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    Emmett Till
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    58 critiques spectateurs

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    JnnT
    JnnT

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 février 2023
    Bien joué, bien filmé, mais édifiant à outrance. spoiler: Certes des noirs sont montrés complices forcés des blancs assassins, membres du KKK ou assimilés, mais la plupart sont admirables. Le fait que le père de la victime ait été condamné et exécuté pour viol est omis. Il peut l'avoir été injustement du reste. Les travers de la victime, qu'elle paiera en étant massacrée sont évoqués, mais comme des éléments sympathiques : un jeune fougueux et joueur, sans doute talentueux. Les blancs assassins forment un bloc indistinct de salauds haineux et violents, prédisposés à lyncher, d'une violence extrême qui va au-delà d'un simple désir de vengeance. Ce qu'ils sont, mais ils en viennent à tuer un noir alors que les noirs constituent l'essentiel de la clientèle de l'épicerie ou sont absolument nécessaire pour ramasser le coton. Une absurdité qu'il eût été intéressant d'explorer aussi. Au lieu de cela, une image d'Épinal animée. Les blancs assassins, c'était difficile à traiter mais fort intéressant. Le film réduit leur présence au minimum. Au fond, ce que dit le film, puisque tous les blancs montrés sont des salauds, c'est que tous les blancs sont ainsi, tandis que les noirs sont des victimes à plaindre et souvent admirables de courage.
    Le film est "woke" et pratique une sorte de racisme inversé contre les blancs, par facilité ou par idéologie ?

    Le tableau du Mississippi raciste et misérable est sans doute juste. Le fait que la lutte pour la vérité n'ait été possible que parce que la communauté noire avait déjà constitué des organisations de défense que l'on voit agir, c'est bien de l'avoir montré. L'opposition Chicago terre promise et Mississippi terre d'esclavage correspond à une réalité dans l'histoire des USA. Mais tous ces noirs 100 % admirables, c'est trop. Personne n'est 100% admirable. La réalisatrice veut nous avoir aux sentiments. Le sujet méritait mieux que cette hagiographie convenue. Salutaire toutefois.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    784 abonnés 1 542 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 février 2023
    1955. Emmett Till a 14 ans et vit à Chicago. Il est noir et sa maman l'a toujours élevé dans la joie et dans l'amour de l'autre.
    En visite chez des cousins dans l'Etat particulièrement raciste du Mississippi, il est sauvagement assassiné pour une peccadille dans un magasin tenu par une femme blanche.
    Sa mère, Mamie Till, s'engage alors dans un combat qui révolutionnera le mouvement américain des droits civiques.
    Encore un biopic racontant une lutte contre le racisme dans les années 1950-1960 aux Etats-Unis : j'apprécie beaucoup les films biographiques d'une façon générale, celui-ci ne m'a pas spécialement emballé.
    Malgré un jeu d'acteur relativement bon, j'ai trouvé le temps assez long dans cette histoire tombant un peu trop facilement dans le "larmoyant" plutôt que d'insister sur la rage de cette femme, notamment dans le procès final.
    Il est tout de même intéressant de découvrir cet épisode supplémentaire dans la bataille menée par l'humanité depuis de nombreuses décennies vers une tentative d'égalité entre chaque individu, quelle que soit sa couleur de peau.
    Instructif, mais manquant radicalement de mordant.
    Site CINEMADOURG.free.fr
    Brigitte Jeammes
    Brigitte Jeammes

    8 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 février 2023
    Film excellent, très bien joué. Quel courage pour cette maman. Quel honte pour la race humaine.... je reste étonnée car ce film est sorti la semaine dernière et au bout d'une semaine il n'est pas présent dans beaucoup de salles et dans celle où il est visionné il n'y a qu'une séance par jour..... Pourtant il est bien au dessus d'autres film à l'affiche.
    selenie
    selenie

    6 392 abonnés 6 221 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 février 2023
    Une partie pré-vacances où on nous montre un Emmett ado idéal, un vrai petit ange ce qui n'est pas si vrai si on reprend quelques détails racontés par ses propres cousins lors de l'incident de l'épicerie. Mais surtout le film insiste sur la peur de la maman de l'envoyer dans le sud, au point même que cela insinue une certaine prémonition de la maman. Cette prémonition n'est pas franchement pertinente. Une première partie un peu longue qui prépare à notre empathie tant cet Emmett est adorable. Entre Emmett, et l'incident lui-même, on constate que le film occulte quelques détails qui n'en sont pas pour un tel récit, par exemple Emmett aurait été bègue, à l'inverse d'où sort l'éventuelle ressemblance de la commerçante avec une star de ciné ?! Les pompes funèbres ont refusé d'ouvrir le cercueil obligeant la mère à retirer les clous elle-même, ou le fait que le passé du père Till ait assurément influencé le jury. Le film ne s'attarde pas sur l'incident ou le meurtre, et préfère s'appliquer à montre le courage et la dignité d'une mère, la récupération politique par le NAACP qui voit là une occasion de bouger les lignes, et surtout la portée essentielle du drame, mais aussi de l'action de la mère pour réveiller les consciences.
    Site : Selenie.fr
    OUROUTY
    OUROUTY

