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Dans un excellent long métrage d’épouvante, James Watkins installe une mécanique infernale entre deux familles que tout oppose, et dont le week-end vire au cauchemar.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le réalisateur, le Britannique James Watkins, connu pour son excellent « Eden Lake » (2008) peut compter sur le surdoué James McAvoy pour incarner un Paddy aux multiples facettes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Sur un pitch assez simple, le Britannique James Watkins construit un thriller psychologique percutant qui égratigne au passage bon nombre de schémas sociaux.
La performance de James McAvoy en hôte totalement frappé est l'un des grands atouts de ce thriller rural aux nombreuses réflexions sur la masculinité, la politesse et les apparences.
Si Ruben Östlund tournait un film d’horreur, ça donnerait à peu près Speak No Evil, non pas parce qu’il est le remake d’un film scandinave (Ne dis rien, sorti en France ,directement en VOD), mais parce que son protagoniste, Paddy (James McAvoy, psychopathe en puissance depuis Split), y prône des relations sans filtre, avec une déclarativité comique que l’on pressent bientôt horrifique.
L’archétype du remake américain, qui troque la subtilité et la radicalité de son modèle contre un conformisme bourrin. Au moins, cette fois, c’est assez efficace.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Pour un peu, on se croirait dans « les Chiens de paille » revu par Ruben Ostlund. Pas étonnant : c’est le remake, presque le décalque, d’un film danois.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L’intérêt réel du film de James Watkins réside dans la manière dont les personnages sont adroitement esquissés, dont leur psychologie est discrètement reliée à des habitudes de classe, dont leur identité sociale détermine une série de comportements.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
James Watkins excelle à créer un climat d’angoisse diffuse et de menace larvée bientôt franchement suffocant, bien aidé dans son entreprise par un McAvoy déchainé en lad chaleureux, toujours à deux doigts d’exploser et de révéler sa nature de brute épaisse – son passage chez Shyamalan (dans Split et Glass) a clairement laissé des traces chez l’acteur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dommage que le film, tablant d’abord sur un suspense assez factice, attende ses trente dernières minutes pour décoller un peu, en laissant de côté l'horreur psychologique pour mieux épouser un pur argument de film d’action.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Sans trop en dire, cette douillette itération étasunienne écarte méthodiquement les aspects les plus malsains du scénario originel. Jusqu’à réécrire une bonne partie de l’histoire, pour un résultat convenu, comme le jeu de James McAvoy qui, après Split et Glass de M. Night Shyamalan, rejoue une fois de plus son mélange désormais éprouvé de folie et de sauvagerie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
Dans un excellent long métrage d’épouvante, James Watkins installe une mécanique infernale entre deux familles que tout oppose, et dont le week-end vire au cauchemar.
CinemaTeaser
Un thriller conscient du monde, qui se fait outrancier pour être d’autant plus subtil.
Le Dauphiné Libéré
Un piège suffocant sous couvert de civilité.
Le Journal du Dimanche
Coup de cœur pour ce thriller paranoïaque et vénéneux qui bascule progressivement dans l'horreur.
Le Parisien
Le réalisateur, le Britannique James Watkins, connu pour son excellent « Eden Lake » (2008) peut compter sur le surdoué James McAvoy pour incarner un Paddy aux multiples facettes.
Les Fiches du Cinéma
Sur un pitch assez simple, le Britannique James Watkins construit un thriller psychologique percutant qui égratigne au passage bon nombre de schémas sociaux.
Mad Movies
Ce nouveau "Speak No Evil" s'impose donc comme le premier thriller bien efficace de la saison 2024-2025.
Télé Loisirs
La performance de James McAvoy en hôte totalement frappé est l'un des grands atouts de ce thriller rural aux nombreuses réflexions sur la masculinité, la politesse et les apparences.
Voici
Le propos, d'actualité, est malin, le suspense, oppressant, et les images, chocs : une vraie réussite.
Cahiers du Cinéma
Si Ruben Östlund tournait un film d’horreur, ça donnerait à peu près Speak No Evil, non pas parce qu’il est le remake d’un film scandinave (Ne dis rien, sorti en France ,directement en VOD), mais parce que son protagoniste, Paddy (James McAvoy, psychopathe en puissance depuis Split), y prône des relations sans filtre, avec une déclarativité comique que l’on pressent bientôt horrifique.
Ecran Large
L’archétype du remake américain, qui troque la subtilité et la radicalité de son modèle contre un conformisme bourrin. Au moins, cette fois, c’est assez efficace.
L'Obs
Pour un peu, on se croirait dans « les Chiens de paille » revu par Ruben Ostlund. Pas étonnant : c’est le remake, presque le décalque, d’un film danois.
Le Monde
L’intérêt réel du film de James Watkins réside dans la manière dont les personnages sont adroitement esquissés, dont leur psychologie est discrètement reliée à des habitudes de classe, dont leur identité sociale détermine une série de comportements.
Première
James Watkins excelle à créer un climat d’angoisse diffuse et de menace larvée bientôt franchement suffocant, bien aidé dans son entreprise par un McAvoy déchainé en lad chaleureux, toujours à deux doigts d’exploser et de révéler sa nature de brute épaisse – son passage chez Shyamalan (dans Split et Glass) a clairement laissé des traces chez l’acteur.
Critikat.com
Dommage que le film, tablant d’abord sur un suspense assez factice, attende ses trente dernières minutes pour décoller un peu, en laissant de côté l'horreur psychologique pour mieux épouser un pur argument de film d’action.
Télérama
Sans trop en dire, cette douillette itération étasunienne écarte méthodiquement les aspects les plus malsains du scénario originel. Jusqu’à réécrire une bonne partie de l’histoire, pour un résultat convenu, comme le jeu de James McAvoy qui, après Split et Glass de M. Night Shyamalan, rejoue une fois de plus son mélange désormais éprouvé de folie et de sauvagerie.