Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Femme Actuelle
par La Rédaction
Le film éclaire cette haine terrible qui infuse le Sud des USA.
Le Figaro
par C.J.
Une reconstitution appliquée.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télé Loisirs
par Camille Brun
Malgré un vernis parfois trop hollywoodien, ce drame tiré d'une histoire vraie bouleverse.
Voici
par La Rédaction
La prestation de Danielle Deadwyler impressionne.
Cahiers du Cinéma
par Valentine Guégan
La phrase que Mamie chuchote au cadavre exhibé de son fils pendant les funérailles – « Désormais, tu n’es plus seulement mon Bo à moi » – lie l’acte de montrer avec l’idée d’un renoncement à l’intimité au profit de l’intérêt public. Elle a valeur de manifeste pour un film dont la visibilité est la principale mission (...).
L'Obs
par F. F.
Le film est un peu démonstratif, mais l’effet est bouleversant. On reste stupéfait de tant d’horreur, et d’une telle bonne conscience des barbares.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ce film à la mise en scène classique, didactique sans excès, restitue utilement l’atmosphère du sud des États-Unis dans les années 1950, l’impunité des assassins et le quotidien de terreur pour les Noirs.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
En dépit du jeu un peu démonstratif de l’actrice principale, on est pris à la gorge par ce récit poignant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Tiré d’une histoire vraie, « Emmett Till », narre, sur le fond, et en prenant quelques libertés avec l’histoire, un récit terrible et édifiant, fondateur des mouvements pour les droits des citoyens noirs outre-Atlantique. C’est sur la forme que l’on émet des réserves (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
En août 1955, Emmett Till, 14 ans, est atrocement battu à mort par deux blancs du Mississipi pour avoir complimenté une épicière. C’est le combat de sa mère pour la justice que raconte ce film émouvant et sobre, à la facture classique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Emmett Till est, et n’est pas, le film qu’on pense. Imparfait, empesé sous l’habit sévère du réquisitoire, tire-larmes quand, dans sa deuxième heure, la main se fait parfois lourde, il vaut pourtant mieux que l’œuvre édifiante à quoi il aurait pu se borner. Le spectacle est plus austère, plus dur, et aussi plus poignant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Dans le rôle de la mère d’Emmett, qui insista, à l’époque, pour laisser ouvert le cercueil de son fils afin que la population réalise la brutalité de ce qu’il avait subi, s’illustre une excellente Danielle Deadwyler. Presque quarante ans après La Couleur pourpre, Whoopi Goldberg joue, cette fois, la grand-mère… Un film d’intérêt public.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Le Monde
par J. Ma.
Le film reste toutefois figé à l’époque des faits qu’il reconstitue de manière compassée, uniquement soucieux de conférer à la mère une stature d’héroïne tragique. Il n’atteint, ce faisant, jamais l’émotion qu’aura pu soulever, sur un même registre, le bouleversant Loving (2016), de Jeff Nichols.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La Rédaction
Remarquablement interprété, le film est, hélas, mis en scène de manière trop didactique.
Première
par Thierry Chèze
Cette histoire est ainsi racontée avec soin, réussissant à échapper à la lourdeur du film de procès par la puissance de jeu de Danielle Deadwyler. Dommage qu’une BO insupportable et omniprésente vienne tout surligner et forcer inutilement une émotion induite par l’abomination et l’injustice des faits.
La critique complète est disponible sur le site Première
Femme Actuelle
Le film éclaire cette haine terrible qui infuse le Sud des USA.
Le Figaro
Une reconstitution appliquée.
Télé Loisirs
Malgré un vernis parfois trop hollywoodien, ce drame tiré d'une histoire vraie bouleverse.
Voici
La prestation de Danielle Deadwyler impressionne.
Cahiers du Cinéma
La phrase que Mamie chuchote au cadavre exhibé de son fils pendant les funérailles – « Désormais, tu n’es plus seulement mon Bo à moi » – lie l’acte de montrer avec l’idée d’un renoncement à l’intimité au profit de l’intérêt public. Elle a valeur de manifeste pour un film dont la visibilité est la principale mission (...).
L'Obs
Le film est un peu démonstratif, mais l’effet est bouleversant. On reste stupéfait de tant d’horreur, et d’une telle bonne conscience des barbares.
La Croix
Ce film à la mise en scène classique, didactique sans excès, restitue utilement l’atmosphère du sud des États-Unis dans les années 1950, l’impunité des assassins et le quotidien de terreur pour les Noirs.
Le Journal du Dimanche
En dépit du jeu un peu démonstratif de l’actrice principale, on est pris à la gorge par ce récit poignant.
Le Parisien
Tiré d’une histoire vraie, « Emmett Till », narre, sur le fond, et en prenant quelques libertés avec l’histoire, un récit terrible et édifiant, fondateur des mouvements pour les droits des citoyens noirs outre-Atlantique. C’est sur la forme que l’on émet des réserves (...).
Les Fiches du Cinéma
En août 1955, Emmett Till, 14 ans, est atrocement battu à mort par deux blancs du Mississipi pour avoir complimenté une épicière. C’est le combat de sa mère pour la justice que raconte ce film émouvant et sobre, à la facture classique.
Libération
Emmett Till est, et n’est pas, le film qu’on pense. Imparfait, empesé sous l’habit sévère du réquisitoire, tire-larmes quand, dans sa deuxième heure, la main se fait parfois lourde, il vaut pourtant mieux que l’œuvre édifiante à quoi il aurait pu se borner. Le spectacle est plus austère, plus dur, et aussi plus poignant.
Rolling Stone
Dans le rôle de la mère d’Emmett, qui insista, à l’époque, pour laisser ouvert le cercueil de son fils afin que la population réalise la brutalité de ce qu’il avait subi, s’illustre une excellente Danielle Deadwyler. Presque quarante ans après La Couleur pourpre, Whoopi Goldberg joue, cette fois, la grand-mère… Un film d’intérêt public.
Le Monde
Le film reste toutefois figé à l’époque des faits qu’il reconstitue de manière compassée, uniquement soucieux de conférer à la mère une stature d’héroïne tragique. Il n’atteint, ce faisant, jamais l’émotion qu’aura pu soulever, sur un même registre, le bouleversant Loving (2016), de Jeff Nichols.
Ouest France
Remarquablement interprété, le film est, hélas, mis en scène de manière trop didactique.
Première
Cette histoire est ainsi racontée avec soin, réussissant à échapper à la lourdeur du film de procès par la puissance de jeu de Danielle Deadwyler. Dommage qu’une BO insupportable et omniprésente vienne tout surligner et forcer inutilement une émotion induite par l’abomination et l’injustice des faits.