    2 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 février 2023
    juste magnifique ! une histoire choquante, bouleversante , dans l'Amérique des années 50 ;
    Une interprétation magistrale, et un récit sublimé par l'extraordinaire compositeur polonais Abdel Korzeniowski , à qui l'on doit la BO de Penny Dreaful.
    Prévoir des mouchoirs!
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 401 abonnés 4 251 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 février 2023
    Biopic consacré à Mamie Till, le film raconte le combat pour les mouvements des droits civiques d'une mère noire suite à l'assassinat de son fils de 14 ans en 1955 dans le Mississippi. Malheureusement, le long-métrage veut tout montrer et insister sur le bouleversant des faits. Résultat, le spectateur est pris au piège d'une dramaturgie poussive et passe à côté du message.
    Le D.
    Le D.

    209 abonnés 949 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 février 2023
    "Emmett Till" est un film que j'ai bien apprécié. L'histoire est intéressante, captivante et émouvante à la fois. Les acteurs sont top et ils jouent très bien.
    Jipéhel
    Jipéhel

    64 abonnés 293 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 février 2023
    Rosa, Angela et… Mamie

    Ce biopic est le 1er film de Chinonye Chukwu projeté sur grand écran. 130 minutes d’une force rare qu’il faut absolument voir. Jeune veuve élevant seule son fils de 14 ans, Mamie Till-Mobley est aussi l’unique femme noire travaillant pour la US Air Force à Chicago. Quand Emmett est assassiné parce qu’il aurait sifflé une femme blanche dans le Mississippi de 1955, Mamie bouscule les consciences en insistant, lors des obsèques, pour que le cercueil de son fils reste ouvert et que l’opinion publique comprenne l’horreur qu’il a subie. Un geste fort pour refuser l’oppression et la haine. Elle cède également au magazine Jet les droits exclusifs de publication des photos de son fils mutilé, si bien que le monde entier s’émeut de ce lynchage particulièrement atroce. Avec courage, Mamie Till s’engage dans le mouvement des droits civiques et devient une militante active pour la NAACP, principale organisation de défense des Afro-Américains, réclamant davantage de justice sociale et d’accès à l’éducation pour la communauté noire. On connaissait Rosa Parks et Angela Davies, maintenant on sait qui est Mamie Till-Mobley. D’utilité publique.
    Malgré son titre, ce film s'attache avant tout au parcours de la mère, Mamie qui va refuser à baisser les yeux après le lynchage – que dis-je le massacre – de son fils. Ce drame nous parle de deuil en l’absence d’amour, de chagrin inconsolable en l’absence de joie, et l’évocation de la communauté noire confrontée à la mort déchirante d’un enfant. la trajectoire de Mamie doit nous permettre de prendre conscience de la force qu’il faut à la communauté noire pour poursuivre son combat pour la justice et le changement. La réalisatrice a pris le parti de ne pas représenter la violence physique envers les Noirs à l'écran car cela représente pour elle une forme de complaisance. Son regard singulier et cinématographique de grande qualité sur la trajectoire hors du commun de Mamie Till- Mobley en s’attachant à la très belle humanité qui se dégageait des moments de joie et de tragédie vécus par la communauté noire. Le meurtre de George Floyd en 2020 a convaincu notre cinéaste de se lancer dans ce projet lourd mais tellement utile. C’est une page d’histoire – que la plupart des européens ignoraient – qui nous est racontée dans ce très beau film, bien écrit, bien réalisé et admirablement incarné.
    Danielle Deadwyler est avant tout une actrice de séries. Son charisme et son magnétisme éclatent sur le grand écran. On découvre une grande actrice. Elle porte tout le film très bien encadrée par Jalyn Hall, Whoppi Goldberg, Sean Patrick Thomas, et beaucoup d’autres. Le scénariste et producteur Keith Beauchamp a consacré toute sa vie à obtenir justice pour Emmett Till et commémorer la mémoire de Mamie Till-Mobley. Auteur du documentaire The Untold Story of Emmett Louis Till, il est non seulement devenu spécialiste de l’affaire, mais également ami et confident de Mamie quand celle-ci était plus âgée. Il a déclaré : ce film sonne comme une sorte de mise en garde pour nous tous. Si personne ne dit rien, cette situation perdurera. Car on se dit qu’il n’y a plus de racisme d’État, mais c’est faux. Par conséquent, voilà un film d’une importance capitale, et plus encore aujourd’hui, car il fait partie intégrante de l’histoire américaine.
    Michel C.
    Michel C.

