Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Positif
par Ariane Allard
[...] ce premier film formidable de liberté, de fougue et d’acuité.
L'Humanité
par Genica Baczynski
Le cinéaste ne dissimule pas les manques, et ne maquille pas les contradictions. Il découvre au fur et à mesure un temps exogène et, s’il pensait appréhender un impalpable pour nous le restituer en vision, il se résout à nous plonger dans cette « eau-de-vie » qui brûle et enivre tout jusqu’à nos veines.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Certains propos sont convenus, d’autres clairvoyants, tous racontent une génération sans grand espoir mais qui tient bon dans une atmosphère crépusculaire, entre fracture sociale et omniprésence policière.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Documentaire atypique, L’Époquen’est pas le portrait d’une génération, mais une anthologie lyrique de rencontres de hasard, de moments électriques.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
On capte l’air du temps tout en dressant le portrait d’une génération paumée mais parfois pleine de bon sens. Un documentaire éclairant qui se distingue par son esthétique.
Le Monde
par Clarisse Fabre
La force du film est de ne pas prendre position.
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Préférant l’observation à la démonstration, "L’Époque" est une balade nocturne édifiante et lumineuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Jacques Morice
Un panel sociologique d’une pluralité inédite dont la parole, aussi rare que précieuse, surprend par sa franchise et sa lucidité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
De ce tourbillon dont on se demande au début où il nous emmène avant de se laisser porter avec ravissement de rencontre en surprise, le spectateur sort avec une indéniable et vivifiante énergie. Celle de la jeunesse de notre époque.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
Si certaines séquences ne sont pas toujours à la hauteur, le film de Matthieu Bareyre saisit les témoignages avec une éclatante vérité, sans effet ni surdramatisation, et enregistre l’imaginaire de la nouvelle génération. "L’Époque" est un rêve, celui d’un monde qui vient.
Libération
par Didier Péron
Il est frappant de voir que le film enregistre les premiers symptômes d’une fièvre qui pourtant n’embrasera pas la partie du corps social qu’il entend ausculter. Car la crise des gilets jaunes ne sera ni générationnelle ni parisienne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Un premier film fiévreux qui déjoue les clichés.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Bareyre ne s’improvise pas plus sociologue qu’il ne s’évertue à faire de « belles images » pour raconter au premier degré la fougue souvent violente de ceux qu’il filme. Il fait tout simplement... du cinéma, à travers une mosaïque de mots et d’images aussi passionnante sur le fond que dans sa forme. Un tour de force.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Hugues Perrot
Le premier long métrage de Matthieu Bareyre est un leurre. L’Époque (qui court de 2015 à 2017) n’est évidemment pas ce qu’il prétend être, à savoir le grand film sur la jeunesse politique de son temps, un Joli Mai sur les dernières années du quinquennat Hollande.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
"L’Epoque", documentaire trop conscient de son pouvoir de séduction et de ce qu’il cherche, semble traquer les bonnes réponses plutôt qu’accueillir les rencontres.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
[...] ce premier film formidable de liberté, de fougue et d’acuité.
L'Humanité
Le cinéaste ne dissimule pas les manques, et ne maquille pas les contradictions. Il découvre au fur et à mesure un temps exogène et, s’il pensait appréhender un impalpable pour nous le restituer en vision, il se résout à nous plonger dans cette « eau-de-vie » qui brûle et enivre tout jusqu’à nos veines.
L'Obs
Certains propos sont convenus, d’autres clairvoyants, tous racontent une génération sans grand espoir mais qui tient bon dans une atmosphère crépusculaire, entre fracture sociale et omniprésence policière.
Le Figaro
Documentaire atypique, L’Époquen’est pas le portrait d’une génération, mais une anthologie lyrique de rencontres de hasard, de moments électriques.
Le Journal du Dimanche
On capte l’air du temps tout en dressant le portrait d’une génération paumée mais parfois pleine de bon sens. Un documentaire éclairant qui se distingue par son esthétique.
Le Monde
La force du film est de ne pas prendre position.
Les Fiches du Cinéma
Préférant l’observation à la démonstration, "L’Époque" est une balade nocturne édifiante et lumineuse.
Télérama
Un panel sociologique d’une pluralité inédite dont la parole, aussi rare que précieuse, surprend par sa franchise et sa lucidité.
La Croix
De ce tourbillon dont on se demande au début où il nous emmène avant de se laisser porter avec ravissement de rencontre en surprise, le spectateur sort avec une indéniable et vivifiante énergie. Celle de la jeunesse de notre époque.
La Septième Obsession
Si certaines séquences ne sont pas toujours à la hauteur, le film de Matthieu Bareyre saisit les témoignages avec une éclatante vérité, sans effet ni surdramatisation, et enregistre l’imaginaire de la nouvelle génération. "L’Époque" est un rêve, celui d’un monde qui vient.
Libération
Il est frappant de voir que le film enregistre les premiers symptômes d’une fièvre qui pourtant n’embrasera pas la partie du corps social qu’il entend ausculter. Car la crise des gilets jaunes ne sera ni générationnelle ni parisienne.
Paris Match
Un premier film fiévreux qui déjoue les clichés.
Première
Bareyre ne s’improvise pas plus sociologue qu’il ne s’évertue à faire de « belles images » pour raconter au premier degré la fougue souvent violente de ceux qu’il filme. Il fait tout simplement... du cinéma, à travers une mosaïque de mots et d’images aussi passionnante sur le fond que dans sa forme. Un tour de force.
Cahiers du Cinéma
Le premier long métrage de Matthieu Bareyre est un leurre. L’Époque (qui court de 2015 à 2017) n’est évidemment pas ce qu’il prétend être, à savoir le grand film sur la jeunesse politique de son temps, un Joli Mai sur les dernières années du quinquennat Hollande.
Les Inrockuptibles
"L’Epoque", documentaire trop conscient de son pouvoir de séduction et de ce qu’il cherche, semble traquer les bonnes réponses plutôt qu’accueillir les rencontres.