animation mais même ça ça n'arrive pas à sauver entièrement le film. un film un peu long qui commence à tourner en rond dès le milieu alors oui l'animation les graphismes les décors exetera sont tous magnifiques est exceptionnel comme toujours avec les studios PIXAR mais franchement je ne pense pas que ce soit un des meilleurs qu'ils ont fait depuis leur création c'est vraiment décevant je m'attendais à beaucoup mieux et même certains personnages ne sont pas du tout attachant ce qui est un comble pour un film qui se dessine un public d'enfants.
Excellent film d'animation ! Rythmé, dynamique, drôle, et émouvant comme on les aime. Une histoire qui parlera à tout les enfants, une animation magnifique. Mes garçons ont adorés.
Alors la ont commence a tomber bien bas avec ce nouveau Disney je comprend pourquoi il n'ai pas sorti en salles un truc d'ado cliché de fou
Ce film est complétement pathétique et met en scène une vision comtemporaine et clichée de l'adolscence avec une histoire riducle, met tous les adolescents dans le même sac avec ces filles admiratives de quatre jeunes idiots de manière grossière, exagerée. Bref, on a été habitués à mieux chez Pixar que le potrait cliché de ces adolescentes capricieuses, et que ce film "ouin -ouin"
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