    280 abonnés 1 480 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 février 2023
    Un autre biopic magnifique et émouvant : le lynchage d'Emmett Till, jeune noir de 14 ans, moins habitué des usages d'un autre temps dans le Mississippi, pourtant en 1955 - pas si loin ! Ce drame, peut être un peu lent, décrit des faits barbares, puis le procès et la force de la maman, l'actrice Danielle Deadwyler, dans son parcours pour faire bouger, s'engager politiquement notamment avec la NAACP, contre la ségrégation raciale aux États-Unis. Son combat est émouvant et cette actrice incarne admirablement ce déchirement. Il aura fallu des années, des siècles, des guerres, c'est peut être aussi cela le plus effroyable de ce récit, aux USA pour "grandir".....!!**
    Benito G
    Benito G

    681 abonnés 3 162 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 février 2023
    Emmett Till nous rappelle les mœurs honteuses et fangeuses du sud américain des années 50. Cependant le film n'est pas assez porté par son scénario : la première demi-heure devient lourde à force d'annoncer une dizaine de fois un drame que l'on connaît déjà (l'inquiétude de la mère, la fausse maladresse du fils...etc).
    Bien que connaissant le sujet sur le bout des doigts Emmett Till parvient encore, et encore, à faire ressurgir cette colère incontrôlable qui nous ronge face à cette folie de racisme qui tient autant de la maladie mentale que de la peur irraisonnée et lâche de l'autre. Car il y a bien cette scène complètement insoutenable qui fait basculer le film, lui permet de continuer de réveiller les consciences et dénoncer cette haine intolérable, cette inhumanité méprisable, cette (in) justice indigne d'un pays considéré comme une démocratie. Emmett Till narre l 'histoire d'une mère qui veut judiciariser l'assassinat immonde, méprisable et tyrannique de son fils, transformer une situation tristement et inqualifiablement banale en jurisprudence. Même s'il compose aussitôt des refrains connus dans sa seconde moitié, le scénario décortique un racisme institutionnalisé jusqu'aux organes de justice d'une nation censée être aussi grande et moderne que les USA.
    Impossible de passer à côté du travail impeccable effectué par le réalisateur ni de l'interprétation renversante (et boudé par les Oscar...) de cette inconnue qu'est l'actrice Danielle Deadwyler. Et j'ajouterais que l'enveloppe musicale est particulièrement émouvante.
    Imparfait dans ses grandes lignes mais certainement pas "encore" un film sur un crime raciste.
    Chris58640
    Chris58640

    220 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2023
    Tant que l’Amérique n’aura pas réglé le problème racial qui la mine, les américains continueront de faire des films traitant de la lutte pour les droits civiques. J’avoue qu’avant d’aller voir « Emmett Till » en salle, je ne connaissais pas son histoire. Mais aux Etats-Unis, et pas seulement dans la communauté noire, tout le monde sait qui il était et ce qui lui est arrivé. La réalisatrice Chinonye Chukwu propose un long métrage de 2h10 qui porte son nom. C’est un film qui n’est pas exempts de petits défauts, quelques scènes un peu trop longues, une musique qui appuie un peu trop les effets, un film qui tire peut-être un peu en longueur sur la fin, qui manque peut-être un tout petit peu de rythme par moment, mais qui ne manque pas non plus d’une certaine créativité dans sa forme. Chinonye Chukwu utilise bien sa caméra, elle sait où la placer pour distiller l’angoisse (des phares qui éclairent subitement les interstices d’une porte en bois), elle utilise le son au lieu de l’image quand il le faut (le meurtre n’est pas montré, il n’est qu’entendu, ce qui n’est pas moins efficace), elle ose le hors champs pendant les scènes de procès en laissant sa camera fixée très longuement sur Mamie Bradley (la mère d’Emmett Till) pendant que l’avocat la bombarde de question malvenues, elle n’hésite pas devant les gros plans, les très gros plans, bref, elle maitrise très bien son film techniquement. Je l’ai dit elle ne montre pas le meurtre d’Emmet, elle le laisse entendre. Pas contre, elle nous montre son corps supplicié. Elle le montre par petits morceaux, jamais en entier, elle le montre non pas par voyeurisme mais parce que la vue de ce corps est une partie fondamentale de l’histoire. Même si elle essaie d’éviter de sombrer dans trop de larmes et de cris de désespoir, il faut reconnaitre qu’elle n’y parvient pas totalement : certaines scènes sont très dures émotionnellement. Mais surtout, ce qu’elle réussi par-dessus tout, je trouve, c’est de rendre palpable la peur qui est le quotidien des noirs des Etats Sudistes en 1955. Cette peur permanente, elle est à couper à couteau dans les postures, les regards, les non-dits, le climat de peur est étouffant, oppressant, presque insupportable. Son film s’appelle « Emmett Till » et c’est bien normal, mais l’héroïne du film c’est Mamie Bradley, sa mère. Et là je dois dire que l’actrice Danielle Deadwyler nous offre une composition époustouflante. Rien que la scène où, devant le corps de son enfant, elle passe du chagrin à la rage, sans une parole, est emblématique. La musique vient inutilement appuyer cet effet, qui est une sorte de basculement du film, Danielle Deadwyler n’avait pas besoin d’artifice. Mue par une sorte de pressentiment, elle hésiter à laisser partir son fils dans le Sud, elle le prévient mille fois mais le gamin n’a que 14 ans, il vient de Chicago où sa mère parvient à le protéger des sous-entendus racistes (la scène du grand magasin), alors il n’écoute pas vraiment. Ni lui, ni elle, ne parviennent à comprendre ce qui se passe dans le Sud, finalement. spoiler: Lui (campé par le très bon Jalyn Hall) ne voit pas où est le mal de faire un compliment une femme blanche, elle ne comprend pas qu’un noir ne puisse pas sortir une carabine devant un blanc, ou qu’un procureur refuse de lui serrer la main.
    Cette dualité entre les noirs du nord et les noirs du sud, qui ne vivent pas tout à fait dans le même pays, est à la base de tout. De ce que j’ai pu en ire ici où là, Chinonye Chukwu a relaté les évènements sans en rajouter. Je sais que c’est difficile à croire pour nous, ici et maintenant, spoiler: mais mentir ouvertement sous serment sans jamais être inquiété, avouer un meurtre à des journalistes, être rémunéré pour cela, sans être jugés, bastonner un gamin de 14 ans jusqu’à le rendre méconnaissable pour un sifflement, tout cela n’est que la réalité historique des faits.
    Tant qu’il y aura des gens pour le nier ou le minimiser, il y aura des films et des livres pour le rappeler. Le meurtre en lui-même n’intervient qu’au bout d’une demi-heure de film. Tout le reste consiste pour Mamie à encaisser le choc, trouver en elle la rage et aller dans le Mississippi accuser deux hommes blancs. On a du mal à imaginer quel courage il fallait à cette époque pour un noir de monter du doigt un homme blanc dans un prétoire, il fallait ensuite quitter l’Etat fissa. La petite histoire raconte que le supplice d’Emmett Till à inspiré Harper Lee pour son célèbre roman « Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur », et qu’une loi porte son nom, une loi qui fait du lynchage un crime fédéral, une loi votée en… 2022.
    eduboisgeoffroy
    eduboisgeoffroy

    55 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 février 2023
    D'une facture classique, ce film est néanmoins un film nécessaire, sachant que les États-Unis n'ont adopté qu'en 2022 la loi Emmet Till définissant comme crime fédéral le lynchage raciste ...

    Un film à voir
    Labaigt de Bonaparte
    Labaigt de Bonaparte

    15 abonnés 84 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2023
    Le plus marquant reste le témoignage de l'amour d'une mère envers son fils mais nous serons tous admiratifs de cette histoire d'injustice et de progrès dans une époque qui continue d'influencer les mentalités actuelles.
    Emeelyne
    Emeelyne

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 février 2023
    Le film est bouleversant. Je n'ai jamais autant pleuré devant un tel film. Foncez le voir si ce n'est pas déjà fait.
    Ana Murria
    Ana Murria

    1 abonné 9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 février 2023
    Ce film est d'une puissance incomparable... Passées les quelques minutes de joie, les larmes sont difficiles à contenir jusqu'à la dernière minute. Les acteurs sont incroyables ainsi que les plans cinématographiques et la musique.
    On en ressort chamboulé entre une profonde tristesse et une envie de faire changer le monde.
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